Aucunement sortie du bois! [PV: Yt'Kut, Igniis]

Avec douleur, je descendis de cette montagne en planant... Cela faisait beaucoup trop longtemps que je n'avait pas utiliser mes ailes, alors le vent me fit dérivé vers une immense forêt. Je ne voulais pas entré dans celle-ci, mais cela devait être moins pire que cette cage ou j'étais normalement. "J’atterris" avec autant de gracieuseté qu'un rhinocéros sur un toi de petit bois. Je dû rester affaler sur la mousse si confortable pendant quelques minutes avant de pouvoir me relever péniblement. Cette forêt était si belle, mais si inquiétante a la fois... Il y avait des araignées grosses comme mon épaule! Je frissonnai a la vu d'une d'elle. Je marchai tranquillement afin de garder le peu d'énergie qui me restais.

Il y eu un bruit de ricanement... mais je ne saurai dire quoi. Je regardai autour de moi, mais rien... J'ouvra la gueule, déploya mes ailes comme un percepteur et émit un cris aigus perceptible par très peux de vivant. Des ondes vinrent ricocher sur tout ce qui était autour de moi et vint me donner les information que je voulais... Des créatures bipèdes, au nombre de sept était sur ma gauche a m'observer. C'était des singes, donc deux beaucoup plus gros que les autres. Il n'avait pas l'air en vouloir de m'approcher pour l'instant, mais je ne voulais aucunement savoir si il voulait faire amis amis ou me dévoré comme repas. J'activait mon pas sous mes plainte mentale a cause des multiples blessures que mon corps avait. J'avais peur et je ne voulais pas me faire enlever ma liberté si longuement attendu. Non! Jamais, je resterai seul dans un abri que je ferai pour garder ma liberté! Je ne veux pas retourné là-bas ou dans quelconque prison, cachot, donjon... RIEN! Des tremblement traversaient mon corps au complet avec des larmes qui coulait. j'avais un corps de jeune dragon faible de 17 ans avec l'age de 29... comment pourrai-je faire quoi que ce soit avec mon état...

Des pas, plusieurs pas. Les singes s'approchait et je ne pouvais plus courir. Il était maintenant autour de moi resserrant l'étaux tranquillement pour les allécher le plus que possible. Pour que ma chaire goût la peur, l’angoisse, la terreur. J'étais fini, j'allais mourir quelques jours après la fuite de ma cellule... qu'elle vide de merde...

J'étais dans la Forêt Géante pour une raison spécifique, ce jour-là. L'anniversaire d'Abyssa, ma compagne, étais dans les jours à venir. Donc, pour cela, je voulais lui offrir un cadeau qui lui ferait extrêmement plaisir. Et, on m'avait dit que, dans cette forêt, on pouvais trouver des trésoreries digne d'une reine. Et c'était exactement ce qu'il me fallait ! Et tant pis si je me perdais des heures à cause de ce maudit sens de l'orientation ! J'avais un objectif et je n'allais pas en ressortir tant que je ne l'avais pas accompli ! Mais, si j'allais à cet endroit comme cela, ça aurait paru suspect. Alors, ce que j'ai fait, c'est que j'ai fait croire à ma compagne que j'avais eu un contrat à remplir à cet endroit et j'avais même emporté mon masque avec moi. Et, quand j'aurais accompli mon objectif et que je serais rentré chez moi, je dirais que celui qui m'avait donné ce contrat m'avait donné de fausses informations. Voilà, rien de bien compliqué ! Mais, connaissant ma compagne, je sais qu'elle se doutera de quelque chose... Surtout à quelques jours de son anniversaire.

Enfin bref, j'étais dans cette immense forêt et j'étais... Perdu. Maudit sens de l'orientation !!! Mais bon, je continuais, en même temps, de chercher partout ! Je n'allais pas abandonner ! Donc je cherchai... Et cherchai... Mais RIEN !!! Que dalle ! Niet ! Nada ! Rien de chez rien !!! Je perdais, intérieurement patience ! Mais cela me donnait encore moins envie d'abandonner !

Mais, soudainement, j'entendis une sorte de rire... Mais pas n'importe quel rire... Un rire de singe... Cela m'interpella car je pensais les singes disparus ! Apparemment, il y en avait encore ! Je me dirigeais alors vers ce bruit.

Plus je me rapprochais, plus le bruit s'intensifiait. Puis, j'entendais leur pas.... Ils couraient ! Et ils couraient tous vers une même direction, en un même point. Je me rapprochai... Puis, soudainement, les bruits de pas s'arrêtèrent ! Et, à la place, il y avait une cacophonique de hurlement de ces sales bêtes ! Puis, j’arrivais à l'endroit où ces macaques étaient. Ils étaient une dizaine autour de quelque chose... Ou plutôt, quelqu'un. Je regardai autour de quoi ils étaient... Un dragon ! Il y avait un dragon. Il avait l'air jeune, je dirais une vingtaine d'année, environs. Et il était en larme pendant que les macaques se léchaient le babines.

Alors, pour détourner leur attention, je rugit d'un rugissement qui vous donnerait les fois ! Un rugissement à en faire presque pâlir les esprits. Un rugissement draconique bestiale. Puis, je traçai rapidement dans les air la rune élémentaire que Volteer m'avait appris pendant que les bêtes se retournaient toutes vers moi. J'activai alors la rune mentalement et balançai une boule de feu qui attérit en pleine gueule de l'un d'eux, qui mourra instantanément par ce feu soudain et magique. Puis, je bondis vers l'avant et en égorgeai un à griffe nu ! Ils commençaient à fuir et je crachai mon feu sur ceux-là. Deux singes furent touchés car ils n'étaient pas assez rapides et ils se refroidir à cause de cette énorme chaleur.

Une fois qu'ils étaient tous partis, je me tournai vers le dragon et lui dit :

- Est-ce que ça va ? Rien de cassé ?

Avant que l’étau ne se referme complètement, un rugissement arriva violement a mes oreilles, me faisant sursauter de peur et avec un mauvais mouvement, je me tordis ma pauvre patte arrière. Je m’effondrai au sol en agonisant. Une blessure profonde se recouvra dans mon flanc. Mes oreilles sillaient, mon flanc saignait et j’étais incapable de m’enfuir. Je sentais mon ouï revenir avec des bruit de pas allant dans ma direction et une énorme ombre me surplombait. Je lèvai faiblement ma tête avec horreur sur mon visage, l’ombre me surplombant était un dragon énorme et musclé comparer à moi. Je ne pouvais pas répondre à sa question, que je ne pus comprendre, à cause du bruit sourd dans ma tête. Je lâchai un gémissement de crainte et plaintif a la fois. Mon corps de jeune adolescent de 17 ans était faible, meurtris et blesser par la torture et les coups que j’avais reçu. J’étais faible, trop faible pour faire quoi que ce soit contre se dragon. Mes yeux se fermèrent tranquillement et de plus en plus ma vision devint floue. Je vivrai encore, mais je devais me reposer… à moins que cet étranger me tue dans mon sommeil…

Le dragon était bien amoché ! Il avait plusieurs plaies ouvertes et saignait abondemment. Puis, quand je lui demandai s'il allait bien (je n'avais pas encore vu ses blessures), il tomba dans les abîmes de l'inconscience. Je regardais alors ses blessures plus attentivements... Elles pouvaient êtres graves, mais pas assez profondes pour êtres mortelles. Je pris son poul et je vis qu'il respirait encore. Mais, si les singes revenaient et le voyaien, ils le tueraient sûrement. Vu ses plaies, il avait besoin de repos tout d'abord. Et il avait besoin de bandages, vu le sang qu'il perdait.

Là, je me suis dit :Bon, Abyssa, ton cadeau d'anniversaire passera juste après ! Je décidai de prendre sur mon dos le blessé et j'entrepris de chercher une rivière. Là, il pourra se reposer et s'hydrater. Je cherchai pendant une heure, même pas, et, miracle, j'en trouvait une ! L'eau était fraîche, de couleur assez cristalline. Dans les alentours, il y avait des feuillages qui pouvaient servir à faire des bandages. En même temps, après dix ans à avoir essayé de chercher la rédemption dans la nature, je savais à peu près quelles plantes pouvaient m'être utiles.

Donc, j'utilisais ces feuilles pour bander les blessures du blessé et je le laissais à côté de l'eau. Puis, pendant qu'il était toujours inconscient, je cherchais aux alentours, toujours en gardant un oeil sur le dragon, et essayais désespéremment de trouver le cadeau d'anniversaire de ma compagne...

Je me sentais transporter, cela voulais dire que je n'étais pas inconscient, mais j'étais très faible. Des pattes géantes placés des genre de bandes sur mon corps, mais sur des endroit précis... sur mes blessures. Les pas lourds partirent un peu plus loin, mais j'entendais les échos de ses pas dans les environs. J'ouvrai mes yeux quelque minute d'attente et je regarda ce qu'il avait mit sur mes blessure. C'étais des feuillages, mais elles permettaient d'empêcher la majorité de mon sang de couler. Je soufflai de soulagement, mais je devais être prudent. Bien que... Non! Je n'ai pas endurer tout pour devenir imprudent maintenant. Je regarda mon corps frêle, au multiple cicatrice de torture. C'étais laid, comment des créatures munis d'un esprit penseur pouvaient faire de tel horreur? Mes oreilles se relevèrent en entendant les bruit de pas lourd du dragon arriver. Je tourna la tête vers lui en baissant celle-ci comme pour être épargner.

J'aurai voulu lui dire de m'excuser, le remercier, mais ma gueule était scellée, mon esprit renfermé. J'ouvris ma gueule, mais seulement un couinement sortit. C'étais embarrassant, mais pouvais-je lui faire confiance? Si il voulait me garder comme encas pour plus tard? Les autres dragons sont-ils cannibales? Toutes ses penser mon automatiquement fait réagir mentalement. Je poussa un cri imperceptible vers le dragon rouge orangé qui allait perturber sa vue et son orientation le temps de quelques secondes. Je rampai jusqu'à des roseaux sur le bord de la rivière afin de me cacher pour observer le dragon priant qu'il part loin, j'avais peur des représailles...

Je continuait à chercher aux alentours du dragon blessé. Mais, je ne trouvais rien. Dans le pire des casn je n'aurais qu'à chercher dans les magasins le cadeau pour ma compagne, mais les trésors naturels ont tellement plus de valeur... Puis, je jettais toujours un oeil de temps à temps au blessé. Puis, quand je me retournai pour continuer à chercher...

Je fus pris d'un soudain mal de tête ! En effet, ma vue commença à se troubler et mon ouïe siflait. Et ce fut le cas pendant qu'elque seconde. J'avais mis ma patte avant droite sur mon crâne le temps que cela cesse. Et puis, comme autre effet de ceci, mon sens de l'orientation devint plus mauvais ! Déjà qu'il était merdique, mais là il était presque inexistant !

Enfin, quand cela fut fini, je me retourna vers l'endroit où le blessé devait être... Mais il n'y était plus. Je me grattai les yeux, pour voir si j'étais bien réveillé, et je me pinçai en plus, il il s'avérait que je l'étais bel et bien. Alors, je me grattai l'arrière de la tête en pensant à haute voix :

- Ben... Il est où ?

Je regardai à mes alentours mais je ne vis rien. Puis, je dis à haute voix :

- Tu sais, c'est pas très bon pour toi de trop bouger, vu tes blessures. Il te faut du repos ! Où est-ce que tu es ?

Je ne pus me résoudre a me taire, ce genre de discours je l'avais entendu plusieurs fois avant que l'on me bat ou pire... J'élevai une vois légèrement plus masculine que celle d'un enfant.

- C'est ce qu'il m'on toujours dit et ça ne rimait qu'à me remettre en cage, me battre, me faire subir des atrocité comme aucune personne pourrait pensé! ALORS NON DE NON! Vous ne m'aurez pas pour votre déjeuner!

Parler aussi fort me fit mal a la gorge, me rappelant des douleur interne et externe... Mes blessures se ravivèrent dans la zone de ma gorge et je lâchai un cris étouffer. J'essaya me me plonger un peu plus, mais mon corps ne pouvait pas nager alors je du sortir de ma cachette impuissant devant ce dragon. Il ne me restait plus qu'à le supplier... le supplier de ne pas me faire mal ou de m'achever maintenant... Je vais commencer par la première option, on ne sait jamais...

- S'il vous plait... ailler pitier épargner moi... *tousse fort* Je ne veux pas revivre cette enfer encore... 20 ans est déjà suffisamment de temps d'esclave... non?

Je fini sur une note de semi questionnement, semi affirmation. J'étais faible, incapable de bouger je ne pouvais que prier le soleil de veiller sur moi... ou a mon sauveur... ma sauveuse en fait.

Pendant que je cherchais, j'entendis sa voix :

- C'est ce qu'il m'on toujours dit et ça ne rimait qu'à me remettre en cage, me battre, me faire subir des atrocité comme aucune personne pourrait pensé! ALORS NON DE NON! Vous ne m'aurez pas pour votre déjeuner!

Puis, il sorti soudainement de l'eau et vint devant moi pour me supplier avec son air extrêmement faible :

- S'il vous plait... ailler pitier épargner moi... Je ne veux pas revivre cette enfer encore... 20 ans est déjà suffisamment de temps d'esclave... non?

Face à cela, je soupirai. Je lui tournai le dos et commençai à rechercher des bandages. Certains s'étaient enlevés. Je dis dans le même temps :

- Tu as vraiment besoin de repos, j'ai dit. Sinon, vu tes blessures, tu vas mourir, vidé de ton sang. Tu veux que je t'épargne ? J'essaye de te soigner. Si j'aurais voulu te tuer, je l'aurais fait depuis longtemps. Je t'aurais laissé aux singes ou alors je t'aurais tué tout de suite. Je suis un monstre, un cauchemar, j'ai fait couler à flot du sang, j'ai déchiqueté des dragons et des singes, j'ai explosé leur tête, je les ai brûlé... Mais je ne suis pas aussi sadique que ces monstres que tu me décris-là.

Je trouvais enfin d'autres plantes qui pouvaient servir de bandages. Je les cueilli et revint vers le jeune dragon. Je commençai à appliquer les bandages sur les blessures où il n'y en avait plus et changeai les autres qui étaient souillés.

- Toi, on dirais que tu n'es jamais sorti en extérieur... Vaudrais mieux que tu apprenne que, même si le monde extérieur est dangereux, cruel et tout ce que tu veux, il y a aussi des personnes qui aident les autres et qui sont exactement l'inverse de ce que tu crains.

Je fini de le panser. Et je continuai :

- Voilà ! Maintenant, repose-toi ! Tu as de l'eau à côté si tu veux te désaltérer et je vais chercher un peu de nourriture...