L'héritage d'un grand savoir. (Ouvert à tous)

Spoiler:

Citation :: Voilà déjà plusieurs millénaires que le Chroniqueur, protecteur du monde, gardien du Temps, œuvrait pour le Salut de ces terres. Il n'a cessé et ne cessera jamais d'accomplir son devoir. Il s'est assuré et a suivi l'évolution de chacun de ses "enfants", il a suivi également, de prêt, comme de loin, les différents conflits ayant modelé cet univers. Désormais, il est fatigué, âgé, et dans le besoin absolu d'un repos bien mérité. En effet, le Chroniqueur est vieux et mourant. Mais ne vous inquiétez pas, peuples de tout horizons, un héritier lui a été trouvé, ou plutôt, il s'est trouvé un héritier. La cérémonie de passage de pouvoir sera exécutée dans de brefs délais, au temple du Temps, lieu sacré, renfermant tout le savoir cumulé du monde ainsi que les Livres du Temps. Celle-ci se déroulera ouvertement, toutes personnes souhaitant y assister, pourront observer la scène depuis les terrasses du temple.

Voilà les affiches qui avaient été placardées partout dans le monde, là où chaque dragons, chaque Être-vivant, pourrait être mis au courant. Il y avait là un évènement extrêmement rare en cours de préparation, et les autorités espéraient que le peuple se montrerait et viendrait assister à cet évènement qu'aucun dragon vivant en ces temps auraient pu voir. Le Chroniqueur était vieux, très vieux, il en avait vu des millénaires s'écouler, mais voilà, toute chose à une fin, et là, c'était la sienne, et il le savait, voilà pourquoi il préparait son héritage. Son héritier avait été fraîchement choisi, et il était encore très jeune, mais déjà suffisamment sage, d'après le Chroniqueur, pour pouvoir porter un tel fardeau sans en abuser.

-"Il sera parfait."

C'est comme cela que l'ancien l'avait désigné. "Parfait", du moins, c'est ce qu'espérait l'héritier en question. Cette lourde charge, ce boulot si soudain, pourrait-il vraiment le supporter ? Lui qui avait toujours refusé les grandes responsabilités ... Lui qui avait toujours fui l'intérêt du monde ... Lui qui avait préféré se retirer de ce monde et finir ses jours dans le calme et la sérénité ... Dans tout les cas, il avait accepté, ému, et intrigué par ce nouveau rôle qui s'offrait à lui. Peut-être avait-il accepté trop rapidement ... Non, il ne devait pas flancher, beaucoup de choses reposeront sur ses épaules à l'avenir, et ces épaules devaient être solides, et non tremblantes, ni hésitantes.

Onikaan avait été choisi. Le Chroniqueur s'était montré à lui pour la première fois dans un de ses rêves. Ces visites nocturnes et inattendues étaient devenues de plus en plus fréquentes, et chaque fois, le vieux dragon lui parlait du rôle de Chroniqueur. Au début, c'était avec incompréhension qu'il l'écoutait, gardant tout de même une certaine intrigue et une grande part de curiosité face aux dires de l'ancien. Sans qu'il ne s'en rende compte, celui-ci avait commencé à lui transmettre, petit à petit ses pouvoirs, son savoir et ses responsabilités. Lors de son dernier passage intra-rêve, il lui avait demandé de le rejoindre, à l'autre bout du monde, au temple du Temps, pour une mission, afin de savoir s'il serait parfait ou non pour la tâche qu'il avait décidé de lui confier.

Sans en savoir plus, Oni' était parti, tête presque baissée, sans prévenir qui que ce soit, à des lieues de sa grotte, de ses amis... Il avait alors, rencontré, après plusieurs jours de voyage, le dragon des Temps reculés, certainement le plus vieux encore vivant, le Chroniqueur. Ce vieux, coloré d'un vieux bleu-grisâtre l'avait accueilli avec un sourire, très épuisé. Il lui avait par la suite, après lui avoir laissé du repos, confié la tâche d'aller vaincre un terrible monstre vivant dans les mers situées non loin. La façon et les choix qu'il entreprendrait à partir de cet échange, allaient être surveillés de prêt par le vieux dragon. Après quelques minutes d'explications, et de précisions, Onikaan était enfin au courant de l'apparence et du nom de la créature, influençant anormalement, l'équilibre du monde. Il devait aller affronter le Kraken.

C'est avec un courage sorti tout droit de ses entrailles et une peur profondément refoulée, que le jeune dragon blanc était parti accomplir sa quête. Celle-ci lui prit presque 2 semaines. Durant sa mission, il avait passé le plus clair de son temps à combattre la dite bête, car la trouver n'avait pas été difficile, vu la taille qu'elle faisait. Un monstre marin, mi-crabe, mi-calamar géant, dévorant et détruisant tout sur les côtes et les océans. Son ère devait prendre fin, et c'est avec hargne et intelligence que Oni' avait livré son combat. Il avait combattu durant 5jours et 4 nuits d’affilées, sans repos, le terrible monstre. Il failli perdre la vie à la fin de cet affrontement, la frôlant de quelques millimètres, risquant de perdre une aile, tout ça à cause d'une mauvaise attention aux nombreuses tentacules du monstre.

Le combat avait duré, mais Oni' rentrait auprès du Chroniqueur victorieux, et épuisé et gravement blessé. Après des jours de repos, l'ancien lui annonça sa nouvelle, il avait fini par le choisir comme héritier. D'après lui, Onikaan remplissait les critères souhaitables pour un tel rôle. Il avait été courageux et solide lors de son combat, le livrant avec intelligence. Il avait également eu la sagesse de ne pas poser plus de questions à propos de ce qui l'attendait, l'effort de rester dans le flou avait plu au vieux dragon. Sans lui laisser le temps de se remettre ni même de parler, le Chroniqueur fit immédiatement raccompagner Oni' chez lui. Il sera convoqué lorsque tout sera prêt.

Les semaines passèrent, et alors qu'Onikaan avait repris sa petite vie tranquille, savourant ses moments de calme, un message lui survint, de la part de l'ancien:

Citation :

Après s'être convenablement préparé, décidant de ne pas prévenir son entourage, il parti enfin pour le grand jour et pour le temple du Temps. Là-bas l'attendait le grand moment, la sortie d'une vie calme, sans soucis, pour entrer dans une vie remplie, ou non, de travail, de problèmes et de stress. Sa route lui prit plus de temps que la première fois, il commençait à regretter d'être parti sans rien dire. Il avait au cours de son trajet vu, à plusieurs endroits, les affiches concernant le sacre. Il avait beaucoup sourit en voyant que le nom de l'héritier restait caché, certainement une stratégie pour amener les gens à venir voir, ne serais-ce que par curiosité.

Arrivant enfin à destination, le Chroniqueur apprit à Oni' qu'il avait 3 jours devant lui avant le début de la cérémonie et qu'il était préférable qu'il se repose pendant ceux-ci. La lourde charge qui l'attendait été très fatigante dans les débuts. Il s'y habituerait rapidement selon le vieux dragon, et le travail sera moins conséquent une fois la "paperasse" de passage de pouvoir terminée. Il devra par la suite se contenter de donner des audiences à ceux cherchant le savoir, aider et guider les jeunes et les vieux dragons, perdus dans leur vie, il devra veiller à l'équilibre autant du côté du bien que du mal, afin que le monde ne soit pas perturbé.

Les jours passèrent rapidement et la cérémonie était ouverte, laissant le temps au peuple étant venu de s'installer, et de savourer la fête qui était donnée dans la cour du temple. Festins et musique y était, la cérémonie ne débuterait qu'au couché de Soleil, laissant le temps aux deux protagonistes de se préparer comme il le fallait, caché et anonyme au reste du monde. Seul la présence du Chroniqueur était logique, mais qui était l'héritier, voilà la question qui était le plus posé dans les rangs...

Ce jour était un grand jour, autant pour le monde des dragons que pour Onikaan...

Spoiler:

Tidaro parra le coup que le dragon devant lui tenta de lui asséner, il le frappa a la patte postérieur, tout deux se tenaient sur deux pattes. Il le frappa ensuite en plein visage, celui-ci poussa un grognement et recula en proclament :

-J'abandonne !

Aujourd'hui était un grand jour, Tidaro s'était entrainer au maximum, il avait était charger de faire régner l'ordre lors de la cérémonie, non en tant qu'assassin, mais en temps qu'apprentie des sages. Même maître Volteer viendrait, il le savait, aussi avait-il décider de devenir le meilleur, l'héritier du chroniqueur avait prouver ses valeurs, il devait faire pareil ! Il était parer pour assurer la sécuritée de tous ce soir, même de l'héritier. Aussi arriva t-il sur les lieux de la cérémonie, il se cala dans un coin et entama sa surveillance des lieux là ou personne ne pouvait faire attention a lui.

Jyvro avait vu des affiche disant que l'héritier du chroniqueur avait été choisi. Ça l'intriguait. Il voulait voir cette héritier. Dans les semaine dit il arriva a la cérémonie. Jyvro était habiller de son armure polis orné vert émeraude. Il avait fait rétrécir son épée en forme de boule qu'il mit dans sa pochette a combat. Il essaya de trouver l'héritier, mais c'était difficile. Il voyait par dessus le monde, mais il ne trouva pas quelqu'un avec un signe distinctif. Il vue la milice. Il essaya de repérer tous le monde qu'il connaissait.

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Seniax était chez elle, elle était entrain d'arrosé ses plantes quand un dragon toqua à sa porte. Elle alla ouvrir et reconnu son frère, Sytriox. Il avait l'air très agité, la dragonne noire était intriguée.

"Que se passe-t-il Sytriox?"

Il sourit à Seniax et lui donna une affiche.

"L'héritier du Chroniqueur, il a été choisit!!!"

Seniax prit l'affiche et la lu, elle regarda son frère.

"Tu peux me conduire à la cérémonie, s'il te plait?"

Sytriox hocha de la tête.

"Bien sur, suis moi!"

Seniax sortit de chez elle et le suivit, elle fut impressionné par le grand nombre de dragons et se colla à son frère pour ne pas se perdre.

La journée était plutôt belle et l'endroit semblait agité, Aragox se demandait ce qu'il se passait. Il regardais les etals se vidant les uns après les autres, apparemment il se passe quelque chose. Il marcha en suivant les gens ne se doutant pas de l'ampleur de ce qu'il se passe.
Il s’arrêta et alla aux toilettes un moment, en sortant, il tendit le bras et stoppa un passant et demanda suspicieux :

"Hey ! Il se passe quoi ? pourquoi tout le monde, ils courent tous comme ça ?
-Vous...vous ne le savez pas ?
-sait quoi ?
- Le chroniqueur à choisi un héritier !
- Le chroniqui ?
- Le chroniqueur....vous ne connaissez pas ? Mais vous venez d'ou ma parole ?
- Bah des toilettes juste la.....Ahem...mais c'est pas la question, c'est qui ou quoi le chronitruc ?
- Il y à des affiches partout et vous n'avez même pas lu ?
- J'aime pas lire...
-Tout le monde en parle !
- Je parle à personne
- Vous êtes vraiment nul !
-Et vous inutile ! j'ai toujours rien compris !
- Bah en gros..."

Le dragon expliqua rapidement l'histoire et Aragox retenu que c'était juste un truc très important pour le monde entier. Curieux, il alla voir aussi cela, se joignant à la fête...

Anardil n'avait pas raté ces affiches omniprésentes. Le Chroniqueur, l'incarnation du destin même. Du moins dans l'esprit d'Anardil. Doté d'immenses pouvoirs, ce personnage est capable de manipuler les rêves. De s'attaquer directement aux choses les plus intimes des dragons. Et ça se justifierait au nom de l'équilibre du monde, en donnant seulement cette charge à quelqu'un "de bien". La vie d'un dragon ne peut être écrite que par ce dragon même. C'est l'opinion d'Anardil, qui tient en haute antipathie ce genre de pouvoir.

L'idée de s'y attaquer lui effleura l'esprit. Le soucis est que le Chroniqueur actuel a simplement beaucoup trop d'expérience et de pouvoir pour pouvoir être vaincu, aussi combatif soit Anardil. Peut-être en s'attaquant à l'Héritier, bien plus jeune et n'ayant pas encore reçu les pouvoirs, il arriverait à quelque chose ? Difficile à dire. Et beaucoup de difficultés sont présentes. Cet Héritier, personne ne sait qui il est, et on ne le saura qu'à la cérémonie, où énormément de gardes seront présents. Après la cérémonie, ce ne sera pas faisable non plus. Il faudrait l'attaquer au moment même où la passation se ferait, afin de briser ce pouvoir. Une marge très très faible. En supposant qu'il arrive à le tuer, il faudrait ensuite parvenir à survivre face au peuple qui a toujours accordé un respect sacré à ceci, les gardes qui lui fonceront dessus et le Chroniqueur d'une puissance incommensurable. Il n'en s'en sortirait probablement pas.

Une mission suicide, avec des faibles chances de réussite, en bref. Un vrai acte d'héroïsme, qui serait maquillé pour l'éternité en acte de fourberie. Battre le destin lui-même, pour le salut de tous. Toutes ces pensées donnent le vertige à Anardil. C'est plus ou moins son rêve. Cela fait pleinement partie de la voie qu'il a décidé de prendre, pour sa vie, pour son honneur, pour sa liberté. Cependant, il finit par se raviser. Commettre le meurtre d'une personne pour sauver le monde des crimes qu'il n'a pas encore fait, n'est pas justifiable. Peu importe, Anardil affrontera tout de même le destin, tôt ou tard. Telle est sa certitude.

Ces pensées l'ont tout de même amené à se joindre à la fête, n'ayant guère mieux à faire.

Jyvro zigzaguait dans la foule. Il voulait voir l'héritier du chroniqueur. De plus il aimait l'embiance de la ville. Sa lui rappelait Sky BadLand. Après quelques minutes, il se rendit compte qu'il était revenu au début, mais ne fut pas fâcher, car il voyait seniax arriver avec un autre dragon. Il n'en fit pas d'histoire et alla a leur rencontre:

- hé! Seniax! Par ici!

Il avait un grand sourire. Plus aucun jalousie en vers onikaan grâce a kybarut, mais toujours le même aspect protecteur.

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Seniax regardait la foule avec étonnement. Quand elle entendu qu'on l'appelait, elle tourna la tête et vu Jyvro, elle lui sourit et dis mentalement à son frère qui il était.

"Salut Jyvro!"

Sytriox regarda Jyvro puis sourit.

"Bonjour."

Seniax le regarda un moment.

"Tu vas bien?"

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Même dans les terres les plus éloignées du royaume de Warfang on pouvait lire les fameuses affiches, et c'est ainsi qu'à Arthar le prophète des ténèbres fut informé de cet événement.

Intrigué, celui-ci lut l'affiche plusieurs fois, comme si son contenu lui était totalement obscur et incompréhensible.
Il arracha une affiche non vandalisée par les jeunes dragons du coin qui avaient pris un malin plaisir à changer les mots ou à écrire des bêtises sur les-dites affiches et s'en alla avec, les dragons l'ayant vu faire ne semblaient même pas y faire attention...

Il faut dire qu'ici le Chroniqueur, ça leur fait une belle jambe et que personne n'y croit au point de faire le long voyage pour s'y rendre.

Zaraek attendit d'être en dehors de la ville avant d'invoquer ses créatures et de s'exprimer à voix haute :
"Le chroniqueur hein ?
Un dragon du bien avec le pouvoir de protéger les autres, soi-disant.
Beau tissu de mensonges...Mais je meurs d'envie de lui poser quelques questions, même si je sait qu'on ne m'autorisera jamais à lui parler en tête à tête.
Pourquoi lui et pas un autre ? Pourquoi devrait-il désigner son héritier ?
Comment se sent-on d'être tout seul avec comme seule occupation d'espionner la vie des autres dragons et d'utiliser des pouvoirs inconnus pour les "protéger" ?
Hum...
Qu'est-ce que vous en pensez mes invocations ?"

Celles-ci semblaient excitées, mais ne dirent pas un mot. Pourtant Zaraek continua comme-ci les créatures lui avaient répondu clairement :
"Je m'en doutais, vous êtes bien plus lucides que les larves de Warfang.
C'est juste un dragon avec des pouvoirs interdits mais qui s'est arrangé avec la loi pour paraître un bon samaritain.
Il doit prendre un certain plaisir à scruter et dicter les moindres faits et gestes de ses sujets, bien à l'abri dans un lieu tenu secret et bien gardé.
Pourquoi une telle garde pour ce dragon en particulier, s'il protège tout le monde ? Tout le monde devrait le protéger en retour, or ce n'est pas le cas, tout simplement car on leur a imposé ce dragon sans poser la moindre question.
La légitimité de ce dragon est nulle.
C'est sans doute un dragon dans son genre qui nous a collé une réputation si pourrie aux yeux de ses semblables."

Les invocations se mirent à grogner, tandis que Zaraek poursuivait son monologue :
"Evidemment je n'ai pas encore le pouvoir ni l'influence qu'il faudrait pour mettre fin à cette aberration.
En tout temps, le monde s'est occupé tout seul de ses propres problèmes, et ce n'est pas à un soi-disant très sage dragon du bien de s'arroger des droits dont tout souverain ne pourrait que rêver.
On voit bien ce que ça a donné jusqu'à présent.
Rien de bien spécial, si ce n'est une victoire étonnante du bien sur Malefor et ses suivants.
Le Chroniqueur n'a pas le pouvoir d'arrêter les guerres, juste de les faire pencher en sa faveur avec ses pouvoirs hors du temps.
En supposant qu'ils existent bien sûr...
Quelle belle mascarade ce serait si ces pouvoirs n'étaient pas réels ! Hahaha.

Je vais m'arranger pour qu'on entende parler de cette histoire ici, et que les dragons s'indignent.
Ils devraient avoir le droit de donner le sens qu'ils veulent à leur vie, aussi misérable soit-elle à présent grâce à cette belle initiative des dragons du bien vers un contrôle absolu de la vie de tout un chacun.
Les dragons n'ont pas besoin d'être protégés, ils ont besoin de liberté !"

Les invocations sautaient sur place avec enthousiasme, puis Zaraek prit la route vers Warfang pour assister à l'événement, un sourire en coin.

Je vais assister à ce beau spectacle, ce serai dommage de manquer ça. J'ai si hâte de voir à quoi va ressembler l'héritier !

Jyvro avec enthousiasme dit:

-Oui je vais bien et toi... Bonjour vous vous appeller comment?

Il prit quelque seconde puis leurs demanda:

- qui est l'héritier?

Tidaro n'entendait rien, il chercha un autre point tout a l'écart, il entendait divers dragons parler, des gosses jouer, des personnes qui gueulaient leurs joies. Il aperçut Jyvro et Seniax, mais il décida de rester a l'écart et de poursuivre son travail, il ne pouvait pas se permettre de faire ce genre de débordement, sinon il pourrait se faire exclure de l'ordre des sages, voir pire. Il poussa un soupir, il aimerais bien se meler a tout ça, se faire du bien, mais il devait rester sobre et garder un œil sur tous, surtout qu'il ne savait pas qui était le nouveau chroniqueur, donc il devait, pour être sûr d'assurer sa sécurité, assurer celle de tous les dragons présents. Il sentait même certaines odeurs qui pouvaient rappeler les ténèbres mélés a tout ça. Il trouva un poitn en hauteur pour se mettre loins et pouvoir être au calme.

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Seniax sourit.

"Oui"

Sytriox le salua.

"je m'appelle Sytriox, et vous?"

Seniax haussa les épaules.

"Non, je ne sais pas qui est l'héritier mais je pense qu'on va bientôt le savoir!"

Elle lui sourit.

Jyvro regarda sytrox avec un sourire:

- sytrox moi c'est jyvro.

Il se tourna vers seniax et dit:

- j'ai hâte... Et puis comment y va le grand onikaan?

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Sytriox sourit.

"Enchanté"

Seniax baissa la tête.

"J'aimeras bien le savoir..."

Sytriox sentit que sa sœur n'était pas trop bien, il posa son aile blanche sur le dos noire de la jeune dragonne pour la calmer. Elle regarda son frère mais ne dis rien... Elle n'avait plus vu Oni depuis un moment et elle commençait à avoir un peu peur pour diverse raisons...

Jyvro senti l'inquiétude de seniax. Il se trouva un peu con d'avoir poser cette question, mais il ne pouvais pas le savoir:

- je suis sur qu'il va bien. A près tout il n'est plus un enfant et il est très sensés. Il est peut-être occuper a perfectionner ses talents médicales.

Jyvro se rappela de la reine abyssa grâce a l'inquiétude de seniax et il esquissa un sourire amicale puis regarda la bague qu'il a sur la main gauche. Il devait retrouver abyssa coûte que coûte. Il avait déjà flancher, et avait demander a seniax de rester avec elle. Il pensais que abyssa n'était plus de se monde, mais maintenant il ne flancherait plus et il la chercherait jusqu'en enfer s'il le faut.

L'assemblée était désormais très grande, beaucoup de dragons et autres créatures de ce monde avaient fait le déplacement pour assister à ce jour rare et exceptionnel. La nuit commençait à tomber et l'ambiance musicale et festive se calmait petit à petit. Les gardes essayait de rassembler les témoins face au balcon où devait apparaître le Chroniqueur pour annoncer son héritier. La urveillance était à son maximum et un ordre avait été passé au sein de la garde:

Surveillez bien le Chroniqueur mais encore plus son héritier. Un échec sera puni par un exil, voir la mort.

La garde étant prévenue, l'ordre étant passé, et silence presque obtenu, le Chroniqueur fit son apparition sous un éclairage mettant en valeur son grand âge et sa fatigue. Celui-ci avait pour but de montrer au monde que même leur protecteur était un Être qui vieillissait et qui pouvait mourir. Il s'avança avec élégance malgré ses difficultés à marcher, vers le bord de ce balcon et prit une grande inspiration. Il leva une patte vers le ciel et marmonna une incantation, ce qui eut pour conséquence de faire tomber la nuit plus rapidement. Il lança ensuite haut et fort:

-"Peuples du monde, des mers, et des cieux ! Bienvenu à vous, et merci. Merci de nous honorer de votre présence. L'attente a dû être longue pour vous, mais elle arrive à terme. Je vais sans plus attendre vous révéler l'identité de mon héritier. Il a travaillé dur, mis de côté totu ce qu'il avait et même risqué de nombreuses choses pour se montrer digne. Accueillez-le et soyez indulgents. Il est jeune certes, mais responsable."

Alors que le Chroniqueur terminait son petit discours avec sa voix de vieillard tremblant, Onikaan fit son apparition, sous la tenue de cérémonie des Chroniqueurs. Il affichait un air sérieux, et semblait savoir où il allait et ce qu'il avait à faire. Son nom fut prononcé par une voix céleste, venant d'on ne sait où. L'héritier continuait sa marche jusqu'à atteindre le côté de l'ancien. Il regarda longuement la foule et ne prononça aucun mot comme l lui avait été demandé. Pour le moment, il ne devait simplement se montrer et ne rien dire. Il était impressionné par le nombre de sujets présents en ces lieux. Il ne pensait pas qu'un tel rôle s'étendait sur un tel nombre de personnes.

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Seniax allait parler à Jyvro quand la voix du Chroniqueur interrompue. Elle tourna sa tête vers lui et écouta son discourt avec attention malgré qu'elle ne pouvait pas le voir, elle était sur qu'il n'était plus tout jeune.
Pour voir l'héritier, elle mit sa magie et regarda... Elle reconnu Oni et les larmes lui montèrent aux yeux.
Sytriox, étonné de son comportement la serra contre lui et regarda attentivement l'héritier.

"Alors c'est lui? Ce fameux Oni?"

Seniax le regarda légèrement et hocha de la tête. Le dragon blanc caressa la tête de sa sœur.

"Calme toi..."

La jeune dragonne noire baissa les yeux. Sytriox sentait sa joie mélangé à de la tristesse et fixa le grand dragon qui est l'héritier. Il essaya d'attirer son attention en lançant de faible bruit dans son cerveau comme si il criait, Oni pourrait voir d'ou venait le bruit mais il n'était pas fort pour ne pas le déconcentré. Si Oni ferait attention, Sytriox rentrerait avec lui en langage mental, sinon... Et bien... Voila...

Jyvro n'a pu entendre les parole de seniax, le chroniqueur avait apparu avec son grand discours et présenta l'héritier... i n'en revenait pas... onikaan le nouvelle héritier du chroniqueur. il fit apparaître des Spirit claw de ses jambes pour grandir et pour être sur que c'était onikaan. tous le monde aux tour de lui le trouvait bizarre. il n'y avait aucun doute, c'était bien lui. il se pencha vers seniax:

- je te l'avait dit qu'il allait bien.

il fit apparaître des Spirit claw de ses bras et fit des pousse en l'air. jyvro resta sur ses gardes, car ses arrivé bien souvent une tentative de meurtre pendant des cérémonie.

Être érudit était un luxe rare en Warfang. C'était encore là une chose qui ne pouvait être tolérée. Cette bande de sauvage prétendument civilisée ne savait rien du monde qui l'entourait, ignorait les leçons que l'on pouvait tirer du passé, telle une feuille morte qui pouvait expliquer bien plus de choses que l'on ne pouvait en dire à première vue ou bien pourquoi y avait t-il ou non la présence de rochers en ces terres.
Pour autant qu'il puisse en dire, il détestait toujours autant cette ville d'aveugles qui refusaient de voir la vérité et se renfermaient dans leurs propres mensonges et leurs barricades de mépris. Aussi ne savait t-il pas réellement pourquoi il s'était rendu à cet assemblée. Peut-être était-ce pour s'attrister encore de la bassesse du coin qui allait encore et toujours plus profondément dans le viol des lois naturelles et établies par quelconques divinités résolues ? Peut-être était-ce pour se rassurer quand à l'avenir d'un tel endroit ? Dans la finalité, Reaver ne pouvait constater qu'une seule chose : La renaissance ne pouvait avoir lieu sans la destruction. Cette règle fondamentale décidant de l'avenir d'un monde comme d'un autre était ainsi conçue. Tout comme tous devaient comprendre qu'ils n'étaient pas indispensable à la survie du monde. Cette règle là était en revanche commune à tous et nul ne pouvait s'y soustraire. Ce qui mourrait aujourd'hui était remplacé demain. C'était aussi ça, la question du moindre sacrifice. Alors valait t-il mieux agir sans état d'âme dans l'anéantissement d'un modèle dépassé et rongé par sa propre méprise ou bien tenter de voir un maigre espoir de changement dans tout cela ?

Nul ne pouvait le dire.

Ce jour-ci, se rendre dans l'enceinte du Temple avait été fort difficile. Les Gardes étaient méfiants. A juste titre. Pouvait t-il leur en vouloir ? Non, évidemment. Quand on le questionna sur son identité, la réponse fut facile.
"Lucius Hobrow", après avoir mainte fois subit le joug des regards un peu sceptique des gardes, avait finit par se frayer un chemin en toute légalité dans les vastes étendues du Temple pour aller emprunter les escaliers. Stupides citoyens... Étaient t-ils feignants au point de ne pas utiliser leurs ailes ? Son accoutrement l'empêchait cela dit, de décoller.

La bure qu'il avait trouvé dans l'antre de Malefor allait être utile. De couleur bordeaux au ornements argentés, elle lui couvrait l'intégralité du corps, cachant ses ailes et ne révélant qu'une portion de sa queue et quelques griffes qui dépassaient ici et là à ras le tissu. Elle montait au moins sur son cou et plaçait son visage sous une épaisse capuche. Guère besoin de masque. Après tout, il n'était pas venu là pour faire quoique ce soit sinon se délecter encore une fois des niaiseries de ce bon monde qui se pensait protéger de tout dans leur bulle.

Cela en était exaspérant.

Peut-être que cela allait être différent, peut-être cela allait changer... Pauvre fou, qu'espérait t-il ? Reaver alias Lucius Hobrow alla s'installer sur une terrasse avant de s'asseoir sur son postérieur. Autant de bruit pour ce qui allait encore témoigner du ridicule de la cité. Autant de moyens gâcher à construire ceci alors qu'ils auraient put être utilisés pour bâtir sur le progrès et la raison. Maudits artifices.
Puis, il se contenta d'observer et d'écouter. De toutes les façons, il ne faisait rien de mal et n'avait pas l'intention de partir en croisade. C'était de son libre arbitre qu'il avait choisit de se rendre ici. Ce serait de son libre arbitre qu'il choisirait quand partir.

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Jusqu'à présent, Zaraek était resté discret, la faute à une sécurité très serrée. Lorsque le Chroniqueur parla, il l'écouta d'un air distrait, guettant l'arrivé de l'héritier.

Puis celui-ci arriva, et le prophète le reconnut aussitôt, marmonnant :
"Onikaan ?...Tiens, tiens."

Lui-même s'il devait choisir un héritier en tant que Chroniqueur, aurait sans doute opté pour un ermite du genre, mais bon, il croyait assez peu à la légitimité de ce rôle...

Même s'il n'était pas du genre à aimer particulièrement les habitants de sa ville natale, il comprenait un peu mieux maintenant pourquoi ceux-ci n'ont cure de ce qui se passe à Warfang. Cette ville semblait tellement immobilisée dans ses certitudes, dans ses usages, que chaque pierre de la cité n'inspirait qu'un ennui profond au dragon des ténèbres.
De plus, les habitants semblaient à peine plus malins que ce dont il était habitué, d'où la présence de tous ces soldats, véritables chiens de berger de ce royaume de moutons hypocrites.

Zaraek fit un signe à l'héritier, avec un grand sourire, espérant que celui-ci le repère et perde ses moyens. A vrai dire il s'ennuyait, et la sécurité envahissante des lieux réduisait sa marge de manœuvre...

Tidaro avait décider de quitter son poste de garde, trop chiant car il était au veau milieu du monde, et trop ennuyeux car, en tant qu'apprentie, il n'avais pas le droit de s'amuser, de boire ou quoi que ce soit. Ou même de rentrer chez lui. Il avait grimper, ne voulant pas utiliser ses ailes, un peu d'exercice serais le bienvenue, une grande tour qui se trouvait non loin de l'endroit où le nouveau chroniqueur allait se produire. A vraie dire, Tida n'avais absolument rien a foutre de ce chroniqueur, si il mourrait, alors on trouverais bien un remplaçant, il était une nouvelle piéce, un nouveau pion tout a fait remplaçable de son point de vue, comme il en était un lui même. Il poussa un soupir, d'ici, il avait une belle vue sur absolument tout le monde, et comme tout le monde avait les yeux braqués sur le chroniqueur, et le fait que personne ne soit assez stupide pour regarder vers une tour sans raison, il était là a observer quelques acclamations, des signes de pattes, et plein d'autres gestes dont il s'abstenaient. Certains Dragons étaient là car ils voulaient être avec les autres, mais d'autres étaient là car le chroniqueur était symbole d’espoir pour eux, et en es temps mauvais, ils avaient besoin d'éspoir. Tidaro ferma les yeux et s'allongea contre une corniche de façon a ce que, même en levant les yeux, on ne puisse pas le voir. Il décida que, pour le moment, rien ne devait l'alarmer, et il prit un peu de repos, après tout, c'était un jour de fête et de repos, non ?

Non loin d'ici entendant le bruit d'une foule acclamer pour un certain "Héritier" Monsta suivi les voix qu'il entendait pour savoir ce qui ce passe. En suivant le bruit de fond il arrive finalement a l'arrière d'une foule de dragon.

"Il y a beaucoup de monde ici. Il doit ce passer quelque chose d'important pour un tel rassemblement."

N'ayant aucune idée de la situation il se contenta d'écouter le discours au milieu de la foule pour essayer de comprendre ce qui ce passait.N'ayant pas de grande connaissance sur le monde et n'ayant pas fait attention aux affiches disséminé un peu partout, il ne connaissait pas l'importance de cette cérémonie et l'importance du chroniqueur.

Lyno passant par ici vit une foule de personne qui acclamait un certain héritier et un chroniqueur. Ne sachant pas pas ce qu'il ce passait il s'approcha et regarda autour de lui et vit un dragon allonger contre une corniche en train de se reposer. Lyno s'approcha de lui pour lui demander ce qu'il ce passe ici.
Lyno s'approche lentement du dragon mais a cause de sa timidité mais aussi que ce dragon est beaucoup plus grand que lui, commence a avoir de plus en plus peur de lui.
Lorsqu'il arriva devant lui il lui demanda timidement:

Bonjour pourriez-vous me dire pourquoi il y a autant de monde ici et pourquoi vous êtes vous mis ici ?

Le petit dragon tres craintif tremblait de partout apres avoir poser cette question.

Sujet: Re: L'héritage d'un grand savoir. (Ouvert à tous)

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