L'avancer des hybrides... Parties 1(INT) [Terminé]

Le grand maître noir, Malefor lui-même avait envoyé des missives d'alliance a Warfang et a Sky Badland. La missive  parlait d'une armée d'hybride qui envahissait leurs terres, mais il n'était pas signé de Malefor pour la missive de Sky Badland. La missive convoquait une alliance entre les trois nations pour combattre les hybrides qui vouaient une haine profonde contre les dragons. La troupe de Sky Badland arriva les premiers à Warfang. Tous des dragons bipieds avc des armures en fer noir graver des symbole de Sky Badland. Le générale Tryxor et Jyvro entra dans la salle des tactiques. Tous les Gardiens et Spyro pouvaient sentir une aura familière... celle d'un destructeur. Cyril posa la question ultime.

-Êtes-vous le destructeur?

Les généraux au tours de la table commença à s’exciter et a fixer Jyvro, comme si je serai un criminel. Je l'ai regarda gêner, puis je redressa ma posture...

-Je suis un destructeur, mais je ne suis pas celui qui s'est lié a Malefor pour faire le cercle de feu. lui qui a fait le cercle de feu est mort de ma main. Il ne reste que moi comme représentant de ma race éteinte. Jamais et au grand jamais je ne ferai le cercle de feu...

Les généraux et les gardiens fixaient le destructeur pendant quelques longues secondes, puis acceptèrent par consensus que ce n'était pas le moment pour faire une enquête. Les cinq mille bipieds attendaient à l'entrée de la ville et se reposaient du long voyage. Tryxor et Jyvro s'approchèrent de la table des tactiques et regarda ce qu'il en était, mais la carte était vierge et c'était celle des terres de Malefor. Avant que même une question se pose, Terrador expliqua qu'il manquait un inviter. Justement celui qui avait envoyé la missive. Il ne manquait plus que lui a attendre pour savoir ce qui se passait.



[HORS RP]:
L'ordre des postes:
Dans la salle des tactique:
1: Jyvro (Maître de jeu)
2: Malefor
3: Volteer
4: Igniis

Dans la matinée, Malefor le grand dragon violet par excellence à lui même envoyer de sa propre patte des missives aux autres factions pour combattre un clan dont la haine naissante envers les dragons pouvaient être dangereux à l'avenir. qu'est ce qui a motiver ainsi le grand seigneur des ténèbres pour remplir ainsi plusieurs papiers ? nul ne connaît la réponse.. Avançant en compagnie de son armée en direction des portes de cette citée qui l'à tant mépriser et rejeter. Il entra seul la tête fière comme à son habitude laissant ses dragons derrière les remparts en attendant de voir si les gardiens respectent le temps de paix en attendant que la bataille contre le peuple hybride soit terminer. Avançant la tête haute en direction du temple des dragons, Malefor se souvient de son initiation comme ci c'était hier laissant échapper de sa geulle un rire moqueur avant de nouveau franchir la porte d'entrée du refuge des sages choisi par la lois des anciens pour guider les dragons. Nous pouvions tous sentir son inquiétante aura aussi noir que son cœur qui se dégage de son corps qui pouvait peut être rendre mal à l'aise certaine personne. Malefor fait un bref signe de tête à Terrador avant de s'avancer en direction de ceux qui s'on les descendants de ceux qui l'ont cruellement exiler et qui étaient après tous responsable de son malheur.

Il avait promis à son fils Shadow qu'il restera calme pendant ce moment stratégique pour exposer ses plans contre l'ennemies qui en veut aux dragons. Il laissa échapper un souffle sachant qu'il n'est pas très douer pour démarrer le début de cette grande réunion qui réuni pour la première fois le bien et le mal qui était bien étrange pour notre dragon violet.

Une guerre... Encore une guerre... J'en avait marre ! Je me dirigea vers la salle des tactiques, où se passait une réunion importante. Jorth m'y avait envoyé pour le remplacer car il avait été grièvement blessé par un criminel. Celui-ci, munit d'une sorte de couteau, le lui avait planté dans le ventre, mais mon chef le retira et le planta dans la gorge du malheureux qui avait osé lui résisté. Il finit alors à l'infirmerie, bloqué pendant un mois, car la lame, même si elle n'avait pas atteint un organe vital, est passé juste à côté. Et s'il bougeait trop longtemps hors de son lit, la plaie allait s'agrandir et le tissu de l'organe s'ouvrait et il mourrait, il avait donc juste besoin de repos. J'étais à côté de mon chef, pour lui dire les nouvelles de la ville, car les infirmière ne l'informaient de rien, et discuter d'autres choses... Lorsqu'un soldat arrivit avec un papier demandant à Jorth de venir à une réunion car la guerre était déclaré et lui expliqua le pourquoi du comment. Il lui dit alors une blague ironique sur sa mobilité pour le moment et lui dit que je devrais y aller à sa place. Il ordonna ensuite au soldat d'écrire un mot, pour qu'il me le donne : "Par ordre de Jorth, chef de tout les gardes de Warfang, j'envois Igniis, mon meilleur élément, pour me remplacer et vous aider à gagner cette guerre. Celui-ci s'exécuta pendant que je regardais mon chef, abasourdit par ce qu'il venait de dire. Le soldat me donna ensuite le papier et s'en alla. La réunion commençait dans cinq minutes. Je me tourna vers mon chef, qui me fit un sourire, et lui dit :

- Et bien... Merci de votre confiance...

- Ce n'est rien... Aller, vas, mon ami ! Vas, et rapporte-moi cette foutue guerre !

- Je ferais selon vos ordres. Et bien, je vous dit au revoir... Ou adieu, si je ne reviens pas de cette guerre...

Il hocha la tête pour me dire au revoir, et je me retourna pour sortir. Mais, juste avant que je passe la porte, il me dit :

- Igniis.

Je tourna alors la tête vers lui.

- Quoi ?

- Tu reviendras, j'en suis sûr. Après tout, tu as fait beaucoup plus de guerres que moi... Tu as beaucoup plus d'expérience...

Je sortit et j'alla vers la salle des tactiques. Ce qu'il avait dit était étrange, pour moi... Savait-il mon passé ? Savait-il tout ? Mais le moment n'était pas venu à ce genre de question et il fallait se concentrer sur cette guerre ! J'arrivis quelques minutes plus tard. Il y avait les trois gardiens, c'est à dire Volteer, Cyril et Terrador, il y avait Spyro, ce héro mondiale qui avait sauvé le monde de sa destruction, il y avait deux dragons bipèdes, ce qui me surpris car je n'avais jamais vu de dragons comme ça avant, et il y avait, ce qui me surpris encore plus, Malefor... Le Maître Noir allait être notre allié pendant un court temps. Je posa le papier sur la table, libre à tous ceux qui veulent le lire, et je me dirigea vers les trois gardiens. Dommage qu'il n'y avait pas le quatrième, car j'en avais entendu gros sur sa sagesse. Je fit une révérence et je leur dis "bonjour" à ma manière.

- Volteer, Cyril, et Terrador, j'ai beaucoup entendu parler de vous. C'est un honneur de vous rencontrer.

Je me dirigea ensuite vers les deux dragons bipèdes.

- C'est un honneur de vous rencontrer aussi, dis-je avec une autre révérence.

Ensuite, Spyro. Je fis une révérence et je parla :

- Spyro, sauveur du monde et de Warfang. C'est un honneur de vous rencontrer.

Enfin, je me dirigea vers Malefor. Je ne fis pas tout de suite la révérence.

- Malefor... Avec toutes les victimes inutiles que vous avez causé, ainsi que le fait d'avoir failli détruit le monde, je vous prendrais pour un monstre. Mais vous avez failli détruire le monde et prendre, ainsi que détruire Warfang l'imprenable. Je vous prend donc comme un génie militaire. C'est donc aussi un honneur de vous rencontrer.

Là je fis la révérence. J'alla m'assoir dans un coin, autour de la table, et j'attendis le début de la réunion, écoutant les tactiques des autres et, peut-être si elles sont meilleures pour moi, mes idées.

Jyvro après quelque minute silencieux d'attente, entend les portes s'ouvrirent. Le Maître noir en personne fit sont apparition dans la salle. Jyvro avait une envie haineuse de lui sauté a la gorge, mais se retint de faire une action dangereuse. Cela aurait pu entraîné une autre guerre en plus de celle planifié contre l'ennemi inconnu. Jyvro se tenait tranquille, mais restait sur ses gardes au cas ou que le dragon violet voudrait faire un mouvement agressif. Jyvro attendit encore quelque instant pour que le violet commence, mais un autre invité arriva. Un dragon rouge assez vieux, mais aillant l'air d'avoir de l'expérience. Il s'introduisit avec beaucoup d’élégance sachant les bonnes manières. Les gardiens et Spyro lui hochère la tête avec respect et cyril lui montra ou ce placé. Le dragon rouge fit une révérence à Jyvro et Tryxor. Ils hochèrent de la tête avec une synchronisation parfait et Jyvro ouvrit la gueule:

- Tout le plaisir est pour moi d'être au coté d'un vétéran de Warfang.

Bien que le dragon n'avait pas l'air d'aimer l'ennemi numéro un de ce monde, il lui fit une révérence pour ses talents de tacticien militaire. Tous les membres de la salle attendaient patiemment les explications du grand dragon violet. La carte des terres aride de Malefor toujours vierge attendais a être utiliser par sont possesseur. Un dragon amena un crayon brute et une efface et les donna a Malefor.

Malefor n'était pas à son aise dans cette salle qui luit rappel tant de souvenir de sa précieuse jeunesse. Il suit des yeux un dragon rouge qui s'approche de lui pour lui dire des propos assez gênants sûrs c'est acte passé, mais restant tous de même polie devant notre dragon violet qui le fixa de ces yeux jaunes. Il lui rend doucement sa révérence s'inclinant avec respect face à son interlocuteur signe qu'il est tous de même redevable de cette accueil. Après que le dragon s'éloigne de lui il accord un regard aux sages, son frère de couleur et à Jyvro avant de s'approcher doucement de la table stratégique. Il eu un sourire moqueur aux lèvres lorsque Jyvro le regarde d'une façon haineuse dans la tête notre dragon violet c'est clair et il se dit à l'intérieur de lui même" vas i qu'est ce que tu attend.. tu donnera une très mauvaise réputation à ton peuple en ne respectant pas le temps de paix"
Il laissa échapper un soupire effaçant se sourire de s'est lèvres prenant doucement le crayon des pattes d'un dragon qui lui ramène. Il approche doucement la mine du crayon entourant des points sur la carte sous le regard de chaque principaux dragons de Warfang.

Le dragon violet resta silencieux tel une tombe pour l'instant incapable de parler face à ses ennemies de longue date. Il n'était pas tellement sûr qu'ils lui fait totalement confiance.. faut dire qui ferez confiance à notre sombre dragon violet de nos jours.

Je regardais la carte et j'essayait de voir comment ont pensés les ennemis. Car, comme on dit : "connais ton ennemi". Ils avaient très bien agis et ont pratiquement encerclé les forces de Malefor, sauf a un seul endroit, ce qui a permis au dragon violet de venir jusqu'ici, je pense. Je voyais Malefor trembler, comme s'il n'était pas vraiment à son aise. Puis, à ce moment, j'intervint en me tournant vers lui :

- Notre ennemi est, à ce que je vois, intelligent. Mais, car il y a un mais, il a laissé une faille. Tout d'abbord, avez-vous essayé de parlementer avec eux ? Si ils ont refusés ou que vous avez directement demandé cette réunion, laissez-moi vous dire franchement que vous êtes dans la merde ! Mais, heureusement pour vous, vous avez une chance de les repoussez... Passez-moi ce crayon !

Je lui pris des pattes et ignora l'expression qu'il pourrait avoir derrière moi. Je me pencha sur la carte et expliqua en reliant certains points, ce que je voulait dire :

- Comme vous le voyez, ils vous ont quasiment encerclés, sauf à un endroit.

J'entourait l'espace vide.

- Je peux deviner que ce vide est pour envoyer une certaine quantité de troupes. Dans ce cas, ce que je propose avant que cette attaque ce passe, c'est d'attaquer chacun de ces points.

J'entourait alors les points qu'avait entourés Malefor.

- Bien sûr, ne jamais sous estimer notre adversaire et toujours le surestimer pour mieux réléchir sur le plan d'attaque, je pense qu'il est assez intelligent pour diviner qu'il se passe quelque chose et ira alors ettaquer Warfang. Pour cela, je pourrais proposer aux troupes de... Sky Badland, je crois, de rester défendre Warfang car, si je ne me trompe pas, vous habitez une île volante et ces hybrides n'ont, je crois, aucune aile, donc votre cité est donc un peu plus en sécurité que la notre. Donc, vous, vous pourriez défendre la cité pendant que toute les troupes de Warfang attaqueraient les points que j'ai entouré, défendrait votre cité, car je pense que vous en avez une, mon chers Malefor, et enfin, surveillerais ce passage qu'ils ont laissé vide pour avertir l'arrivé de potentielles troupes. Et, si nous envoyons un message à Warfang, une partie des troupes de Sky Badland pourrait prendre par surprise les ennemis, pendant qu'ils nous attaquent, car ils ne s'attendraient pas à voir notre nombre augmenter d'un coup.

Je posa le crayon sur la table, je revins à ma place, et je dis à haute voix :

- Bien sûr, ceci n'est que ma vision et que mes idées de plan, d'après mon expérience. Je reste ouvert à toute sorte de proposition et, si vous avez une meilleure idée, et je pense que vous en avez une, je suis tout ouïe.

J'attendis alors une réponse à ce que je venais d'exposer. La guerre m'avait appris ces tactiques. La guerre m'avait appris à pene comme mon ennemis. Et j'espère que la guerre m'aura appris à faire en sorte que ma tactique soit assez bonne et ai une chance de fonctionner...

Je vis le sourire du dragon violet et avais une grande envie de lui sauté à la gorge, mais je me ravisais de faire un geste violent pendant un temps de paix. Néant moins, je garda mon mon regard jusqu'à ce que Malefor arrêta son sourire pour inscrire les emplacement sur la carte. L’ambiance était silencieuse comme si on avait coupé la langue à tout les dragons dans la salle. Puis le dragon rouge qui venait de faire une révérence générale attendit que le dragon violet est arrêter d'écrire pour lui prendre le crayon des pattes. Je me retenu de rire aux éclats. Le dragon rouge me plaisais déjà. Il venait de manquer de respect au grand maître noir comme si c'était un enfant. les autre dragon de la salle le fixa abasourdi et certain ce marmonna "Est-il suicidaire!?!". Les gardiens était surpris de l’attitude du dragon rouge, mais préférait ne rien dire et aviser du regard Malefor de ne rien faire.

Sa stratégie que je n'écouta qu'à moitié, car j'étais concentré me retenir de rire était du moins logique, mais avec quelque faille. Je nargua Malefor avec un sourire moqueur, puis regarda le dragon rouge qui avait fini son petit exposé.

- Je peux bien comprendre que vous nous penser mieux défendu, mais ce sont des hybrides, alors il ce peut qu,il y a des oiseau Hybride dans leur rang. De plus, malgré notre nombre, nous avançons beaucoup plus vite que la majorité des autres armées. Ceci sont en prendre en considération. J'ai reçu une missive d'un vielle ami que les démons de l’île du néant sera près au combat si nous avons besoin de renfort rapidement.

Les dragons de la salle se regardait les uns après les autres. Cyril s'avança pour prendre la parole et regarda en direction du dragon écarlate:

- C'est une bien belle stratégie que tu nous tend sur un plateau d'argent, mais a l'avenir j'aimerai que tu demande le droit de parler et le droit d'utiliser la table. Nous sommes tous ici pour les même raison et chacun d'entre nous avons des points faibles et des points fort. C'est pour cette raison qu'il y a plusieurs générales spécialisés dans différentes catégories. Nous ne pouvons pas seulement ce fié a un seul tacticien.

Cyril avait un ton sec, mais respectueux. Il ne voulait pas que le dragon rouge se sent insulté, mais il ne voulait pas que Malefor délivre sa colère sur le vétéran irrespectueux.



[HORS RP]:
(Spyro ne participera plus a l'évent, à cause de son absence.)

Le maître sombre écoutait de façon distraite le dragon rouge parler. Sa stratégie comportait bien quelques points forts, mais le grand dragon violet avait d’autres idées qui lui taraudaient l’esprit. Malefor, se redressant de toute sa hauteur, décida donc de s’adresser pour la première fois à l’assistance.

-Avant de discuter de choses sérieuses, dit-il d’une voix profonde et d’un ton glaçant, j’aimerais régler un point particulier.

Il fixa alors ses yeux de bourreau sur Igniis. Tous les subordonnés de Malefor avaient l’habitude à un regard perçant donnant l’impression de faire sonder chaque recoin de son âme, mais celui qu’il posait sur le dragon rouge était quelque chose d’autre. Remplis à ras bord de haine et de menaces, on pouvait y lire toute la folie et le mal contenue au sein du seigneur.

-Toi, dit-il en toisant le dragon avec arrogance, tu devrais garder tes bravades secrètes, avorton. Tu as de l’esprit, une chose que j’aime chez les combattants, mais ne t’avise plus jamais de me manquer de respect sans quoi je me ferai un plaisir de te faire subir les conséquences de ton insolence. Il en va de même pour toi, destructeur.Termina-t-il en dévisageant Jyvro.

Cette intervention semblait avoir exacerbé la tension déjà palpable au sein de l’assemblée. Malefor se délectait toujours du malaise et de l’inconfort apparent qu’il créait, généralement par sa seule présence, et ce cas-ci ne faisait pas exception à la règle. Par contre, il n’avait pas commencé à parler pour de simples remontrances. Il reprit donc la parole après un court moment de silence.  

-Mes amis, dit-il à la façon d’un tueur s’adressant à une future victime,il est vrai que cette *menace hybride* est bien réelle. Il est vrai qu’une partie de mes troupes se trouvent en ce moment même en difficulté, comme l’a si bien mentionné cet autre impertinent de tout à l’heure. Par contre, le vrai problème chers gens de Warfang, la véritable raison de toute situation est bien plus simple que vous ne pouvez le croire. Qu’elle serait-elle, selon-vous?

Malefor laissa sa question en suspens. L’air semblait s’épaissir et la malice chez le grand dragon violet grandissait à vue d’œil. Comme prévu, aucune réponse ne vint et Malefor poursuivit.

-VOUS! Rugit Malefor, sans crier gare. VOUS êtes les seuls à blâmer que présentement ces hybrides menacent vos villages, vos familles, votre cité! Pendant que mes troupes combattaient et que mes dragons tombaient par douzaines sur le champ de bataille, que faisiez-vous? VOUS restiez cloîtrés derrières vos murs, tremblant comme les lâches que vous êtes!

Évidemment, même si les gardiens auraient préféré que toute personne n’observe le décorum de cette réunion, le seigneur sombre ne jouait jamais en accord avec les règles. Il n’en n’avait jamais eu l’intention d’ailleurs.

- Cette satané assemblé n’a que trop durée! Déclara Malefor les naseaux fumant. En ce moment même, comment pouvez-vous être sûr que les troupes hybrides ne sont pas en marche pour assiéger Warfang? Ces mêmes murailles sensées vous protéger se transformeraient en une prison. Ne perdons pas plus de temps en bavardages vides! AGIR! Voilà la solution! Cessez de retenir vos troupes et lançons l’assaut. Mes légions n’ont été stoppées que temporairement et sont toujours prêtes au combat. Destructeur, vous parliez des démons de l’Île du néant pouvant venir en renfort à votre demande. Pourquoi alors celle-ci n’a pas déjà été faîte alors que la situation est assez désespérée au point que je doive demander une trêve avec votre pathétique cité? Profitons du fait que les hybrides ont essuyés des pertes. Nous sommes supposés d’avoir l’avantage de la vitesse alors… SAIGNONS-LES À BLANC COMME CES ORDURES LE MÉRITE!

Le grand dragon termina son discours enflammé ainsi. Ses yeux, toujours vifs d’une intelligence malsaine, scrutaient l’assistance sans relâche.

-Des opinions? Dit-il en éclatant d’un rire mauvais tout en faisant mine de s’aiguiser les griffes contre le sol de pierre. Peut-être que d'autres petits soldats ici présents voudraient encore faire part de leurs observations tactiques, hmmm? Mais ne prenez pas trop de temps, celui-ci file siiiiiii vite.

- C'est vrai que je n'avais pas pris cela en compte... dis-je au dragon bipède rouge. Merci de l'information... Cela pourrait grandement aider.

Puis, Cyril me sermona, donc je dis d'un ton un peu désolé :

- Je ferais attention la prochaine fois que je prend la parole. Vous avez raison, on ne peut se fier à une seule tactique, et c'est pour cela que je demande aussi votre avis, car je suis sûr que mon plan a des failles et que vous avez d'autres idées, et surement des meilleures...

Je fus coupé par la voix glaciale de Malefor. Je me retourna vers lui, et il me regarda avec un regard emplie de haine et de menace, comme s'il essayait de me faire peur. Mais, manque de chance pour lui, je ne suis pas un de ses sous-fifres effrayés devant lui. Je le regarda alors, de mes yeux vert, dans ses yeux jaunes, et je le portait un regard qui ne montrait aucune peur, mas une certaine indifférence à ses sermonages et ses menace et une haine qui pouvait faire peur à n'importe qui. En clair, je faisais face au monstre et je ne bronchais pas. Il me menaça et je sentis une certaine tension derrière moi, et ce dragon maléfique se délectait de cela. Mais je ne cédais pas à la tension, et je continuais à le regarder avec le même regard. Après un court moment de silence, il parla avec une voix sadique et je voyais sa malice grandire de plus en plus en lui. Il nous dit ensuite que les hybrides n'étaient pas le vrai problème. Il nous posa ensuite la question de deviner quel était le véritable problème. Après un moment de silence, il hurla que c'était nous, le problème et nous insulta de la sorte pendant une ou deux minutes et il nous dit que nous devrions foncer dans le tas et saigner à blancs ces êtres vivants, comme de vulgaires animaux. Je proposais juste une méthode de défense, lui, proposa une extermination. Puis, il rit d'un rire mauvais et nous demanda s'il y avait des opinions.

Je ferma les yeux, baissa la tête et soupira, faisant sortir de la fuée de mes naseaux. Puis, je me retourna vers Cyril et lui dit :

- Veuillez m'excuser de prendre la parole.

Puis, je me tourna vers le maître noir et le regarda dans les yeux d'un air calme pour ensuite lui dire :

- Car j'ai mes opinions. Et je parlerais en mon nom et pas avec celui des autres. Vous serez peut-être en colère que je vous tienne tête comme cela, mais je tient à respecter les règles ici. Ici, nous sommes tous en paix, et nous essayons de nous aider ensemble grâce à des stratégies. Mais vous, vous nous demander de foncer dans le tas, ce qui ne fera qu'essuyer des pertes et des défaites inutiles. Vous nous insultez alors que nous sommes en paix éphémère. Vous nous dites que nous nous terrons dans notre coin, mais, d'après mes souvenirs, c'est vous qui vous terrés dans un temple flottant dans les airs, attendant la défaite avec la venue de deux dragonnets de dix ou onze ans qui n'eurent pas débloqués entièrement leurs pouvoirs. C'est vous qui avez essuyé défaites sur défaites en fonçant dans le tas et êtes fait enfermé dans une autre dimension comme dans une vulgaire prison. Mais souvenez-vous, vous avez réussis à faire des dégats, que lorsque vous avez stratégé. Alors, maintenant, Maître Noir ou non, vous avez signés les papiers et je vous demande donc de respecter les règles le temps de cette paix. Vous me menacez d'être mon ennemie, mais n'oubliez pas que vous êtes l'ennemis de beaucoup. Et après la mort de cette paix, sachez que vous redeviendrez mon ennemis, car vous l'avez toujours été. Alors, maintenant, écoutez-moi. Cette guerre est une partie d'échec. Et j'essayerais de mon mieux pour ne pas envoyer mes gardes inutilement comme des pions qui se ferons détruire tant qu'un plan n'a pas été fait.

Puis, j'esquissa un sourire pour lui dire :

- Peut-être ne le savez-vous pas, mais cet "avorton" a tué votre Nécromancien et Gaul ressucité par celui-ci et déjoué ses plans de destruction de Warfang. Et sachez que cet "avorton" peut aussi se montrer cruel comme vous l'êtes. Et, puisque vous nous insultez, et que je prend ici tout le monde à mon égal le temps de de la réunion, je ne vais pas me géner pour vous dire que sachez que Gaul était un guerrier avec plus d'honneur que vous en avez. Et sachez que si vous n'acceptez pas notre aide que nous essayons de vous apporter, je peux franchement vous dire d'aller alors vous faire cordialement foutre !

Je me retourna vers Cyril et lui dit d'un ton calme :

- Merci de m'avoir laissé parlé. Et je suis encore désolé si je vous coupé la parole et désolé d'avoir encore une fois enfrein les règles de la parole. Mais sachez que je ne pouvais laisser passer cet affront sans montrer que l'on a du répondant. Je ne recommencerais plus, à part si cela se reproduit encore une fois...

Je resta là où j'était et je regardais la carte comme si rien ne s'était passé. Ma colère était maintenant partie, et je me préparait aux représailles. Mais, au moins, je pouvais me vanter d'avoir été l'un des seuls à tenir tête à Malefor, qui fait si peur à d'autres personnes...

Je n'en croyais aucunement mes oreilles. Il osait me menacer directement devant tous le monde. Ce dragon je ne l'aimais déjà pas avant de le rencontré, mais la c'était pire que pire. Mes impulsions me dire de lui trancher la tête. Mes yeux avaient changé pour faire un trait argenté entouré d'une dégradation grise. J'Empoignai la garde de mon épée prit d'une rage destructrice, mais Tryxor m’empêcha de dégainé en posant sa main sur ma garde. Je repris mes esprits à ce moment et en conclu que j'avais perdu le contrôle. Je détestais ce "maître noir", ce dragon violet foncé qui avait utiliser ma race pour essayer de détruire le monde. Je n'étais surement pas le seul a être enrager par la provocation du violet qui nous pointait du doigt comme des lâches. Spyro, les gardien et moi le regardions sévèrement le violet. Il nous accusait d'un problème dont IL était victime et non le reste du monde... Pour l'instant. Ce dragon clairement timbré me demanda avec violence, pourquoi les troupe de démons n'était pas encore sur le champs de bataille... Je me devait de lui répondre a ce sans esprit!

- Je suis désolé de vous apprendre que votre "génie de violet" n'a pas compris qu'il seront la en renfort si nous sommes dans le pétrin. Nous revenons de 24 années de guerre, alors ce ne sont pas tous le monde qui veux combattre pour un timbré comme vous!

Cyril était désespéré de tous ce qui arrivait. Le bordel était prit et le vétéran rouge que j’appréciais déjà par sa prestation répliqua au vieux sénile. Il était tellement directe et sans remord de ses dire que je ne pu m'empêcher de pouffé de rire. Mes rires étouffé n'était pas très perceptible, mais ceux qui avait une vision sur moi remarquèrent que je riais. Après les arguments du rouge, un dragon de Warfang leva la patte pour demander le droit de parole et avança vers la carte. Cyril demanda le silence d'une voie grave. Le Warfangien était orange.

- Si il reste aussi peu de vos troupes maître noir, elles ont surement dû être décimé après votre départ. Les hybrides doivent déjà être en route vers Warfang. Alors selon mon jugement, nous devrions déjà travailler sur les défenses de Warfang.

L’orangeade n'avait pas tord sur un point. Il restait très peu de dragons contre un nombre indéterminée d’humanoïde animale. Les dragon de l'assemblé commencèrent tous a se conseiller en chuchotant. Pour ma part, je continuai a observer le violet pour être près a toute attaque de sa part.

La réplique universelle du rouge, du destructeur et des autres dragons présents dans la salle n’affectèrent en rien Malefor, mais bien au contraire, l’amusait au plus haut point. La colère palpable qui émanait de ses interlocuteurs de Warfang ne faisait que nourrir sa motivation à provoquer les consciences déjà explosives. Comme il l’avait prévu, son aura maléfique semblait presque affecter tous les êtres vivants dans son entourage.

Il se contenta de sourire arrogamment lorsqu’il aperçut Jyvro tenter d’empoigner son arme, pour ensuite se faire stopper lamentablement par une personne dans l’assistance. Ah…ces Warfangiens étaient si faibles lorsqu’il était question de tempérament. Par contre, le grand dragon violet reconnaissait qu’il était temps de mettre fin à ces tirades sans fin qu’il provoquait. Cela-dit, il pouvait toujours se permettre un dernier coup d’éclat alors que le dragon orange terminait sa remarque tout au plus insignifiante.

Dans son sublime mépris pour les lois de la salle tactique, Malefor ignora une fois de plus le droit de parole et s’avança sans hésitation.

-Enfin! S’exclama-t-il d’un ton enjoué en réponse au Warfangien orange. Enfin quelqu’un ayant le jugement pour reconnaître l’urgence de votre situation gens de Warfang. Contrairement à certains enfants turbulents n’ayant pas leur place au conseil. Ajouta-t-il mesquinement en posant son regard sur Jyvro et Igniis.

-Toutefois, reprit-il, j’aimerais prendre un moment pour vous convaincre, destructeur. Pourquoi voudrait-on combattre pour moi? Dit-il à l’adresse de Jyvro. Parce que je suis le plus grand chef de guerre que ce monde n’ait eu la chance de connaître! Laissez-moi vous rappelez que pendant des années, Warfang a été à ma merci sans pouvoir répliquer d’aucune façon. Avant que ce très cher Spyro n’ait commis la grossière erreur de refuser sa destinée pour se joindre à votre camp, vos armées étaient décimées ou en déroute partout sur le continent. À tous, j’ai exposé la faiblesse de vos guerriers et votre volonté qui s’amenuisait au fil du temps. Bien sûr,  la chance vous a souri à la fin du conflit, mais sachez bien qu’un tel scénario ne se reproduira pas!

Malefor laissa un temps de silence avant de reprendre.

-Satisfait? Demanda-t-il de façon presque innocente au destructeur. Donc, revenons maintenant dans le vif du sujet, voulez-vous bien?

Il se retourna vers le dragon qui avait fait le dernier commentaire.

-Il est toujours juste d’affirmer que mes troupes ont essuyé des pertes au combat. Toutefois, elles sont bien loin de l’anéantissement total  de votre théorie. Dit Malefor en se rapprochant quelque peu de l’autre dragon, le dominant de toute sa hauteur. Seriez-vous assez naïf pour croire que j’aurais laissé mes légions à leur sort? Au moment de mon départ, les meilleurs éléments de mon commandement préparaient les troupes de choc à briser l’encerclement. Lorsque ce sera fait, il sera possible de prendre à revers nos opposants et les abattre comme les bêtes qu’ils sont!

Le grand dragon violet pris une pose pour se détourner du dragon pour fixer son regard de fauve sur le reste de l’assemblée.

-Je dois tout-de-même donner crédit à votre perspicacité, petit lézard, ajouta-t-il à l’adresse du même Warfangien, les troupes hybrides sont toujours en nombre incroyablement plus supérieur à ce que vous pourriez l’imaginer et un important contingent se dirige probablement vers votre précieuse cité. Pour votre salut, vous allez devoir vous décider à agir une bonne fois pour toute! Envoyez des éclaireurs observer les mouvements ennemis et mobilisez vos troupes à la défense de la ville!

Malefor coupa là court à son discours pour commencer à rire de façon inquiétante.

-Ça par contre, c’est s’il n’est pas déjà trop tard pour vous. Ricana-t-il. Combien de temps allez-vous continuer à perdre en tentant de me répliquer? Continuez, continuez à votre guise, gens de Warfang, ce n'est pas mon temps qui est compté, mais bien le vôtre. Mes dragons et moi-même sommes déjà damnés et voués à la destruction. Ces hybrides, comme toutes autres créatures insignifiantes de ce monde, ne peuvent que temporairement nous stopper, car le mal, mes amis, le mal ne meure jamais. Pouvez-vous les entendre? Ajouta soudainement le seigneur fou en arquant sa nuque et en semblant pointer son visage vers le ciel tout en fermant les yeux. Les futurs cris de terreur que votre peuple poussera lorsque ces monstres créeront une brèche dans les remparts et se déverseront dans vos rues. Et que disent-ils, gens de Warfang, que répétera sans cesse votre peuple alors qu'il se fera massacrer? Pourquoi? Pourquoi nos chefs n'ont-ils rien fait?  

Le seigneur sombre soupira en souriant, dans toute sa maléfique splendeur.

-Et ce cris fera écho dans votre esprit jusqu'à ce que chacun de vos sujet n'est été haché menu. Que chaque enfant, chaque vieillard sous votre responsabilité ne se soit fait transpercé par une lance. Cela-dit, cette pensée ne me fait ni chaud ni froid. Je me demande seulement à quel point ces hybrides me simplifieront la tâche. Alors, chers conseillers, chers maîtres de Warfang, que ferez-vous maintenant? Souhaitez-vous encore entendre les autres brides d'un avenir toujours possible?

Lorsque je vis ses regards et ses sourires, je savais qu'on ne pouvait lui faire voir la raison. Puis, un dragon orange parla de défendre la ville.

- C'est vrai que si la situation est aussi urgente, défendre la cité serait pas mal...

Mais je fus coupé par un autre long discour de Malefor. Il se vantait alors qu'il n'avait aucun mérite. Il n'a jamais mit Warfang sous ses griffes. Cette cité lui a toujours résisté. C'est pour cela, à ce que l'on dit, que Malefor voulait la détruire. Il continua à insulter les hybrides comme des pauvres créatures sans âmes. Je soupira à ce moment là, pour contenir ma rage. Ce sont des ennemis, pas des "animaux". Ils ont des familles, des amis, un honneur, ce qu'a visiblement perdu Malefor... Puis, il nous dit une sorte de menace avec un ton montrant sa sadistiquité. Ses paroles allaient dans le vent. Je connaissait les risques de la guerre, c'était pas nouveau ! Puis, je dis, après avoir demandé la parole :

- Nous connaissons tous les risques de la guerre, ici... Et je pense que défendre la ville est une très bonne idée, comme l'a dit notre ami orange et le Maître Noir. Et je veux donner un avi personnel ici. Comme nous le savons, ceux que nous appelons les hybrides sont plutôt des créatures pacifiques et ne sont pas du genre à démarrer un conflit, qu'il soit gagné ou perdu d'avance. Sauf quand le ras le bol atteint un niveau critique. C'est donc pour cela qu'ils ont commencé à attaquer. Et je me demande bien pourquois ils ont d'abbord attaqué Malefor...

J'émit un regard en coin vers le grand dragon violet.

- Enfin bref, voilà ce que j'aimerais vous proposer, ce sera à vous de me dire les failles de ce que je vais dire. Je propose, qu'après avoir fait les fortifications de la ville, nous essayons de parlementer avec ces hybrides. Ce ne sont pas des orudures sans âmes, comme l'a dit le dragon violet, et si une once de paix peut exister, je serait prêt à léguer un bout de notre Territoire ou de mes richesses pour éviter de faire couler le sang de nos frères, fils, pères, amis, de tout le monde. Quelques kilomètres ou une cohabitation de notre terrain ne vallent pas la peine d'avoir des milliers de morts sur notre conscience ! Et puis, ces hybrides nous ont beaucoup aidé ! Regardez les taupes de Warfang et le clan de Chasseur ! Donc, je propose que nous essayons de parlementer tout d'abord avant qu'un éventuel grand conflit ne s'acharne.

Malefor était encore en train de la ramener. Il parlait de la merci au quel Warfang a été pendant plusieurs années... Mais il est complètement barge! Si c'était vraiment le cas, il aurait simplement pu raser la ville et passer tous de suite à la destruction du monde sans le violet dans les pattes. D'ailleurs, Spyro n'avait pas l'air d'aimer les discours du dragon, mais il resta néanmoins silencieux. Il fini sa réponse à ma "question" en disant qu'il était LE meilleurs commandant. Sky Badland n'aurait aucune misère à écraser son armer et celle de Warfang... Le problème restait les dragons violets. C'est tellement un écart de force, que même des destructeurs ne ferai pas le poids. Je resta silencieux, car je ne voulais pas amener un autre débat sur la table, car ce n'était pas le moment.

Le dragon rouge expliqua pour ca pars, qu'une paix durable pourrait être établie entre les hybrides et les dragons... Ce n'était pas une mauvaise façon de penser, mais si les hybrides réagissent comme les dragon bipieds, ça ne durait pas longtemps. Un dragon de l'assembler s'approcha de la table pour parlé, mais il fut interrompu par un bruit de baliste de Warfang et une hybride oiseau traversant la fenêtre avec une grande lance traversant son corps. Sur son dos il y avait un dragon de Sky Badland qui tenait la grande lance conique. Il plaça un pied près de la lance et tourna celle-ci dans un bruitage d'os et d'organe qui se brouillait, avant de sortir son arme hors du corps de l'hybride. Il se tourna vers moi et son supérieur et leva sa visière pour pouvoir parlé.

- Chef! il y a des escouades d'assauts léger qui attaque la ville par les airs. Ils sont nombreux! heureusement, il n'y a aucune attaque terrestre.

Je lui fit signe de la tête et il repartit au combat. Je dégaina Claymore, Ropéra et partie vers la porte avec mon comandant et me retourna:

- Je crois que cette discutions reprendra après le combat. Allons défendre Warfang!

Sur ses mots, je partis au pas de course vers la sortie pour aidez mes guerriers dans la protection de Warfang. Les gardiens et Spyro sortir quelques secondes après moi et allaient aider a leurs tour les troupes de Warfang. Il y avait un nombre énorme d'hybride dans le ciel. C'était une vague de plume qui s'abattait sur la cité. Des grands projectiles enflammer tombait sur la ville fortifier, embrassant quelque maison moins bien construite.

-Le temps est venu pour vous Warfangiens! Déclara Malefor d’une voix forte en se dirigeant à l’extérieur de la salle tactique. Voyons-voir si vous êtes aussi prêts à défendre votre pathétique cité que vous le dîtes. Ajouta-t-il à l’adresse des dragons toujours présents dans l’assemblé.

Il se retourna vers eux lorsqu’il atteint le seuil, son physique colossal bloquant presque l’entrée.

-Et bien? Dit-il un sourire carnassier aux lèvres. Ceux qui veulent se battre peuvent venir avec moi! Les autres tenez-vous hors de mon chemin.

Sur ce, le maître sombre sortit à l’extérieur et fut agréablement reçu par une vision de chaos. Le ciel était noirci de combattants qui s’entretuaient allègrement pour ensuite laisser les cadavres des vaincus s’écraser au sol. Certaines zones de Warfang étaient en flammes et Malefor regardait, amusé, les habitants tenter de maîtriser les incendies qui s’étaient déclarés.

-Ils mourront comme les misérables insectes qu’ils sont si la garde ne réagit pas plus vite. Ricana intérieurement Malefor en observant le combat qui se disputait brutalement dans les cieux. Montrons leurs ce qu’est un véritable guerrier!

Le chef de guerre déploya ses immenses ailes et, d’en une bourrasque violente, s’envola pour participer aux hostilités. Il se chercha aussitôt une cible. Ainsi entouré de soi-disant guerriers de Warfang, le chef de guerre aurait été tenté d’en tuer quelques- uns. Ces lâches le méritaient amplement! Toutefois, il se ravisa. Attaquer ces hybrides inférieurs était la priorité du moment. Il aurait maintes occasions d’en tuer dans le futur…

-Arrrh, tu t’en tire cette fois vermine! Gronda Malefor intérieurement en posant ses yeux fauves sur un Warfangien qui passait non loin.

Il reporta son attention sur les hybrides, les victimes potentielles ne manquaient pas!

-Trouvé! Rugit-il en prenant pour cible un groupe semblant se tenir un peu en retrait. Personne n’échappe aux ravages de la guerre!

Il fonça donc sur sa cible, brisant la fragile formation qu’avaient adoptée les hybrides. Ceux qui ne moururent pas tout de suite eurent de la chance. Malefor cracha ensuite un torrent de flammes, carbonisant la majorité de ces misérables créatures. Le seigneur s’exulta de plaisir en écouta leurs derniers cris de douleur alors qu’ils agonisaient. Toutefois, une des bêtes avait eu la chance (ou la terrible malchance) de s’être fait protéger par le corps d’un de ces camarades. Terrifié, il aurait bien voulu fuir, mais le boucher violet fut trop rapide pour lui. Lui coupant sa trajectoire de vol, il empoigna le soldat entre ses griffes.

-Voilà pour toi, murmura-t-il, créature.

Malefor déchiqueta l’hybride sans autre forme de procès. Il laissa tomber les pièces sanglantes dans le vide. Le seigneur sombre pris un moment pour humer l’air. Il y sentit le sang, la chair calcinée, la mort…

-Ahhhh…expira-t-il de joie, enfin chez soi…

Il fondit, de retour au sein de cette scène infernale, déchaînant sur tous les hybrides sur son passage, l’étendue de ses pouvoirs titanesques.

L'attaque de la ville avait déjà commencé. La guerre était délaré !

On nous confirma une attaque sur Warfang avec l'hybride oiseau mort. le dragon bipède rouge dégaina deux sortes d'épée et sortit pour se battre en nous incitant à défendre Warfang. Quand à Malefor, il s'en alla avec un sourire carnacier digne des plus grand prédateur. La chasse à l'hybride venait de commencer, pour lui.

Quand à moi...

Je croyais qu'une paix pouvait être possible... Mais maintenant, je me retrouve encore comme il y a vingt ans en arrière. Tuer, ou être tué. Je détestais cette phrase, mais il fallait la mettre en action ce jour-ci. Puis, je pensa à une seule chose soudainement... Notad ! Il fallait le mettre à l'abri ! Je sortis alors à toute vitesse en direction de ma maison. Je ne croisa heureusement aucun hybride. Une fois chez moi, je vis Notad dans le salon en train de dormir profondemment. Je le réveilla vite fait.

- Qu'est-ce qu'il y a, papa ?

- Je n'ai pas le temps de t'expliquer !

Je le pris par la peau du cou, pris mon masque qui était à côté, le mit, et me dirigea vers la porte.

- Où on va ?

- On va à l'abris !

- Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?

Soudainement, quand j'ouvrit la porte, je vis un dragon bipède tomber devant moi, blessé mortellement. Il me regarda d'un regard triste avant de s'éteindre.

- La guerre ! Voilà ce qu'il y a, dis-je pendant que Notad commença à pleurer, effrayé.

Je vis, un peu plus loin, un hybride oiseau avec une lance. Il se retourna vers moi avec un regard emplie de haine. Il prépara à lancer son arme quand je bondit dans les airs et vola vers l'endroit où se trouvait Jorth. Il jeta la lance mais ratta son coup de peu. Elle passa juste devant Notad, qui devenait de plus en plus effrayé. Il fallait que je me dépêche. Heureusement, en deux ou trois coups d'aile, j'étais au bon endroit. J'entra précipitemment dans la chambre de mon supérieur et, celui-ci, surpris, me dit :

- Qu'est-ce qui se passe ?

Je lui posa Notad devant lui et le regarda dans les yeux. Nous entendîmes soudainement un cri et la vitre de la chambre fut soudainement taché de rouge par une giclé de sang. Jorth se leva et ferma le store de la chambre avant de se remettre au lit, puis il me dit :

- Je vois... Elle vient d'être déclaré, c'est ça ?

Je lui répondit d'un hochement de tête. Puis, je dis :

- Ferme bien la porte et protège-le, s'il te plaît.

- Et si tu ne reviens pas ?

Cela fit Notad bondir de surprise :

- De quoi ? Tu va pas revenir ? Pars pas, papa ! S'il te plait... Je veux pas que tu meurt toi aussi...

Il commença à pleurer en m'étreignant. Je le regarda et soupira tristement. Je le confia à Jorth pour qu'il le tienne et je dis :

- Si jamais je ne reviens pas... Protège-le.

Il hocha gravement la tête. Je me pencha sur mon fils qui commença à pleurer à chaudes larmes et je lui dit d'un ton rassurant :

- Je te promet de revenir. Et toi, tu peux me promettre une chose ?

Il hocha la tête alors je continua :

- Promets-moi d'être fort, pendant mon absence et de rester avec Jorth.

Il me dit toujours en sanglotant :

- Promis.

Je lui adressa pour cela un sourire et un calin. Je me retourna et sortit de la chambre, mais avant de fermer la porte...

- Promets-moi aussi que tu reviendras.

Je hacha la tête gravement avant de fermer la porte et revenir dehors, dans le champs de bataille. Je retrouva l'hybride et, par derrière, je lui arracha la tête d'un coup de croc.

Tuer, ou être tué !

Je recracha la tête pendant que le corps de malheureux saignait abondament de la plaie mortelle que je lui avait fait. Je coura à travers les rues et j'entendis soudainement un cri féminin. Je me dirgea vers celui-ci et je vis une jeune dragonne qui venait à peine de sortir de l'adolesence accompagnée d'un jeune dragonnet qui devait avoir 10 ans de moins qu'elle dans un cul de sac et, devant eux, il y avait trois hybrides oiseaux en train de s'approcher doucement vers eux. Je pris une lance, qui n'était pas loin d'un autre cadavre, et je me dirigea à toute vitesse vers eux. Je les eu par surprise. J'embrocha celui-ci au milieu et tua d'un coup de griffe horizontal les deux autres.

Tuer, ou être tué.

Après cela, je dis aux deux dragons :

- Courez tout de suite vous mettre à l'abri !

Je me retourna et me dirigea vers les portes de Warfang pour aider à défendre. Mais, en chemin, trois ennemis me barrèrent la route. Je vis, derrière eux, un énorme projectile enflammé qui se dirigeait vers nous. Je crus que ma fin était proche mais le projectile s'écrasa sur les deux hybride de derrière, surprenant le troisième qui se retourna pour voir ses deux compagnons écrasés par ce qui venait de tomber. Ce projectile était encore enflammé et mon ennemis me tournait le dos pour voir ce qui restait des deux autres... Je vis alors une occasion. De ma patte avant droite, je pressa la tête de l'hybride, face contre le projectil en feu, et celui-ci commença à hurler comme hurlerait un porc qu'on égorgerait. Sa chaire commença à brûler pour devenir inexistante et ne laisser que des os à la place de la tête.

Tuer, ou être tué...

Je me dépêcha d'aller vers les portes. Là, je vis le dragon bipède rouge de la réunion et, derrière lui, deux ennemis oiseaux prêts à foncer sur lui. L'un deux se lança et moi en même temps. Je l'attrapa au vol avec un rugissement avant de le balancer avec force sur son compagnon. Je sauta sur eux et je les acheva.

Tuer... Ou être tué...

J'hurla un détail important :

- Gardes de Warafng, écoutez ! Puisque Jorth, le capitaine des gardes, est blessé, je suis momentanemment votre chef, durant cette bataille !

après avoir dit cela, je me dirigea vers le dragon bipède et lui dit :

- Alors ? Combiens de victimes, pour le moment ? Personellement, j'en ai cinq, dis-je gravement.

Un autre projectile attérit un peu plus loin, devant moi, sur un dragon quadrupède soldat de Warfang.

Cela faisait maintenant dix secondes que j'étais sorti et je voyais déjà des volatiles s'en prendre aux fenêtres d'une maison. Je tourna la garde de Ropéra pour que sa lame pointe vers l'arrière. Je sauta sur le mur de la bâtisse avant celle assiégé et bondit grâce au mur, vers mes ennemis. Je fit sortir de la vapeur a haute pression de mes flancs dans des direction précise pour faire de moi, une toupie avec mes épées déployées. les Hybrides n'ont eu aucune chance de fuite et ils fut déchiqueter par mes coups violent et rapide. 5 hybrides en moins. Je retomba au sol genou a terre. j'étais étourdis, mais ça en a valu la peine. Je regarda partout pour sécuriser l'endroit, le temps de reprendre équilibre. J'entendis un bruit sourd vers l'avant. une maison était en feu. des dragons étaient prit dans les débris. Cyril tenta d'arrêter le feu, mais il y arrivera trop tard. Si personne ne sauvait les dragons, il allait mourir suffoquer ou brûler.

Plus de temps a perdre pour reprendre ses esprit, je rengaina mes épées et couru vers la porte de la maison. d'un grand coup d'épaule, j'e l’enfonça sans trop de problème. le première étage n'était pas toucher par les flammes. deux grand saut et j'étais maintenant au deuxième étage. Il y avait trois dragons... mais je n'ai que la force d'en prendre deux... Le père qui était sur une poutre me regarda et pointa sa femme et son enfant. Je ne voulais pas le laisser là, mais il avait pris sa décision. Je pris l'enfant et la mère dans mes spiritclaws et je parti vers le bas. Je ne voyais plus rien, mais je fini par sortir de cette enfer. Je déposa les deux dragons au sol. des taupes vinrent leurs prodiguer des soins avec des dragons. Je toussa plusieurs fois. Je me releva en déclinant les soins des guérisseur et j'étais prêt a y retourné, mais une forme violette transportant un dragon jaune était perceptible au travers des flammes. Spyro sorti des flammes qui avait prit le première étage. Il portait le père que je n'avais pas pu sortir. Il le déposa au pied des guérisseurs et il vint me voir.

- Ne t'inquiète pas, il survivra... Tu es clairement différent de ce que l'on pense de ta race. Quand les combats auront diminué sur vos flanc et ceux de Warfang, vient me voir. d'accord? Je ne te retiens pas plus longtemps, tes troupes ont besoins de toi.

Je hocha de la et repartis vers les portes de la citée. Je m'arrêta devant celle-ci mes dragons se faisaient blesser, mais les pertes ennemis était clairement large. Warfang, Sky Baland et Malefor avait clairement l'avantage sur les hybride qui commençaient a tombé comme des mouches. Un bruit de chaire se fit entendre derrière moi. La voix du dragon rouge me parla. Lui répondre était la seul politesse:

- Quatre pour l'instant. J'ai du sauté dans un bâtiment en feu pour sauvé deux vie. Spyro m'as aidé avec le troisième dragon.

dix bipède vint se posé devant moi. Ils étaient les guérisseurs de mes troupes. Il devait maintenant aider tous le monde.

Vous trois! Aller guérirent les civils. les sept restant, Vous allez aider tous dragons en besoin de soins. Je veux que chacun de vous soyez accompagné par une sentinelle lourde! Maintenant!

Les dix dragon se dispersèrent vers leur objectif accompagner de dragons armurés très lourdement.

-L'idée d'une paix a été très courte... mais nous sommes fixé, pour ce qui est de leurs désirs.

Malefor se sentait bien chez lui, au plein cœur de la bataille. Les cadavres d’hybrides et de dragons confondus tombaient de toutes parts et jonchaient maintenant les rues de la cité. Conscient de son triomphe et de sa magnificence, le seigneur alla, à la façon d’un aigle, habilement se percher sur l’un des plus hautes tours au centre même de Warfang. De cette hauteur, il avait une vue parfaite de l’étendue du carnage. Le sang coulait à grands flots sur le sol de pierre, les marchés et les étals étaient saccagés et les cris des habitants paniqués fendaient l’air alors que des colonnes de fumée s’élevaient vers les cieux.

-Quelle…beauté. Se dit l’énorme dragon violet en écarquillant les yeux de bonheur. Oh, mais QUELLE BEAUTÉ!

Pendant quelques instants, Malefor étudia ce tableau cauchemardesque avec attention.

-Il serait maintenant grand temps de leurs montrer avec panache qui est leur souverain légitime! Se
dit-il.

Sur ce, le chef de guerre rugit de toute ses forces en soufflant par ses naseaux des torrents de flammes. L’écho se répercuta avec puissance aussi loin qu’il était possible de voir à l’horizon.

-Maintenant, il est temps que l’empereur se montre à son peuple.

Sur ces mots, Malefor bondit dans le vide et fondit vers le sol tel un faucon. À son arrivée, les pierres se fissurèrent sous la force de l’impact. Après s’être redressé de toute sa hauteur, le seigneur pris le temps de regarder autour de lui. Tout n’était que ruines et vestiges calcinés.

-Bien, se dit-il léthargique, la reconstruction n’en sera que plus simple lorsque je règnerai.

Il se mit alors à marcher de façon triomphale en suivant les rues qui s’étendaient grande ouvertes devant lui. Au cœur des bâtiments écroulés et des maisons incendiées, Malefor pris le temps d’observer la grande escarmouche qui se déroulait toujours dans les airs. La bataille gagnait en intensité remarqua-t-il. Il restait bien moins de combattants qu’au départ, toutefois la férocité était la même. Cette grande œuvre prendrait fin lorsque l’un des deux camps aura exterminé l’autre.

C’est alors qu’une douce musique vint bercer les tympans du chef de guerre lorsqu’il pénétra dans un des quartiers voués principalement à l’habitation. Ses oreilles reptiliennes avaient vent de cris de désespoir. Des dizaines d’habitants étaient encore coincés dans leurs demeures en flammes. Des cris masculins, féminins, d’enfants et de vieillards se mêlaient pour former une symphonie macabre.

-Oh doux sons…quel bienfaits pour mon âme…

Le seigneur des ombres s’arrêta quelques instants pour continuer à écouter la funeste mélodie. Il savait très bien qu’il ne lèverait pas une griffe pour aider les malheureux. Les faibles ne méritaient pas leur place dans son royaume. Ils mourraient donc. Malefor reprit sa progression lorsque les cris de supplication se turent. Il était déçu que le concert ne fût pas plus long.

Alors que le chef de guerre se dirigeait à son gré dans la cité en guerre, il aperçut les deux fauteurs de troubles de la salle tactique. Malefor fut amusé à la vue du bipède qui tentait de coordonner ses guérisseurs au milieu des combats. Il s’approcha donc, souple comme une panthère et se glissa agilement à leurs côtés.

-Un spectacle merveilleux, n’est-il pas? Déclara-t-il. J’en conviens que le chaos et la mort ont leurs facettes quelques peu salissante, dit-il en passant une griffe dans le sang qui imprégnait le sol, mais la beauté que l’on en retire n’en vaut-elle pas le coup? Artistiquement parlant bien-sûr. La guerre reste un art avant tout.

Il laissa une pause.

-Nous devrions nous sentir comblés, mes petits soldats, dit-il doucereux, la bataille semble tirer à sa fin, mais nous aurons l’occasion d’observer encore de nombreuse fois dans le futur des scènes semblables à celle-ci.

Sa joie était sans bornes. Le seigneur fou ne pouvait attendre la venue du prochain carnage.

Dès lors que la vitre de la salle des opérations avait été brisée, annonçant par la même occasion un hybride volant empalé dans une lance d’un soldat, moi et mes confrères, Igniis, les meneurs de Sky Badland, Malefor suivit d’une délégation défensive sortîmes de la pièce et nous révélèrent au grand jour.
 
Chacun partit en sa direction afin de couvrir le plus de terrain possible. Terrador et Cyril partirent en duo, et je décidai de m’envoler à mon tour, suivi d’un petit groupe de soldats de Warfang qui me proposèrent leur assistance. Ces derniers portaient tous une armure au niveau du plastron, des pattes et du dessus de la queue. Le métal brillait aux lueurs des foyers qui venaient de s’embraser et tamisé la cité d’une effroyable lueur de guerre. L’odeur viciée du sang mêlé au brûlé arrivait à mes nasaux qui repoussa au départ cette senteur qui me dégoûtait. De tous les temps que pouvaient connaître une civilisation, la guerre était bien celui que je dépréciais le plus. Il empêchait l’épanouissement de la culture, brûlait du précieux savoir, et , plus que tout, la guerre est engendrée par les erreurs de nos contemporains, et sans cesse faite, comme si il y en avait toujours qui réfutaient le progrès.
 
Etant onze, je leur demandai de prendre une formation en V, de laquelle je pris la tête, et nous fonçâmes sur une escouade d’ennemis groupés, ce qui, je le remarquai, était rare. Les ennemis étaient plutôt dispersés, ou fragmentés en groupes de deux à trois « soldats ».
 
C’est à ce moment que la chaos s’immisça dans notre guerre.
 
La formation se dispersa rapidement afin de combattre chacun son ennemi. Un des gardes passa derrière un de mes opposants qui ne m’avait que remarquer. J’esquivai un coup de bec maladroit et le frappa de la paume de ma patte pour l’envoyer sur l’autre dragon qui lui donna un coup de griffes descendant, faisant chuter l’hybride jusqu’à ce qu’il s’écrase avec force fracas et hurlements au sol.
 
Je sentis une légère bourrasque effleurer ma crête, me faisant me retourner immédiatement pour dévier d’un revers de la patte in-extremis une lance qui fonçait dans le but de déchirer la membrane de mon aile droite. L’hybride émit un rugissement de frustration, et je le fis terre d’un rayon de tonnerre qui le paralysa, ne lui laissant aucun autre choix que de rejoindre la terre qui l’avait vu naître.
 
Je me retrouvai bientôt seul, cherchant dans les rues des ennemis ou des civils à aider. Je trouvai sur mon chemin quelques fuyards que j’aidai en leur indiquant un chemin sûr.
 
Tandis que je me posai pour accompagner une famille dont le foyer venait de brûler,  deux hybrides vinrent m’attaquer. L’un parvint à me griffer légèrement le torse avec ses serres épaisses, tandis que l’autre m’attaqua frontalement pour perdre mon attention sur lui. Je décalai ma tête d’un léger à coup sur ma droite et agrippa la lance qui me menaçait plus tôt entre mes crocs, la rompant d’un seul coup. Le deuxième revint à la charge, ayant effectué une ronde. Néanmoins, il désirait cette fois s’en prendre aux dragons que je protégeais. J’attrapai le bout pointu de la lance avec ma queue et la lança. Elle vint se planter dans la jonction entre le corps et la base de l’aile, forçant l’hybride à tomber et déraper sur plusieurs mètres sur la pierre du chemin.
 
Ceci fait, je me reconcentrai en entendant le rugissement de mon deuxième agresseur et j’activai mon manteau électrique, car l’hybride essaya de m’agripper, et il y parvint, mais fut pris dans mon électricité. Je me couchai sur lui et attendit qu’il grille complétement. Lorsqu’il lâcha son râle d’agonie, une désagréable odeur de brûlé parcourait mon museau, et je me levai promptement.
 
Le deuxième était mort, tué par le mâle qui protégeait le reste de sa famille. Un coup de griffe à la gorge, net, mais très efficace. La famille me remercia, et je le conduis en un lieu plus sûr.
 
J’entendis au loin un léger corps de chasse sonner. Il n’était pas allié, et je vis les unités adverses restantes voler en dehors de Warfang. Leur retrait était sonnée, et Warfang avait résisté.
 
Mais à quel prix.
 
Je voyais des maisons qui brûlaient, dont des pans de murs manquaient parfois. Des familles sortaient, complétement noires de suie, et des dragons de Warfang transportaient des blessés sur leur dos. Parfois voyait-on des draps étalés sur les corps des défunts, pauvres innocents dont le sang a coulé pour des vanités.
 
En continuant dans ce boulevard de la Désolation, je tombai sur le point de rencontre entre le capitaine Igniis, Jyvro et Malefor qui venait d’arriver. Il raclait de ses longues griffes le sol en sang, et déclarait ave une sérénité et une provocation qui raviva ma nature électrique.
 
-Nous devrions nous sentir comblés, mes petits soldats. La bataille semble tirer à sa fin, mais nous aurons l’occasion d’observer encore de nombreuses fois dans le futur des scènes semblables à celle-ci.
 
Je levai d’instinct la tête, pressentant un danger imminent que je perçus rapidement : un hybride téméraire qui, sans doute, s’était caché, sauta d’un toit et plongea, la lance en direction du maître noir. Rapidement, je concentrai en moi une puissance massive. Je fis converger toute ma puissance électrique jusque dans ma patte, puis je propulsai toute cette puissance, matérialisant une grande patte de dragon dont je me servis pour attraper la cible. Elle tenait entre cette patte géante, et je serrais. Elle mourut vite, moins à cause des électrocutions que d’étouffement. Je dématérialisai la griffe et je soufflai un bon coup, gardant la tête haute pour ne pas montrer ma fatigue. Malefor devait s’estimer heureux. Je me mis devant ce dernier.
 
-Ton assurance n’équivaut pas à ta prudence, vieil effronté. Aujourd’hui j’aurais pu te laisser crever misérablement… Mais je ne suis pas corrompu comme tu l’es, n’est-ce pas ? Tu dis qu’il y aura d’autres batailles, et je te crois, mais j’espère que tu seras du bon côté de la barrière, parce que je ne te sauverai pas tout le temps de ton impétuosité infantile. Je n'aurais pas toujours ce coeur que j'ai là.
 
Et sur ces mots, je rejoignis Jyvro, me tenant quelques fois les côtes, sentant mon souffle qui passait un peu plus difficilement.
 

-Comment est la situation, par ici ? Comptez-vous beaucoup de pertes dans votre camp ?

- Tu as raison, répondis-je à Jyvro avant de me remettre dans la bataille.

Je déchira un autre de ces hybrides en deux lorsqu'il s'approcha de moi à l'aide de mes deux pattes avant. Du sang gicla sur mon masque et mon corps. Avec une lance que je trouva par terre, j'empalla une ligne de trois de ces oiseaux. Puis, j'entendis un cor et les ennemis, tous sans exeptions, commencèrent à se replier. J'étais sur un oiseau au sol et j'allais le tuer. Je le voyais en pleure et criait à ses alliés de l'aider, mais personne ne venait. J'approcha ma tête de lui et lui dit :

- Tu as aujourd'hui de la chance, car tu vas vivre. Le cor sonne, et tes alliés font une retraite. Je te laisse donc en vie et tu peux fuir. Mais sache que si tu essaye d'attaquer un autre dragon pendant que tu fuis, sache que je serait impitoyable et que ta souffrance sera immense. Compris ?!

Il fit un signe de la tête affirmatif et effrayé, mais avec, on aurait dit, une pointe de joie. Je le lâcha et il commença à fuir à tire d'aille. Il tenu sa promesse et ne s'attaqua à personne. Puis, je cria à haute voix pour que tout le monde m'entende :

- QUE TOUT LE MONDE APTES ET NON BLESSES VIENNENT SUR LES REMPARTS ! MIEUX VAUT VOIR LEUR RETRAITE QUE ÊTRE SURPRIS COMME LA DERNIERE ATTAQUE !

Lors de la dernière attaque, lorsque tout le monde déclara retraite, c'était pour une bonne raison. Car, à ce qu'il parait, il laissèrent place à un Golem des profondeur pour détruire la cité. Mais Spyro et Cynder empêchèrent tout cela en le détruisant. Et j'avous que je n'aimerais pas être surpris par une surprise pareille. Je monta les escaliers jusqu'aux murailles, accompagné de quelques dragons, pour finalement être aveuglé par un début de soleil couchant en arrivant en haut...

Malefor avec sa délicatesse hors du commun, avait l'air de s'enivré de tout se carnage. Je le regarda avec mépris tout en même temps de le respecter d'une façon. Le respect de guerrier, même si celui-ci était un monstre sans scrupule. Je me tourna vers lui pour lui dire deux mot après avoir hocher la tête vers Igniis:

- La guerre reste un art, mais nous ne sommes aucunement vos soldat. Je suis peut-être destiner a m'allier a un dragon violet, mais ce sera avec un dragon violet plus jeune.

Je le laissa en plan quand le gardien de la foudre vint me demander l'état de la situation. Je regarda au tour de moi pour visualiser mes troupes. L'armée de mon peuple n'avait pas perdu beaucoup de guerrier, mais nous avions beaucoup de blesser. Les soigneurs faisaient leurs maximum pour aider tout les camps... même celui de Malefor. Les troupes ennemies battirent en retraite sans revenir. Ils avaient sous-estimer nos défenses et notre force de frappe. Je me tourna vers Volteer avec sérieux:

- Nous n'avons pas perdu beaucoup de vie, mais nous avons un nombre de blesser bien au dessus de ce que je pensais. Au moins, nous avons repoussé l'envahisseur sans trop de mort. C'est déjà une bonne chose. Est-ce qu'il y a beaucoup de perte dans le votre?

Spyro Nous rejoint avec tranquillité, mais un regard sérieux était toujours afficher sur son visage. Il était très déçu et affecter par la désolation qui planait dans les rue de la cité qui venait de protégé pour une deuxième fois. Le violet leva la tête pour nous regarder dans les yeux.

- Nous n'avons pas perdu beaucoup nous non plus, mais je déteste voir un paysage de désolation tel que celui-ci. Pourquoi on-t-il une haine contre nous? Volteer... Si tu peux trouver des informations dans les livres, ce serait apprécié.

Il tourna la tête vers moi avec une certaine inquiétude... L'inquiétude que je rejoins Malefor? L'inquiétude que je les laisses en plan? Je ne saurai dire, mais cela était bizarre de le voir ainsi quand il avait l'air si fier il y a peu de temps.

-Joli coup, dit Malefor en lançant un regard amusé au cadavre écrasé de l’hybride, mais tu me sembles bien lent Volteer. Peut-être que la vieillesse ne te sied pas aussi bien qu’à moi. Pardieu! Tu m’as l’air très fatigué, l’ancien.

Il suivit le gardien qui s’était détourné  de lui et se tint directement dans son dos.

-Me laisser crever dis-tu? Murmura le grand violet. Ne t’en fais pas, gardien, je me garde cette responsabilité. JE dicterai qui vivra et qui mourra dans cette cité. Comptes toi chanceux de m’être d’une certaine utilité pour l’instant, mais sache que ceci ne sera pas toujours le cas.

Malefor découvrit ses crocs.

-Gardes bien cela en tête, Volteer.

Sur ces mots, il s’éloigna de quelques mètres pour prendre un moment de réflexion et jeter un œil sur le champ de bataille. Les combats se terminaient et il ne restait que quelques luttes sporadiques toujours en cours. Les hybrides avaient sonné la retraite.

-Ce n’est que le début. Se dit le seigneur.

Sur ce, Malefor se retourna vers le destructeur.

-Bien, au moins vos murs ont tenu jusqu’ici. Toutefois destructeur, sachez bien que ce petit jeu n’était qu’une brève escarmouche dans le but de tester vos défenses. Dit le chef de guerre avec assurance.

-Par contre, voyez le résultat. Ajouta-t-il en balayant de ses griffes le paysage infernal que présentait Warfang. Vous êtes passés bien près de perdre et ce contre une minime fraction de leur armée.

Il se redressa de toute sa hauteur et désigna les remparts du menton.

-La prochaine fois, ils reviendront en force et avec des engins de siège. Ils balaieront vos troupes sans difficulté et prendront chaque section de la muraille l’une après l’autre. Vous aurez une chance de les ralentir dans les rues, mais vous ne feriez qu’imposer qu’un court délai à l’inévitable. Ajouta Malefor en voyant Spyro s’ajouter au trio.

Le dragon violet braqua alors son regard sur Jyvro.

-Alors destructeur, que ferez-vous? Maintenant que vous avez une meilleure idée de ce à quoi vous avez affaire. Ajouta-t-il, un sourire carnassier aux lèvres. Par contre, il y a bien quelque chose qui m’échappe dans cette histoire. Pourquoi vous obstinez-vous à sauver cette misérable cité alors que votre propre destiné est celle de détruire le monde? Votre oncle s’était admirablement mis à la tâche lors de la guerre et a bien failli réussir alors que vous Jyvro…

Malefor se retourna pour regarder au loin.

-Comment se sent-on lorsque l’on est un traître à sa propre race? Oh, mais j'oubliais, quelle race, Jyvro? Tu es seul au monde alors que les autres croupissent dans leurs propres charognes. Tes ancêtres doivent pourrir de honte à la simple idée que leur dernier descendant crache sur son héritage. Comme je les plains. Dis le dragon d'une façon doucereuse. Peut-être devrais-je trouver un autre nécromancien pour prendre de leurs nouvelles? Murmura-t-il à l'oreille du reptile rouge. Je passerai le bonjour à ta famille...

Sur ces mots, le seigneur de guerre jeta un coup d’œil sur son confrère violet.

-Des livres Spyro? Ricana-t-il. Ton temps à Warfang t’a rendu plus faible que je ne le croyais. Qu’importe que ces créatures nous haïssent! Toi et moi représentons la race supérieure et avons largement la puissance nécessaire pour achever une bonne fois pour toute cette rébellion. Ah…si seulement tu pouvais choisir le bon camp…  

Avant que je ne puisse rejoindre Jyvro pour lui demander l’état de ses troupes, Malefor m’adressa quelques quolibets que je laissai passer sans montrer une quelconque méprise. C’est que, malgré mon élément électrique, ce genre de moqueries ne m’atteignait pas. C’était déjà le cas alors que j’étais un jeune dragonnet, et ma patience c’était considérablement accrue durant mon apprentissage pour devenir Gardien. Beaucoup avaient déjà moqué mon âge, même ma fatigue, mais je n’en avais cure, je passais bien au-dessus de ces considérations, car l’avis extérieur n’est pas le plus important, surtout quand il s’agissait de provoquer. Je voyais bien dans les yeux de Malefor que tout ce qui cherchait, c’était semer la discorde, que je m’emporte face à ses moqueries et que cela lui donne un prétexte pour riposter, peut-être d’une manière plus violente. La meilleure réponse à ce genre d’attaque était le silence qui les renvoyait toujours dans leur imbécillité propre.
 
Il continua sur sa lancée, certains qu’il arrivait à quelque chose, et je ne pus m’empêcher de sourire. Ne pas réagir à des quolibets était une chose. Réagir à des balivernes en était une autre. Restant dos à lui, je parlai.
 
—Oui, c’est ça, dis-je en riant. Continue de te donner de l’importance, tu es bien plus comique ainsi. En attendant, j’ai eu le droit de vie ou de mort sur toi, l’espace de quelques secondes. Toi aussi, garde cela en tête.
 
Pour en revenir à mon entrevue avec Jyvro, celui-ci, suivant ma demande, répondit en ces termes concis :
 
—Nous n’avons pas perdu beaucoup de vie, mais nous avons un nombre de blessés bien au-dessus de ce que je pensais. Au moins nous avons repoussé l’envahisseur sans trop de morts. C’est déjà une bonne chose. Est-ce qu’il y a beaucoup de pertes dans le vôtre ?
—Non, pas vraiment. Nous pouvons nous estimer heureux ! Cette frappe n’était qu’une sorte d’éclairage sur nos défenses, et nous avons montré que Warfang était une ville puissante en ne perdant pas trop d’hommes. Il faut dire que les gardes sont assez bien entrainés, et de ce ait, toujours aux aguets quant à une proche menace, surtout quand ils sont avertis comme c’est ici le cas, en temps de prochaines guerre. Oui, leur vigilance n’en est que plus accrue, et cela est une bonne chose, je suis fier des gardes de Warfang, pour cette raison, mais aussi d’autres, et puis…
—Nous n’avons pas perdu beaucoup nous non plus, coupa Spyro, ce qui me frustra légèrement. Je n’avais même pas fini de parler des tactiques de formation qui étaient au point chez les gardes de Warfang… Mais je déteste voir un paysage de désolation tel que celui-ci. Pourquoi ont-ils une haine contre nous ? Volteer… Si tu peux trouver des informations dans les livres, ce serait apprécié.
—Bien, sûr, jeune dragon. C’était ce à quoi je pensais aussi.
 
Puis Malefor revint, ce qui accentua la tension présente chez mes équipiers, surtout Jyvro, lorsqu’il s’adressa directement à lui. Je découvris toujours ce regard déplaisant chez Malefor, ou l’on pouvait parfaitement décrire cette envie de jouer des sales tours, de semer la discorde tout autour de lui. De tels souhaits me répugnaient.
 
J’avais pu remarquer dans la salle des opérations que Jyvro était réceptif à ces paroles provocatrices. Je ne pouvais pas laisser cela continuer, sinon Jyvro risquait de céder et de commettre une erreur irréparable. Je m’interposai entre les deux dragons, posant ma patte sur l’épaule du Destructeur, lui donnant un regard solennel, dur, montrant qu’il ne fallait pas l’écouter, que cela ne mènerait à rien de bon. J’espérais qu’il comprendrait.
 
Puis Malefor parla ensuite à Spyro, disant que les livres étaient inutiles, et que la seule chose qui semblait puissante aux yeux du Maître noir, c’était les dragons violets. Je savais qu’il ne pensait en réalité qu’à lui, ce qui me dégouttai au plus haut point.
 

—Tu as fini ? Dis-je après un long temps de pause en m’approchant de Malefor. Je ne sais pas vraiment si une Alliance avec nous t’es nécessaire, vu comment tu essaies d’entacher jusqu’à nos relations internes, mais si c’est le cas, tu t’y prends très mal. Tu as l’air si fort, si grand... pourquoi ne rentres-tu pas dans ta montagne si tu penses vraiment pouvoir contenir ces forces à toi seul ? Oh, je sais combien il est difficile de parler courtois avec les descendants de tes anciens maîtres, mais tu peux faire un effort, hmm ?

Les rayons du soleil qui m'éblouissaient furent soudain coupé par une ombre qui grandissait de plus en plus et qui cachait petit à petit cette titanesque boule de lumière, tel lors de la nuit éternelle où l'un des deux Lunes cacha la seconde et former ainsi une éclipse Lunaire. C'était un hybride qui avait pris son courage à deux mains et alla m'attaquer. Comme il avait tord... Je le pris en lein vol avec mes crocs par la nuque et je le plaqua au sol.

- Grave erreur. Même fatal, lui dis-je avant de lui arracher la tête avec mes crocs d'un seul coup.

Après cela, je regarda la retraite des ennemis. Ouf ! Ils n'avaient pas un gros monstre en réserve ou une autre connerie de ce genre qui aurait fait encore plus de victimes. J'attendis encore une petite minute, avant d'avouer la victoire de Warfang sur cet assaut. Je cria alors :

- WARFANG A GAGNE ! LA CITE IMPRENABLE A ENCORE UNE FOIS RESISTE !!!

Suite à mon cri de victoire, des cris de joies s'élevèrent de tout le monde. Nous avions gagné ! Nous avions vaincu la menace hybride lors de cette attaque !

Mais était-ce la seule attaque ?

Peut-être vont-ils encore attaquer... Il faudra alors à Warfang se préparer et améliorer les défenses. Des batailles dans la cité ne devraient plus recommencer comme cela.

Je descendis toujours en criant :

- Nous avon gagné !

Je me dirigea vers Jyvro et lui dit :

- Merci de votre aide. Vos hommes ont étés très précieux lors de cette bataille...

Puis, je me dirigea vers Malefor et lui dit :

- La menace hybride ne pourra vaincre Warfang. Ce qui est, à ce que je vois, l'inverse de vos force que vous dites "invincibles"...

Après cette phrase bien placée, je me dirigea vers l'endroit où se trouvaient Jorth et Notad...

Un sourire amusé ce décrivait sur mon visage quand Spyro interrompit Volteer. Ce n'était vraiment a cause de l'acte, mais plus avec la réaction de Volteer. Néanmoins, mon sourire ne fut que de courte durée. Malefor s'amusait à nos dépend, en essayant de nous baisser le morale. Pour ma part il me donna un tout autre prestation. Il osa remué un couteau logé profondément dans la plaie de la famille. Je ne me fâchais pas, mais je n'allais pas le laisser dire des âneries sur ma race et ma destiné.

- Ce que mon oncle a accompli n'est pas dans mes intentions et n'a pas été dans celle de mes ancêtres. Et pour ce que je sache mon oncle a détruit le monde, c'est vous qui n'avez pas  réussi a maintenir sa destruction et a empêcher Spyro de rassemblé le monde.

Le maître noir osait encore de protesté des blasphèmes envers ma personne, ma famille et ma race. Je me retourne pour une deuxième fois, mais cette fois avec une rage au yeux. Même si Volteer tenta de me calmé, je ne l'écouta pas, ma rage était plus qu'énorme.

- Notre race n'a jamais voulu détruire le monde qui nous à vu naitre! C'est simplement un hérétique qui a décidé de vous rejoindre! JAMAIS LES AUTRES DESTRUCTEUR AURAIT ÉTÉ D'ACCORD!!! JE SUIS LA FIÈRETÉ DE MA RACE ET SI VOUS OSEZ TOUCHER A NE SERAIT-CE UNE FRACTION DE LEURS ESPRITS JE VOUS TUERAI MOI MÊME!

Spyro fut surpris par les dirent de son ancêtre, mais il avait peur que je ne tombe dans les plans de du maître noir. Il balaya le monologue de Malefor en récitant les accord du traité

- Il me semble que vous avez besoin de nous contre ses sois-disant races inférieurs. Je vous ferai rappeler que notre accord tien dans le principe qu'il ne doit pas y avoir de coup fourrer. En outre, vous tentez de massacré le morale de chacun de nous, ce qui peux mettre fin a notre entente. Vous êtes en nombre inférieur seulement face au troupe de Sky Badland. Alors taisez-vous et laisser nous faire nos recherches afin de trouver une façon de rétablir une paix avec certain d'entre eux. Après tout je suis sur que vous êtes la cause de leur rage.

Le violet venait d'être direct, mais poli. Je n'aurai jamais penser qu'il avait une maturité et une diction si raffiné. Je devrai peut-être faire des cours avec les gardien pour renchérir ma langue, après tout ce n'est pas ma langue primaire. Spyro retourna au côté de Volteer en le remerciant de ses futur éffort dans sa nouvelle quête de la connaissance.

Plus aucune attaque n'aurait lieux aujourd'hui, Warfang avait encore triomphé contre un envahisseur. Bien qu'une alliance entre Sky Badland et Warfang était normal, une alliance avec Malefor était imprévue pour moi. j'espérai qu'il se tien plus à carreau que pendant les dernière minutes. Je ne sais pas comment mon oncle a pu endurer ce type, mais moi je préfère nettement Spyro.