Le dragon plumé regarda tous les siens pour obtenir le silence et il se retourna vers moi. Le dragon centaure avança pour ne pas trop élever la voix. Il avait l'air craintif que quelqu'un l'entend. Sa démarche était à mes yeux saccadé, mais je ne connaissais a peine leurs race, alors comment pouvais-je insinuer quoi que ce soit? Il tira son cou plus près de moi et je tendis ma tête... Il baragouina que le bourreau de ce monde était justement ici. Il avait prit refuge dans un bâtiment en ruine près d'un volcan. Mon oncle était installer ici... Il devait périr ici! Je remercia le plumé de l'information et me prépara a un affrontement. J'inspirait et expirait plusieurs fois avant d'aller trouver l'entrer de la demeure du frère de mon géniteur. Une pression grandissante pesait sur mes épaules. Je sera la paume de la rapière de mon paternel... Je vengerai cette affront a ma famille et a notre race. Il était tout à fait impossible que je le laisse en vie. J'arriva en avant des portes du bâtiment légèrement délabré. Une aura malsaine et dangereuse guettait l'endroit. À la seconde ou je toucherai la porte, il saura que je suis ici. J'hésita quelques secondes... ceci pourrait être ma tombe... Mais au bout d'une respiration, je toucha la porte et l'ouvrit. Une main toujours près de ma garde au cas où je devrait paré une attaque sournoise. J'entra avec vigilance en regarda un peu partout un signe de l'hérétique... Des bruits de pas descendit les escaliers. Il me regarda en descendant les marches tranquillement. Il était imposant avec beaucoup de cicatrice sur son corps. Il avait le double de mon age c'était certains, mais il était de couleur orange magma. Il était intimidant que par son regard. Une des ses cornes comme les miennes était briser au centre. Je ressentis quelque chose que je n'avais jamais ressentit depuis mon combat contre le roi démon... De la peur... je tremblais devant sa présence. Même le maître noir 20 ans plus tôt ne m'avait pas fait cette effet là. Il arrêta au pied de l'escalier et cligna des yeux pour la première fois. Un étrange sourire se décrit sur son visage et il prit la parole:
- À ce que je vous, mon neveu a bien grandit. Tu es rendu un mâle bien tailler et avec un fort caractère tout comme ton père... Je sais bien pour quel raison tu es ici, mais regarde toi. Ma simple présence te terrifie le plus au point. Comment comptes-tu me combattre si tu es incapable de lever ne serait-ce que ta petite griffe? Ranges tes armes et viens discuté un peu avec ton oncle. Cela fait plus de 10 ans que je n'ai pas vu un destructeur comme moi et toi.
Je ne savais pas comment il s'y prenait, mais il m'enleva toute envie de combattre... Puis d'un coup il sauta dans ma direction avec sa double lame de destructeur. Cette arme ressemblait a une hallebarde avec deux extrémités tranchantes. Heureusement pour moi que mes réflexes et mon instinct repris le contrôle contre ma conscient. Le dégaina Ropéra et para la taillade qui aurait fait rouler ma tête sur le sol. Je sauta vers l’arrière en esquivant le retour de l'autre extrémité de l'arme. C'était un vrai lâche! Maintenant que le combat était amorcé, mon instinct de combat ne laissait aucunement mon cerveau penser. Je fit pivoté Claymore du bas vers le haut. Il para avec vitesse et contre-attaqua avec l'autre extrémité que je dévia avec Ropéra. Il fit une grande tailla que j,esquiva, mais suite a son tourbillons, il fit une attaque d’estoc qui entra dans la chaire de ma hanche. J'étais propulser vers l'arrière a cause du coup. Je repris pieds sans faire attention a ma blessure. Mon sang avait été remplacer par de l’adrénaline. Il refit un nouveau coup d,estoc, mais je l'esquiva et en lâchant Ropéra dans les airs, j'agrippa la hampe de la double lame et lui fit deux entaille sur le torse et le bras avant d'esquiver un botté. Je repris Ropéra en roulant vers la droite. Il se remit en position de garde et me fixa avec un regard et un sourire satisfait:
- Je savais bien que tu n'étais pas faible comme les autre trouillard qui on essayer de me tuer. Tu as quelque chose de différent. Tu portes une haine et une soif de vengeance contre moi. Tu feras un très bon destructeur pour Malefor. Tu pourras l'aider dans sa cause du nouveau monde!
- Ce n'est pas une cause! C'est de la folie! JAMAIS JE NE REJOINDRAIS CE MONSTRE, MÊME SI J'EN SUIS UN!
Nous reprîmes notre confrontation, mais cette fois si avec nos Spiritclaws. Mes Spiritclaws vert et les siennes bleu s'entre choquèrent créant des teintes d'éclat jaunâtre. Chacun se blessa au même rythmes. Mon armure réduit en morceau et ses vêtement en lambeau. Nous étions complètement a bout de souffle, mais nous continuâmes à nous combattre comme si nous faisions que commencer. Le sang de chacun tombaient modérément et la demeure était parsemer de marque de combat. Nous nous fixions pour trouver une brèche dans la position de l'autre, mais aucun de nous trouvait de faille. Nous tournâmes en cercle garde lever et d'un coup, je fit une estoc avec Ropéra, mais aucune spiritclaws. Il tenta de paré la feinte et il se prit le vrai coup d'estoc de Claymore a travers le corps. Le sang gicla abondamment. Il lâcha son arme dans un spasme et tomba a la renverse. Il ne bougea plus son corps, mais il exclama quelque mots avec le reste de ses forces:
- Bien jouer gamin... Cof! Cof! Tu m'as donner... La meilleurs mort que je n'aurais... pu avoir...
Après ses mots de mort, je tomba a genou, lâcha mes armes et tomba sur le coté a bout de souffle... C'était le combat le plus éprouvant de toute ma vie. J'étais coucher de coté face a son corps qui disparaissait tranquillement dans une lumière bleu et entra dans l’œil terne de la double lame. L'oeil s'éveilla comme si elle avait été endormit pendant plusieurs années et me rejoint sans agressivité et resta près de moi. L'esprit de mon oncle était dedans... mais pas l’oncle déchu qui m'avait combattu. C'était celui qui m'avait remercier du combat. Le reste de l'honorable guerrier qui n'avait pas été corrompu par Malefor. Je regarda la double lame avec un regard pensif:
- Je vais te nommé Inspryra... Tu ne sera qu'utiliser en cas de vrai problème...
Sur ses mots, j'attendis de prendre un peu mon souffle pour me relever en position assis. Les têtes plumés arrivèrent pour voir le vainqueur. Ils crièrent tous de joie de me voir ressortir vainqueur. puis je m'affala sur le sol a bout de souffle...