à Six pattes, nous marcherons (PV Jyvro) [Terminer]

J'étais avec Jorth, le capitaine des garde de Warfang, pour aller parlementer de paix et éviter une guerre entre Sky Badland et Warfang. J'avais dû laisser Notad aux soins d'une jeune Baby-sitter pour ce voyage d'une importance capitale. Mon capitaine m'avait choisi car il pense que je suis celui en qui il avait le plus confiance.Le chef de Warfang, je ne sait plus son nom, l'avait choisit lui pour aller là-bas et lui m'a pris comme "garde du corps" car on ne va pas à ce genre de réunion tout seul... Minimum deux. On lui avait expliquer qu'un Destructeur habitait là-bas, et fallait parler à propos de cela. Je préfèrerais en faire un allié qu'un ennemis, car la dernière fois qu'un Destructeur fut réveillé... Ce fut le gros bordel. Enfin bref, je suivais Jorth, pour ne pas me perdre, bien évidemment, tout en discutant avec lui des tracas quotidiens de la vie et de la ville.

- Et sinon, me dit-il, comment va ton fils adoptif, heu... Notad, je crois.

- Ho, il va très bien. Il s'est parfaitement adpaté à sa nouvelle vie et il dort très souvent dans la même pièce que moi... Il aimerait pas être seul à nouveau. En plus il aime beaucoup les calins.

- Je le comprend.

- Moi aussi.

- Et des nouvelles de certaines de tes patrouilles ?

- Bof, tu sais, j'ai des journée à peu près normales. Je me lève, je m'occupe de Notad, je me ballade dans la ville pour surveiller et avoir parfois de nouveaux contrats et je pète la gueule à une ou plusieures racailles qui veut s'en prendre à moi pour lui donner une bonne leçon.

- Tant que tu ne meurs pas, ça me va.

- Moi aussi. Surtout que je dois assurer une présence à Notad.

- C'est vrai.

Après quelques minutes, nous arrivîmes à l'entrès d'une ville gigantesque. Plus grande que Warfang. Un soldat bipède, de couleur jaune, arriva vers nous et nous dit d'une voix très peu commode :

- C'est vous les dragons quadrupèdes de Warfang ?

- Oui. Pouvez-vous nous indiquer le point de rendez-vous, s'il vous plait.

- Je vais faire mieux. On m'a dit de vous y ammener. Suivez-moi, fini-t-il en se retournant et en entrant dans la ville.

Nous le suivîmes alors parmis la grande et magnifique ville. Les dragons bipèdes nous regardaient comme des créatures venus d'un autre monde. Je les comprend, en même temps. C'était comme si les dragons bipèdes venaient à Warfang. Nous arrivîmes au bou de quelques minutes dans un gigantesque château et nous nous dirigeâmes vers une gigantesque salle où régnaient plusieurs trônes. Le soldat se retourna vers nous et nous dit de la même voix que tout à l'heure :

- Nous y voilà ! Maintenant, vous allez attendre les rois et les reines...

- Les rois et les reines ? dis-je surpris car ce n'est pas souvent que plusieurs roi se réunissent dans un même endroit si ce n'est pour faire la guerre.

- Oui ! Vous devez les attendre ici. Ils vont arriver sous peu. Maintenant, laissez-moi disposer.

- Très bien.

- Il n'est pas très commode, dis-donc, dis-je à voix basse à Jorth quand il fut sortie.

- Oui, tu as raison. J'avais envie de lui donner une bonne...

- N'oublies pas qu'on nous surveille ! dis-je en fermant sa gueule.

- Hmpfff... réussit-il à articuler.

Tout les gardes dans la salles nous fixaient avec un de ces regards... Je ne saurais le décrire.

- Arrêtez de nous regarder comme ça ! leur dis-je. Nous ne sommes pas des monstres.

J'enlevais la patte de la gueule de Jorth pendant que les dragons aux alentours continuaient leur regards... Puis, nous poirontons pendant plusieurs minutes, quand, soudainement, nous nous retournâmes car nous avions soudainement la grande porte s'ouvrir derrière nous...

Le garde jaune marcha vers moi qui s’entraînait avec le maître de garde. un coup d'épée vers le bas, j'enchaîna avec un coup vers le haut ce qui fit revoler la lame a 1 mètre du dragon jaune qui fut surpris par l'arme. Je rengaina Claymore qui marmonna quelques jurons pour avoir été utiliser comme épée de pratique. Je serra la main du maître d'arme qui s'inclina et repartie a ses occupations. Le jeune jaune s'inclina et attendu que Je sois a 2 mètres avant de se relever et de lui faire par de son message.

- Sir jyvro, les dragons quadrupèdes sont arrivés a la salle des conférences. les autre roi sont déjà sur leurs sièges. Il ne manque que vous.

J'avais complètement oublié que des dragons de Warfang venaient faire une demande aux peuples de Sky BadLand. Je me précipita vers le grand bâtiment de la royauté. je n'avais pas eu le temps de se changé en toge.le tabard de la cité était sur moi avec mon épée a la ceinture. j'entra avec presse dans la salle des conférences saluant d'un inclinaisons les membres de la royauté et les deux visiteurs. Tout les dragons était alentour de la grande table demi lune en pierre volcanique. Les deux dragon quadrupèdes avait été assis sur les coussin de visite très confortable, car les chaise n'était pas adapté à leur morphologie. Les dragons de la royauté était tous assis alentour d'eux avec des interrogations. je m'assois dans le milieu de la courbe que faisait la table et regarda les dragons à quatre patte.

-Pardonner ma tenue et mon retard... j'avais oublié votre venu dans notre cité... que nous vaux l'honneur de votre visite aujourd'hui? J'espère que votre guide a été courtois avec vous...

Je regarda le dragon rouge que j'avais justement croiser pendant la rencontre des tribu dans la salle des tactique. Je lui fi un petit signe de tête en signe de respect. Tous les autres rois et reines avait un minimum de 35 années de vie... J'étais le seul dragon n'aillant pas 20 ans et qui était assis sur une chaise royal comme les autres. Claymore marmonna quelques jurons d'être encore prit dans une salle ou il ne pourrait pas dormir.

De la porte, arriva six dragons bipèdes. Tous portaientt une couronne sur la tête. Tous étaient différents. Je vais donc les décrire dans l'ordre où ils sont rentrés. En premier, il y avait un dragon noir comme la nuit en habits rouges et blanc somptueux et une cape rouge glissais sur le sol tandis qu'il avançait. Il paraissait assez vieux, j'aurais dit 55 ans à peu près. Puis, une dragonne blanche, qui devait avoir environs 40 ans, entra dans des habits royaux vert et une cape jaune. Un dragon vert, qui devait avoir 50 ans, habillé de gris et vétu d'une cape orange, la suivit. Ensuite, il y eu une dragonne jaune, d'une quarantaine d'années environs, vétue de cyan et d'une cape blanche suivie d'une dragonne rose qui avait une démarche assez spéciale. Elle dodelinait joliment des hanches et devait avoir entre 35 et 40 ans. Elle était vétu d'une longue robe violette et d'une cape de la même couleur. Puis entra le dernier dragon. C'était le plus jeune de tous, une trentaine d'années environs, et il était bleu clair. Il était vétu de noir avec une longue et fine cape de la même couleur qui trainait derrière lui. Il nous regardait avec un de ces regard et avec un sourire presque sadique. Malgré sa couleur extrêmement claire, je pouvait aisément déviner que ces intentions étaient sombres. Ils s'approchèrent et l'un deux dit alors :

- Suivez-nous jusqu'à la salle de réunion, s'il vous plaît.

Nous les suivîmes et nous arrivâme à une table en roche volcanique d'une forme demi-lunaire. Le même dragon dit

- Qu'on apporte des coussins à nos invités !

Deux beaux coussins rouges nous furent présenté et, lorsque nous nous installèrent, un confort immense se plaça. Nous étion dans le côté assez... Droit de la table et les six rois et reines se placèrent dans le côté circulaire. Mais une place était vide. Il devait donc y avoir une septième personne. Ce n'était que des doute, alors je ne dis rien. Puis, nous attendions encore une ou deux minutes pendant que tout ces rois et reines discutèrent et se posèrent des questions entre eux sur nous. Vu que la réunion n'avait pas commencé, je demanda :

- Excusez-moi mais... Pourquoi ne commencions-nous pas la réunion ?

Ce fut le noir qui répondit :

- Nous attendons le dernier à la table, Jyvro.

Puis, nous vîme entrer un jeune dragon rouge en habits d'entrainement. Je le reconnu. Il était à la salle des tactiques durant cette période où le maître noir s'était allié à Warfang pendant un court temps.

- Quand on parle du loup, le voilà.

- Pardonner ma tenue et mon retard... j'avais oublié votre venu dans notre cité... que nous vaux l'honneur de votre visite aujourd'hui? J'espère que votre guide a été courtois avec vous... dit-il.

Il me fit un signe de respect, comme s'il m'avait reconnu, et je le lui rendit. Il avait une claymore attaché à la ceinture et il ala rejoindre les autres rois et reines à l'arrondissement de la table.

- Oui. Il a été... Efficace, tout du moins, répondit Jorth à côté de moi.

- Et n'avez-vous donc pas entendu les nouvelles ? Warfang veut une paix durable avec Sky Badland car un Destructeur habite ici. Et, connaissant la haute société de ma cité, je peux dire qu'ils ont un très mauvais souvenir et qu'ils ont un peu peur que le monde se fasse bel et bien détruire, dis-je alors.

- Bien, maintenant que tout le monde est là, je pense que nous pouvons commencer.

J'ouvrais alors attentivement l'oreille pour écouter les débats.

Je compris que le dragon bleu était un peu mécontent de son arrivé. Je me doutais bien que le jeune garde avait un peu de difficulté avec les quadrupèdes... Dans tous les cas j'irai le voir pour lui parler. Le dragon rouge qui avait été dans la même pièce que moi au par-avant s’expliqua sur leur venu. Le dragon noir mit ses mains sur la table la paume vers le plafond et s'exprima:

- Je ne comprends pas vraiment pourquoi vous voulez une paix durable, quand que nous laissons nos marchants kobolds se promener jusqu’à Warfang... De plus, si nous aurions voulu écraser Warfang, nous l’aurions déjà fait et sans l'aide des destructeurs. de plus seulement nos 7 cités on assez de dragons pour dépasser votre population de 5 fois. Il y a les démons de l’île du néant avec qui nous sommes allié après plus de 27 années de guerre...

Tous les rois et reines s'échangèrent des regards avant de me regarder pour que je parle... je n'aimait pas vraiment parler du passer de mon peuples, mais bon. Il fallait bien être véridique sans leur dire que j'étais un Destructeur.

- Je comprend se que vous ressentez... mais il y a seulement 2 ans, il y avait plus de 300 Destructeurs vivant... Il sont majoritairement morts dans le dernier combat contre l'ancien souverain des démons... Il ne reste plus qu'un Destructeur après qu'il est tuer celui qui a tenté de détruire le monde avec Malefor. Celui qui est encore en vie, ne veux aucunement détruire le monde... En fait il cherche à fondé une famille pour vivre ce qui lui reste.

La royauté était tous tourné vers Jyvro... Il affichait tous un air d'interrogation. Après un regard a tous les rois et reines de ma part il se retournèrent tous vers nos deux dragons quadrupèdes. Les dragons bipied s'échangèrent des regards et des signes d’acquiescements. La dragonne rosée regarda les deux dragons quadrupèdes.

-Même si nous ne voyons pas l'intérêt de ce traité de paix, nous sommes tous d'accord avec un traiter de paix pour rendre les tensions entre nos deux peuples plus calme. Si vous avez certaine condition ou question demander à Jyvro. Tous les autres vous pouvez partir

A part moi, tout les autres dragons retournèrent a leur occupation, me laissant avec les deux invités et toutes la paperasse. J'invita les deux dragons a me rejoindre pour que l'ont puisse faire le traité de paix.

Je n'avis rien eu le temps de répondre au roi de couleur noir pour ce qu'il avait dit avant que tous partirent sauf un. Nous nous enlevâmes de nos coussins et nous rejoignons Jyvro, qui nous invita à le rejoindre. Je me rapprocha de lui et lui dit :

- Heureux de voir que nous nous revoyons sous de meilleurs hospices que lors-ce que nous nous somme rencontrés. C'est à dire en temps de demande de paix durable, et non de guerre. Ha, et je te présente Jorth, dis-je en le pointant de mon museau.Normalement, c'était lui que tu aurais du voir dans cette salle où il y avait Malefor. Mais, à cause d'un mauvais coup de couteau d'un individu aujourd'hui mort, il ne devait pas bouger trop longtemps du lit sinon il allait tout simplement mourir par un déchirement des tissus des organes vitaux et puis... Je ne te raconte pas la suite puisque tu l'a connais. Il m'a choisi et je suis venu dans la salle de réunion.

Jorth baissa respectueusement la tête, comme pour se présenter.

- Nous avons, par contre, deux ou trois questions. Qui était ce dragon bleu clair... Son regard envers nous semblait si... Si...

- Haineux, dis-je. Son regard laissait, sans t'offencer, devinait que de noirs desseins mugissaient dans sa tête. Et... Content d'en voir une qui peut être de notre côté...

- Tout à fait ! me coupa Jorth. Une guerre ne va peut être pas arriver avant longtemps, et je dis bien peut-être, mais une paix durable pour réduire les tensions sont les biens venus. Et je pense aussi que le commerce pourrait s'établir entre nous, ce qui rapporterait énormément économiquement et renforcerait des liens à nos deux... Pays, pour vous, mais ville pour nous. En tout cas, c'est ce que j'espère.

Il tourna la tête vers moi.

- Et n'oublie pas, Igniis, que c'est moi qui signe les papiers, et uniquement moi. Car on n'avait engagé seulement moi pour parlementer. Et si une des signatures est la tienne... Tu sais comment va nous gueuler dessus le chef de Warfang.

- Oui, je sais.

- Enfin bref. Je suis plutôt satisfait que la paix sera établie entre nous. Je pense que cela nous évitera beaucoup de problème, dit-il en s'approchant. Où est la paperasse ?

Le dragon rouge exprima sa joie de me revoir dans de meilleur circonstance et avec de bonne nouvelle. Il me présenta celui qui était supposer être à la rencontre de la salle des tactique en premier lieux. Il m'expliqua pour quel raison il était aller a sa place. Je leur souris en répondant au dire du dragon rouge:

-Je suis bien content de te revoir aussi dans de meilleur terme. Je peux comprendre pour vos dirigeants la peur du destructeur. Enchanté Jorth, Je me nomme Jyvro Emerald Keeper, mais Jyvro fera l'affaire. Vous pouvez me tutoyé, je n'ai pas même pas encore 23 ans. Pendant que nous étions dans la salle enfermé avec Malefor, j'avais une envie de meurtre beaucoup plus intense que j'aurai cru avoir contre lui. Au moins j'ai rester calme pendant la réunion. mais si je vois son museau sur une ile volante, je vais le décapité a la seconde ou il pose sa griffe sur la terre... Je ne me rappelle pas de connaître ton nom dragon rouge...

Jorth et le dragon rouge m’expliquaient leurs inquiétude en vers Trosfir. Il avait surement fait le regard qu'il fait a tous les gens de l'extérieur. Je mit ma main sur mon museau en soupirant:

- Ne vous inquiéter pas pour lui... ce n'est qu'un simple troupe du cul qui se cache derrière ses gardes. Il est incapable de se battre ou même manier une épée. De toute façon, si il décide de partir en guerre, il devra passer par ma cité et me demander le droit de passage. Si la majorité est contre, il ne passera pas. Le commerce ce faisait déjà, mais plus dans un seul sens, car il n'y a pas beaucoup de route commercial... Je vais m'arrangé pour en faire construire une.
Je sortis des papier d'une tablette qui était accrocher sous la table. et la déposa devant Jorth avec une plume a l'encre. Il y avait prêt de quarante page. Je souris a Jorth et lui pointa ou signé:

- Désolé, mais il faut absolument que tu lis, sinon ça ne sera pas avantageux pour vous si il y a quelque chose que vous êtes contre. A force d'être en cohabitation avec une dizaine d'espèces civilisé, nous nous somme un peu blinder en terme de paix... si il y a quelque chose qui déplaît, dit moi le je l'enlèverai si possible... C'est bizarre que vous ne poser pas de question sur le destructeur... Vous n'êtes pas intriguer de le voir? Vous savez... Le destructeur qui est encore en vie a visité plus de 40 fois la ville de Warfang...

Je les regarda avec un air amusé attendant leurs réactions. Amusé par la paperasse et par l'intrigue que je faisait volé dans les airs. Cela m'amusait de jouer avec l'intrigue et la curiosité des visiteurs.

- Au moins, c'est rassurant de savoir que ce dragon bleu clair ne présente, pour le moment, aucun énorme danger.

Je m'approcha de Jorth qui regarda le tas de quarante pages qui avait été posé devant lui avec un bruit sourd. Il avait la plume dans la patte avant droite, sa gueule était à moitié ouverte et ses yeux laisser deviner sa surprise. Il tourna la tête vers moi, gardant la même expression du visage, et le retourna vers les feuilles. Ce qu'il fit me surpris avant de me faire rire aux éclats. Il approcha la plume trempé d'encre de son visage et fît un rond d'encre autour de chacun de ses yeux avant de les rejoindres par un "U" à l'envers entre les deux, ce qui fit la forme de lunette. Puis, il s'adressa à moi :

- Tu ne signes pas, Igniis, mais tu peux lire. J'ai des problèmes de vue et, comme tu le vois, je n'ai plus de verre à mes lunettes. Et, en plus, tu lis beaucoup plus vite que moi.

Là, j'explosa de rire devant Jyvro, qui ne devrait pas comprendre pourquoi. Ce qu'il avait fait, il l'avait déjà fait devant un marchand qui voulait instaurer sa boutique à Warfang et il mit devant Jorth un gros tas de feuille qui disait ce qu'il allait vendre. Il fit alors ce qu'il venait de faire maintenant. J'étais présent, ce jour-là, et quand il fit cela, et j'eu la même réaction que ce jour-ci. Enfin bref, mon chef leva la tête vers le dragon bipède et dit, après un soupir :

- C'est bien parce que nous voulons une paix durable qui plaisent aux deux camps que nous allons lire toute cette maudite paperasse...

- Et merci pour essayer de faire en sorte qu'il y ai une route commerciale. Et puis, je dis tant mieux pour vous si vous avez des dizaines de traités de paix, comme ça, les guerres sont loins devant vous, et je dis loin car n'importe quel espèce intelligente fera la guerre un moment où à un autre... Et quand il n'y en a plus, il y en a encore... Et, nous ne savions pas que ce Destructeur était allé autant de fois à Warfang, et nous ne savions pas non plus son identitée.

- Bha, écoutes ! répliqua Jorth en train de lire la première page. Ce Destructeur n'a encore rien fait à Warfang et cela nous arrange beaucoup. Et, si ce Destructeur ne veut pas donner son identitée pour pas être regardé par un monstre à Warfang la prochaine fois qu'il ira là-bas, car nous vous signalons que nous devons faire un rapport complet au chef de Warfang, nous ne préférons pas savoir. Mais s'il s'en contre-fiche complètement, alors j'avous que ma curiosité...

- NOTRE curiosité, Jorth.

- Donc, notre curiosité serait appelé et nous voudrions bien savoir l'identité de ce fameux Destructeur.

- Et, Jyvro, pour te rappeler mon nom, je m'appelle Igniis.

Jorth finissa de lire la première page et dit :

- Je ne trouve pour l'instant rien qui ne nous serait pas avantageux. Au contraire, je pense que c'est parait. Je signe cette première page, déjà.

Il approcha la plume de la feuille à l'endroit indiqué qand un bruit derrière nous l'arrêta. C'était un bruit de porte. Nous nous retournâmes alors...

Le dragon bleu fit une mine de surprise et se fit des fausses lunettes avec la plume que je lui avais tendu. Igniis partie en éclat de rire. Un peu plus, et il se roulait part terre. J'eu un petit rire au ridicule de la situation et regarda Jorth amuser:

- Hé!hé!hé! Vous avez l'air ridicule, mais vous aller l'être pendant plusieurs heure... Cette encre est assez dur a enlever sur les écailles et elle est fait pour résisté a l'eau...

Je le regarda content d'avoir ses deux intendants dans la ville pour une paix durable entre nos deux races draconiques. J'avais piquer leurs curiosités. C'est ce que je voulais. Je pencha "mon" trône vers l'arrière quand la porte fit un bruit de fermeture. La dragonne rosée revenu avec une autre dragon au teint bleu pale, mais en armure. Elle avait un déhanchement remarquer et sensuelle. elle avait des tresses de guerre alentours de ses petite corde recourbé vers l'arrière.

- Bon a ce que je vois, mon toutou fait de la paperasse encore! Tu devrais te révolté qu'il te laisse tout le temps la paperasse!

Dit la dragonne en armure en fixant avec un sourire la dragonne rosée. La dragonne rosée ricana du commentaire que sa comparse venait de dire.

-Que nous vaut l'honneur de votre visites et donc de cet interruption, mesdames ? dis-je, pendant que Jorth essayait désepérément et en vain d'effacer l'encre autour de ses yeux.

- Surtout que j'allais signer la première feuille.

- Et sachez, mesdames, que si ce chers Jyvro est, à ce que je vois, tout le temps affairé à la paperasse, cela veut dire, pour nous, qu'il sait négocier et que l'on envoit donc pas n'importe qui, sous peine d'avoir des fois plusieurs centaines de morts dans un pays.

Jyvro se retourna vers la première feuille et signa. Il lit vite fait la deuxième, ne pretant ainsi plus vraiment attention aux autres dragons, pendant que moi je restait face à elle.

- Parfait, cette deuxième page, dit-il en la signant.

Il essaya encore une fois d'effacer l'encre mais je soupira et lui dit :

- Cherche pas, ça partira pas comme ça, il a dit.

Puis, je me retourna encore vers les deux dragonnes, et leur dit :

- Alors, pouvez-vous nous dire, si cela vous convient, de répondre à ma question qui est : Que nous vaux l'honneur de votre visite ?

- Ha, Jyvro... Il y a juste une chse qui ne va pas vrament avec la troisième page. Il est écrit "Si une guerre éclate, il faudra rejoindre dans la bataille le pays allié." et disons que nous aimerions pas perdre des dragons innocents pour un conflit qui peut ne pas nous concerner au départ. Et nous n'aimerions pas demander aussi à la tribu des cheetas de nous rejoindre pour rajouter des forces, surtout avec Chasseur dans leurs rangs. Pouvez-vous donc mettre "peut rejoindre la bataille" car, suivant aussi les avis de notre chef, nous pourrions vous rejoindre, mais nous pourrions essayer de vous persuader qu'un conflit peut être la faute d'un de vos rois ou reines, sans offencer, et dans ce cas nous n'aprouverions pas du tout votre point de vue. Cela ne serait favorable aussi pour ne pas déclencher de guerres civiles ou d'attaques dans votre dos, connaissant notre chef, il pourrait en être capable. Donc, s'il vous plaît, il n'y a pour l'instant juste cela qu'il faudrait changer...

Je tourna la tête vers Jyvro et dit :

- J'avous que j'approuve fortement avec lui.

Je partit a rire mais tellement fort que je basculai sur le dos dans mon fou rire et continua a rire a la réplique que Igniis avait dit a Associa. Les deux dragons avait l'air insulté que la dragonne bleu pâle est "interrompu" la signature de la première page. La reine rosée partie en éclat en me voyant tomber sur le dos. les deux dragons ainsi que tous les autres bipieds avait des ailes... sauf moi. Associa, la dragonne bleu pâle avança vers le trio et posa sa Hallebarde avec une main comme si c'était un cure dent. Elle fixa le dragon rouge avec fureur.

- Premièrement, Bienvenue dans notre cité, Deuxièmement j'ai totalement le droit de voir ma douce moitié, troisièmement tous les autre rois sont capable de faire ce travail, il ne sont que trop occupé pour le moment et quatrièmement je suis venu changé une des feuilles, car le Connard a inséré une feuille d'accord de guerre dans la pile de paix.

Je me releva d'un coup en entendant le nom "connard". Le sale fourbe avait inclue une feuille qui semblait être la troisième du paquet. Je prit la feuille que Jorth était en désaccord et la déchira. Aucune des feuille de paix ne devait parler d'un assemblement d'armée comme celui-ci.

-Si vous voyez d'autre feuille comme celle-ci qui parle d'aide à la guerre ou de formation d'armer, mettez les a part. Elle ne sont pas supposé d'être là. Ce petit salaud je vais lui faire ça fête... Pour ce qui est du destructeur, nous pourrons aller le voir après la signature des documents. A et Igniis... si j'étais toi, je m’excuserai envers Associa... et j'éviterai de m'attiré sa colère.

Associa me regarda bizarrement quand je parla du destructeur en "il". Je lui fit signe que tout était correcte. Elle ne fit rien d'autre a pars fixé Igniis pour attendre des excuses de sa part. La dragonne rosé continua a les regardez au loin sans dire un mots. Elle contempla le quadrupède rouge avec gentillesse et tendresse.

Jorth vit la feuille se faire prendre par Jyvro juste devant lui et la vit se faire déchiqueter.

- Bon ben... Ok.

Jyvro me dit soudainement, après avoir proposé de voir ce Destructeur, que je devrais faire des excuses à cette dragonne pâle puisque j'avais l'air de l'avoir rendue furieuse.

- Très bien, très bien, dis-je.

Je m'approcha légèrement et fit une révérence tout en disant d'un ton noble :

- Et bien, excusez-moi, chers reine Associa, d'avoir attisé la flamme de votre colère si je l'ai fait. Sachez que mes intentions ne l'étaient pas du tout et sachez que nous ne vous remercions du bon accueil que vous nous avez fait.

- Igniis, me dit soudainement Jorth.

- Quoi ?

Il me tendit une feuille et me dit :

- Brûles-moi ce ramassie de conneries, s'il te plaît, pour que je ne lise plus ce papier parlant de la guerre que ce qu'ils appellent "Le Connard" a mis dans le tas de paperasse.

- Très bien, dis-je en le prenant.

Je souffla un peu de mon feu sur ce papier, ce qui le calcina et effeça toute trace de son existance.

- Merci, me dit-il.

- De rien. En fin bref, chers reine Associa, encore désolé si j'ai attisé les flammes de votre colère.

Après les excuse du dragon rouge au prêt de Associa, celle-ci partie dans un élan de rire incontrôlable et ce roula a terre. La hallebarde avait un œil sur la partie centrale de la lame qui fixa Igniis. Cette oeil bougeait regarda en suite Jorth puis essaya de regarder sa propriétaire qui se roulait par terre dans une cacophonie métallique. Elle se remit de ses rires et se releva en regardant les deux Warfangiens.

- Désolé... mais je ne suis point reine et Jyvro n'est que roi en remplacement. Nous sommes avant tout des guerriers. Nous combattons tous ce qui ce place sur notre chemin... Et nous les écrasons!

elle prit sa hallebarde d'un coup, et trancha une parti de la solide table comme si c'était du beurre. Elle remonta sa hallebarde avec une main et l’a côte sur son l'épaule... Elle me regarda avec un air désolé. Je la regarde en haussant un sourcil avec un soupir.

- Pardonne moi chérie... je me suis laisser emporter.

- Tant que tu ne blesse personne ce n'est pas grave. Au moins, tu a trancher la partie ou s'assis le Connard en bleu. On ne le répara pas tant qu'il ne s'excusera pas pour ça fourberie.

Je me retourna vers les deux quadrupèdes pour voir si il avait bientôt fini. Je pensa que Abyssa s'aurait rapproché, mais elle se contenta d'observer Igniis comme si quelque chose l'attirait. Sa fin trentaine n'était presque pas visible, sa stature bien droite et sensuel s'approcha de Igniis en lui faisant un sourire. Elle s'assis simplement a coté d'eux pour voir si tout allait bien. Quelque minutes suffit pour lire les quarante pas et les signées. Je me leva en rangent les documents dans le tiroirs et le ferma a clé. Je donna une copie du document final a Jorth.

- Bon nous pouvons maintenant aller voir le destructeur en personne. J'imagine que la curiosité n'est pas partie de vos esprits?

Lorsque cette révélation fut faite, je me senti vraiment ridicule. Encore plus quand elle commença à rire aux éclats.

- Désolé, dis-je, mais, étant donné que nous avons vu Jyvro parmi les roi nous ont fait croire qu'il était l'un des leur et donc, puisque vous êtes son autre moitié, vous étiez reine.

Elle se mit à fissurer le trône du "Connard" avec une telle facilité que ça en était presque effrayant.

- Igniis.

- Quoi ?

- Feuille.

- Je crois que j'ai une meilleur idée que de la brûler.

- Ha bon ? Vas-y, dit toujours.

- Tu va voir, on va faire enrager celui qui voulait une guerre.

- En faisant quoi ?

- Passes-moi la plume et la feuille, s'il te plaît. Je vais écrire quelque chose dessus qui va le faire enrager.

- Dis-le moi tout de suite, ce sera plus rapide.

- Ok. Alors écris "Faites l'amour, pas la guerre. Ou faites les deux, mariez-vous."

- Ho, j'aime ça.

- Cela va lui faire les pieds. Il veut la guerre ? Alors pourquoi nous ne lui réponderions-nous pas à notre manière ?

- Tout à fait d'accord avec toi.

Il se mit à écrire la phrase puis me passa la feuille que je mis dans la fissure du trône.

- Et... Voilà ! Parfait !

Par la suite, il n'y eu plus aucune feuille consistant la guerre et tout fut signé. La dragonne rose s'assieya alors à côté de nous pour tout regarder et Jyvro pris les documents pour les ranger. Il donna ensuite à Jorth une copie de la dernière feuille. Puis il nous demanda si nous voulions voir le Destructeur.

- Et bien, écoutez, dit mon chef. Si c'est si gentillement demandé, pourquoi pas.

Je tourna la tête vers la dragonne rose qui m'adressait un sourire et avait une posture assez droite et sensuelle. Cela me rendit nerveux alors je me retourna vers Jyvro pour lui dire :

- Puisque vous avez éveillé notre curiosité, autant la combler, non ?

La dragonne rosée ricana a l'insulte que les deux quadrupèdes avait confectionner pour le "Connard". Je me suis mit a voir Igniis un peu nerveux et je tourna mon regard vers Abyssa qui avait l'air d'avoir un petit faible pour le quadrupède écarlate. Je souris en voyant ce petit moment embarrassant et je marcha vers la porte de sortie.

- Et bien si vous voulez voir celui qui a tuer votre destructeur, suivez moi. Nous devrons passer plusieurs rues avant d'arriver au lieu de résidence du destructeur.

Associa me suivi de près pour rester collé a moi tendis-que Abyssa la dragonne rosée se releva pour suivre nous suivre a son tour, mais frôla le rebord de Igniis avec sa queue. Avec grâce, elle marcha vers la sortie tout en parlant.

- Suivez nous, sinon vous risquerez de vous perdres dans notre grande cité... Je ne voudrai pas perdre un charmant intendant...

Je passai la porte de sortie du château suivie de tous les autres et me dirigea vers la gauche. Nous passâmes dans le quartier des marchants. Il était très grand avec beaucoup de choix et une foule abondante. Les marchant était majoritairement des Kobolds avare d'argents et de tuyau. Même si il ne faisait que 1m20 de hauteur, Ils étaient des marchants hors paire. Personne ne les maltraitait, car un simple Kobold pouvait avoir asser d'argent pour engager une trentaine de dragon pour en tuer un. Je continuai en saluant quelque connaissance sans m'arrêter.

- Ici c'est notre marcher. Il est difficile de concurencer avec les Kobolds... Ils sont très avare, mais sympathique. Tant que nous les respectons bien sur.

Nous passâmes deux autres rues. Une maison bien grande avec une porte à d'une taille d'un dragon de 4 mètres nous faisait face. Je m'arrêtai face a la maison.

Après que Jyvro nous ai demandé de le suivre, Jorth dit alors :

- Très bien, nous vous suivons.

Associa marcha près de Jyvro et cette dragonne rose... Elle se leva et frola de sa queue mes écailles et mon flanc, ce qui me fit soudainement frissonner et me rendit encore plus nerveux. Son sourire, son regard, et ce frollement, il y avait de quoi rendre nerveux n'importe qui. Avec une grâce certaine, elle marcha jusqu'à la sortie et dit :

- Suivez nous, sinon vous risqueriez de vous perdres dans notre grande cité... Je ne voudrais pas perdre un charmant intendant...

Je vous l'ai dit... Cette dragonne pourrais rendre nerveux n'importe qui !

- Hé hé ! commença Jorth. Je vois que quelqu'un t'aime bien.

- Hein... Maisquimaisquoimaisnonmais... réussi-je à dire, toujours aussi nerveux.

- C'est bon, n'en dis pas plus, dit-il en essayant de se retenir de rire. Aller, souvons-les !

Nous nous levâmes et nous les suivirent. Une fois sorties, nous passâmes par la gauche et arrivâmes dans le quartier marchand où la population abondante faisait croire à un troupeau de mouton s'ils étaient tous blancs. Les marchands, vu leurs tenues, étaient sûrement pleins aux as. Puis, Jyvro nous dit :

- Ici c'est notre marché. Il est difficile de concurencer avec les Kobolds... Ils sont très avare, mais sympathique. Tant que nous les respectons bien sur.

- Très bien, répondit Jorth.

- Nous ferons attentions lorsque nous verrons que nous nous ferons arnaquer, complétais-je.

Ensuite, après deux autres rues, nous nous arrêtâmes face à une grande maison avec une porte de plus de quatre mètres. Ce qui me fit donc conclure que c'était la résidence du Destructeur.

- Ne me dites rien, dis-je. Ici, c'est la porte du Destructeur. C'est juste un peu trop abusé.

Puis, je vis que Jorth avait eu la même pensée que moi et compléta :

- C'est vrai. Si ce fameux Destructeur serait passé autant de fois à Warfang et qu'il serait aussi grand, comment ne l'aurions-nous pas remarqué ?

- Car, c'est vrai qu'un dragon de quatre mètre ou une autre créature se fait remarquer et on aurait entendu crier...

- Voilà... Juste pour vous dire que cette mise en scène est assez inutile.

La grande porte de quatre mètres impressionna nos deux intendants. Pourtant, cette porte ne servait presque a rien. Elle était beaucoup trop grosse et grande pour moi, mais de temps en temps se promener en destructeur dans la ville est très amusant. Jorth et Igniis commentaient que c'était impossible de manquer un dragon ou une créature de cette taille. Je m'exclama avec un grand rire. Les regardant avec un sourire amusé. Je m'approchai de la porte et déverrouillai géante blindé. Je l'ouvrit sans difficulté comme si elle pesait quelques plûmes. La séduisante dragonne rosé attendu au coté de Igniis. Elle lui fit une petite caresse de sa douce mains sur son épaule.

- Vous devez avoir combattu beaucoup dans votre vie pour avoir autant de cicatrice... ne soyez pas aussi nerveux. Vous êtes très mignon quand vous rougissez.

Dit-elle avec un petit rire doux et séduisant. J'ouvris une des deux porte pour que toute la compagnie entre dans l'antre qui était bien chaleureuse et confortable. Le simple fait de sentir la chaleur qui s'échappait de la demeure donnait le goût de dormir sur le plancher. Je me retourna vers mes inviter avec associa à mes côtés. Je leurs sourit a pleine dents.

- Bienvenue cher moi! Igniis, Jorth... Je suis le destructeur. Je voulais simplement jouer avec vôtres curiosités. Pour ce qui est des portes, elles ne sont simplement que trop exagéré.

Je les regarda avec mes yeux qui changeait pour faire qu'une fente noir. Mon corps prit une grosse expansion pour atteindre quatre mètres. Mes écailles grossissait en même temps et commença a faire une sorte de plaque rocheuse. À la fin de ma transformation, je ressemblais a deux goûte d'eau au destructeur a un détaille prêt que je n'était pas composer de maison et que ma taille était de quatre mètre. La masse musculaire des mon corps était visible et énorme. Ma largeur atteignais deux mètres et vingts centimètres. Avec une voix plus grave, je m'expliqua au deux intendant.

- Je suis capable de me transformer à tout moment. Ceci est un concept simple et complexe a la fois. Je ne peux pas vous dire comment je fait... Je le fait simplement. Bien avant le cercle de feu, il y avait plus de 345 Destructeurs, tous des guerriers et guerrières aguerris.

Abyssa la rosé se tourna vers Igniis avec un sourire pour voir la réaction de celui-ci. Bien entendu qu'elle le savait. j'avais travailler pour elle en temps que garde du corps.

Jyvro s'exlama s'un grand rire , ouvrit la porte comme si elle avait le poid d'une plume et la dragonne rose vint à côté de moi. Elle me fit une douce caresse à l'épaule avant de me dire d'un ton séduisant accompagné d'un doux rire :

- Vous devez avoir combattu beaucoup dans votre vie pour avoir autant de cicatrice...

Je me tourna vers elle et je me retourna soudainement en croisant son doux regard seducteur, complètement nerveux. Je me sentit alors tout chaud, comme si le feu s'était réveillé sur mes écailles.

- Ne soyez pas aussi nerveux. Vous êtes très mignon quand vous rougissez.

J'était en sueur et je réussis difficilement à dire, en begueyant :

- C'est c'est c'est normal que que que je suis rouge...

Je déglutit avant de continuer :

- Je je je suis un dr... Un dr... Un dragon de feu...

Jorth, à côté, était plié de rire. Je lui donna un coup de patte dans le ventre pour le faire se calmer mais il n'en était que plus hilare. Puis, Jyvro ouvrit la deuxième porte de la maison, laissant se dégager ainsi une chaleureuse chaleure de celle-ci, se tourna vers nous, et nous dit :

- Bienvenue cher moi! Igniis, Jorth... Je suis le destructeur. Je voulais simplement jouer avec vôtres curiosités. Pour ce qui est des portes, elles ne sont simplement que trop exagéré.

Nous le regardâme avec de grands yeux, Jorth et moi, hébaïts par la surprise de cette révélation. Puis, Jyvro se transforma un réplique miniature du Destructeur de monde que Spyro avait eu à affronter. Miniature comment ? J'aurais dit qu'il faisait plus de deux mètres, il était donc un tout petit peu plus petit que nous. Puis, il nous dit d'une voix plus grave que celle qu'il avait avant :

- Je suis capable de me transformer à tout moment. Ceci est un concept simple et complexe a la fois. Je ne peux pas vous dire comment je fait... Je le fait simplement. Bien avant le cercle de feu, il y avait plus de 345 Destructeurs, tous des guerriers et guerrières aguerris.

La dragone rose à côté de moi souria et me regarda, visiblement amusé de ma tête face à la surprise. Comment elle était ? Disons que nous avions, Jorth et moi, la même expression à ce moment-là.... La gueule grande ouverte, des yeux fixant Jyvro et des courts sons qui symbolisaient notre surprise se dégageaient de nous.

- Ooooooook... dit finalement Jorth, visiblement encore surpris.

- Je vois pourquoi vous nous avez dit que nous ne nous sommes même pas rendus compte qu'un Destructeur était plusieurs fois allé à Warfang... dis-je avec le même étonnement que mon chef.

Jorth se racla la gorge à côté de moi. Il avait visiblement repris son sérieux, ce qui me fit fermer ma gueule et l'écouter.

- Et bien, Mr. le Destructeur, vous nous avez bien surpris en cachant votre identité.

- Bien joué, dis-je.

- Tout à fait. En tout cas, nous sommes heureux de pouvoir discuter avec un Destructeur sans danger et, le meilleur pour la fin, d'avoir pû établir un traité de paix avec lui.

Je me tourna vers la dragonne rose et son regard suffisait à me rendre nerveux. Je savais pas comment elle faisait. Je fis un petit rire nerveux et déglutis. Puis, je lui dit :

- Excusez-moi mais... Mais... Mais mais mais... Mais...

Je n'arrivais pas à trouver mes mots... C'était horrible. Cette dragonne, quoique bipède, était terriblement séduisante et sensuelle et cela me rendait nerveux à chaque fois.

- Je... Je... Vous êtes très belle en faite.

Je tourna la tête ailleur, devant moi par exemple, je ferma les yeux et je souffla un bon coup pour me calmer. Si je pouvais rougir, je l'aurais fait, je vous le jure !

Leurs visages d'étonnement abasourdis me vola un grand rire pendant que je me transformais en dragon. J'avais un sourire simple, mais plein de rire. J'avais tellement surpris les deux dragon, que la reine Abyssa trouva leurs têtes très marrante a voir. Igniis s'exclama en comprenant pourquoi j'avais eu autant de facilité a entré dans Warfang. Jorth reprit un peu plus de sérieux.

- Je suis grandement heureux moi aussi de faire un traiter de paix a long terme. S'il vous plait... arrêter de me vouvoyez... appelez moi simplement par mon prénom.

Je détourna mon regard sur le dragon rouge. Igniis avait l'air très nerveux et il complimenta la reine Abyssa. Elle lui décrocha un beau sourire. Elle se colla a son cou et lui caressa l'arrière de la mâchoire. Du haut de ses 2m85, elle lui chuchota quelques mots.

- Merci... Vous vous êtes un mâle fort et puissant. Vous avez une stature qui donne un sentiment de fierté... J'ai oublier de me présenter... j'en suis désolé. Je me nomme Abyssa.

Elle se détacha un peu pour ne pas rendre le mâle plus nerveux qu'il était déjà. Elle fit une petite révérence en se nommant. Elle ne se recolla pas a l'instant. Elle resta néanmoins près de Igniis. Je décrochai un petit rire en regardant les deux tourtereaux. J'invita mes invités a entré dans ma demeure. Je tourna a gauche du couloir et entra dans un salon confortable et spacieux. Je m'assis avec Associa sur un divan et invita les autres a prendre celui qui était en face de moi. Quand Igniis et Abyssa fut assis un a coté de l'autre, je ne pu me retenir de posé cette question. J'esquissa un grand sourire coupable.

- Ça fait combien d'années que vous vous connaissez?

- Je suis grandement heureux moi aussi de faire un traiter de paix a long terme. S'il vous plait... arrêter de me vouvoyez... appelez moi simplement par mon prénom.

- Très bien, Jyvro, répondit Jorth.

J'était, pendant ce temps, toujours aussi nerveux, même si j'avais soufflé un bon coup pour essayer de destresser. Je rouvris les yeux et je vis la dragonne rose me sourire. Puis, elle se colla à mon cou et me caressa l'arrière de la machoire. On aurait dit qu'elle voulait me rendre de plus en plus nerveux... Mon coeur battait la chamane et j'était en sueur, ce qui était assez paradoxal pour un dragon de feu comme moi de suer comme cela à ce moment là... Puis, el me chuchotta :

- Merci... Vous vous êtes un mâle fort et puissant. Vous avez une stature qui donne un sentiment de fierté... J'ai oublier de me présenter... j'en suis désolé. Je me nomme Abyssa.

Ele se détacha un peu de moi et me fit une révérence quand elle me dit son nom. Un peu plus et j'allais tomber dans les pommes. Jyvro nous invita à entrer et nous le suivîmes. Abyssa resta quand même très près de moi et j'entendais vraiment Jorth, à côté de moi, se retenir de rire. Une fois entrés, nous passions par la gauche et nous entrâmes dans un spacieux salon. Jyvro s'installa dans un divan avec Associa et il nous invita à s'installer dans celui devant lui. Abyssa s'asseya alors juste à côté de moi et Jyvro esquissa un grand sourire et me dit :

- Ça fait combien d'années que vous vous connaissez?

Je le regarda et je soupira. Jorth allait presque rire aux éclats quand je lui mit ma avant gauche sur la gueule pour la lui fermer. Je tourna mon regard vers Abyssa et je fus nerveux. J'était nerveux à chaque fois que je la regardais, je ne savais pas pourquoi. Je me retourna vite vers Jyvro et lui dit toujours en bégueyant :

- Et... Et et et et vous... Ça fait com... Combien d'années que vous vous connaissez?

J'étais nerveux et la remarque de Jyvro ne m'avait rendu que plus nerveux. J'avous que j'aimait bien Abyssa, même si elle me noyait de louanges alors que je venait de la rencontrer et que je ne la connaissais pas vraiment...

A mon commentaire, Abyssa prit une teinte plus rouge sur son visage, en mettant ses mains entre ses genou. Jorth allait rire, mais Igniis lui cloua la gueule avec un coup de patte bien placer. Pour sa par, Igniis lui se défendit en me posant la même question. Même si il bégayait beaucoup, sa phrase était bien clair. Je les regarda avec un grand sourire puis je répondit a la question.

- Et bien, en fait ça va faire 12 ans que nous sommes ensembles et 18 ans que nous nous sommes rencontrer.

Je reprit un peu de sérieux et regarda les deux intendants. Mon regard ne contenait aucune haine ni malice, mais il était grave. Sans pour autant les intimidé, je mit mes mains l'une dans l'autre en entre croisant mes doigts et fixa les deux Warfangiens, mais surtout Igniis.

- Le destructeur qui a fait le cercle de feu est mort de ma main... Il ne aura plus de destructeur consentant pour être avec le maître noir, mais il se peu qui contrôle un de nous deux par la haine et les pouvoir sombre... Nous n'avons pas été toucher par rien encore, mais nous voudrions garder l’anonymat. Nous aimons ce monde, même si il est imparfait... Nous ne voulons pas le détruire. Je veux simplement que nos nom ne et nos tête ne sois pas afficher en tant que monstre de foire. Je veux vivre ma vie et fondé une famille comme tout les autres dragons. Je veux garder tous ceux que j'aime en sécurité... vous comprenez?

J'attendais la réponse des deux intendants. Abyssa regarda du coin de l’œil la réaction et la réponse d'Igniis. Elle avait arrêter C'est petit jeu de séduction, car la demande était très sérieuse et importante. Elle se leva sans attendre la réponse et alla dans la cuisine chercher des tasses de thé chaud. Abyssa revint avec le thé vert et des tasses pour tout la compagnie. Par favoritisme, elle servie Igniis en premier tout en bougeant sa queue délicatement.

Je fus content d'éviter un peu plus le sujet d'Abyssa quand il me répondit.Puis, il pris un air grave, et nous dit :

- Le destructeur qui a fait le cercle de feu est mort de ma main... Il ne aura plus de destructeur consentant pour être avec le maître noir, mais il se peu qui contrôle un de nous deux par la haine et les pouvoir sombre... Nous n'avons pas été toucher par rien encore, mais nous voudrions garder l’anonymat. Nous aimons ce monde, même si il est imparfait... Nous ne voulons pas le détruire. Je veux simplement que nos nom ne et nos tête ne sois pas afficher en tant que monstre de foire. Je veux vivre ma vie et fondé une famille comme tout les autres dragons. Je veux garder tous ceux que j'aimes en sécurité... vous comprenez?

Nous reprîmes notre sérieux avec cette demande. Bien sûr, que je comprenais... Moi-même j'avais mon secret passé de déserteur. Et le dévoiler signifirait sûrement ma mort. Abyssa se leva soudainement et elle nous rapporta du thé vert. Elle me servit en premier en bougeant sa queue délicatement, puis elle servit Jorth, puis Associa, puis Jyvro, et, enfin, elle même.

- Merci, dis-je en hochant, une fois, délicatement la tête.

Puis je regarda Jorth dans les yeux. Il semblait avoir la même réponse que moi et hocha la tête positivement. Nous nous retournâmes vers Jyvro et je lui dit :

- Nous comprenons parfaitement... Et nous honnorerons votre demande. Vous savez, il y a parfois certaines personnes dont leur secret ne devrait jamais être dévoilé... Soit parce que le monde ne serait pas encore prêt pour cela... Soit car cela ferait énormément souffrir le porteur du secret.

- Nous dirons donc dans notre rapport que le Destructeur habite cette île, comme on nous l'avait signalé avent de venir ici, mais que nous ne savons pas qui il est. Nous dirons juste que ce Destructeur est pacifique, juste, loyal et ne veut en aucun cas la guerre. Qu'en dites vous ?

Je bus une gorgée du thé vert qui, soit dit en passant, était très bon, tout en pensant à quelque chose. Quand je le pourrais, je parlerais à Abyssa. J'avous que je l'aimais bien, pour l'instant... Et essayer de la connaître un peu mieux  était, pour moi, une bonne idée...

Quand Abyssa fini sa tourné de thé, elle s'assit et prit une petite gorgé du sien avec délicatesse. Elle reposa sa tasse et fit un bref sourire à Igniis. Pour ma part, j'étais ravie que les deux dragon était d'accord pour cacher mon identité a la population générale et a leur chef. Je reprit un air moins sérieux et esquissa un sourire satisfait, mais il restait des armes de destructeur qui avait été piller. Je me devais de les informer de ça par contre.

- Je suis content que vous m'aidiez a garder mon identité. Quand le temps sera venu, je la dévoilerai, mais tant que Malefor est vivant, je ne peu rien faire. J'ai une autre information importante a vous transmettre. Les destructeur telle que moi avons en notre possession des armes bien spéciale... Elles sont très résistante et dangereuse pour des dragon inexpérimenté... et elle sont "vivante". Si un dragon maléfique avec une bonne maîtrise des armes, advenait de tomber sur l'une d'elle, il aurait une force sans égale.Elles ont un œil comme celle-ci et en générale peuvent parler. Il faut absolument me les rapportés.

Je déposa Claymore devant les deux intendants sur la petite table. L'épée étais une claymore au style gothique orné d'un œil qui bougea pour fixer un après l'autre les deux quadrupèdes. Sa couleur était une couleur grisâtre, le métaux était une pierre volcanique très rare. L’œil s'arrêta sur Igniis en le fixant étrangement. Je reprit une gorger de mon thé. Je n'étais pas très délicat, mais je m'organisais pour épargné des tasse casser. Abyssa eu un petit éclair dans ses yeux. Elle venait de penser a quelque chose. Elle me fusilla du regard jusqu'à ce que je porte mon attention vers elle.

- Jyvro? As-tu encore l'amulette de Dryfégore?

- oui je l'ai encore, elle est dans l’armoire de famille pourquoi?

- Pourrai-je l'avoir? Tu ne l'utilise jamais...

Je haussa un sourcil avant de comprendre pourquoi elle voulait l'amulette. Je souris et fit un signe de tête bien démarquer qui montrait mon accord. Elle eu un grand sourire aux lèvres. Elle se leva avec candeur et partie chercher l'amulette en question. Cela prit quelques minutes pour Abyssa de trouver la dite amulette de Dryfégore. Elle la porta au tour du cou. cette amulette avait un motif de quadrupède qui suivait un bipied et ainsi de suite au tour d'une pierre d'améthyste. La pierre précieuse était travailler en forme de dodécagone.

Je vis qu'Abyssa m'adressa un sourire après avoir pris une gorgée de son thé vert. Je le lui rendit. Puis, Jyvro nous dit :

- Je suis content que vous m'aidiez a garder mon identité. Quand le temps sera venu, je la dévoilerai, mais tant que Malefor est vivant, je ne peux rien faire. J'ai une autre information importante a vous transmettre. Les destructeur telle que moi avons en notre possession des armes bien spéciale... Elles sont très résistante et dangereuse pour des dragon inexpérimenté... et elle sont "vivante". Si un dragon maléfique avec une bonne maîtrise des armes, advenait de tomber sur l'une d'elle, il aurait une force sans égale.Elles ont un œil comme celle-ci et en générale peuvent parler. Il faut absolument me les rapportés.

Il posa sa magnifique claymore sur la table. Cette épée était vivante, ce qui me surpris. Et cette épée, de son oeil, me fixa étrangement après nous avoir observé, Jorth et moi. Je pris une gorgée, posa ma tasse et me leva alors pour dire :

- Et bien sachez que, tant que Malefor ou tout autres maléfiques personnes seront vivantes et moi aussi, je serait là pour essayer d'empêcher ses sombres desseins de s'accomplir. Après tout, j'ai tué le Nécromancien de Malefor et ses créatures ressucitées, comme Gaul !

Jorth bu sa gorgée et dit :

- 345 Destructeurs veut dire 345 armes comme celle-ci. Cela fait beaucoup... J'espère que personne de maléfique n'en a une...

Je le coupa :

- Et laissez-moi deviner... Ce "Connard" a en sa possession une épée comme cela... Je pense que oui, ce serait trop facile, sinon...

Je dis ma dernière phrase avec une pointe d'ironie. Mon chef repris :

- C'est vrai que nous ne l'espérons pas. C'est vrai que, si sa dangerosité est comme vous l'avez dites, cela pourrait déclencher l'Apocalypse...

- Le Ragnarock, Jorth...

- L'apocalypse, Igniis...

- Ragnarock...

- Apocalypse... Enfin bref, la fin du monde !

Avec Jorth, nous aimions nous "disputer" à propos du mot utilisé pour décrire la fin du monde. Nous avions dit tout cela pendant que Jyvro prenait une gorgée de son thé. Abyssa le regardait fixement et semblait attendre son attention. Ce qu'il lui donna... Puis, elle lui dit :

- Jyvro ? As-tu encore l'amulette de Dryfégore ?

- Oui je l'ai encore, elle est dans l’armoire de famille, pourquoi ?

- Pourrai-je l'avoir ? Tu ne l'utilise jamais...

Il haussa les sourcils puis il lui sourit et lui fit un signe de tête pour dire son accord. Abyssa souria et se leva. Elle alla chercher cette fameuse amulette de Dryfégore... Mais qu'était-ce donc que cela... Elle revint quelques minutes après et semblait la porter autour du cou. Cela l'enjolivait un peu plus et semblait lui donner une sorte de style qui convient très bien à une reine. Il y avait, comme motif autour d'une pierre d'Améhtyste taillé en dodécagone, un dragon bipède qui suivait un dragon quadrupède qui suivait un dragon bipède et ainsi de suite. Puis, je posa la question :

- Question, bien sûr, si vous voulez bien y répondre... Quelle est cette fameuse amulette et à quoi sert-elle ? Car, qui dit amulette, dit magie, et donc une utilité certaine.

Je tournais l'oeil vers la Claymore qui me fixait bizzarement et je dis ensuite :

- Et... Autre question. Pourquoi ton épée me fixe-t-elle comme cela depuis tout à l'heure, Jyvro ? J'avous qu'elle me met mal à l'aise, je ne sais pas pourquoi...

Igniis d'un ton solennel que tant qu'il y aura des méchants personnage, il ferai tous pour leur barré la route et ajouta qu'il avait tuer le nécromancien de Malefor, ainsi que Gaul. Jorth estima un chiffre de 345 armes comme la mienne... Heureusement qu'il n'y avait pas autant d'arme. Il y avait un maximum de 45 armes encore en liberté. Igniis coupa son camarade pour faire une légère hypothèse que le "Connard" avait une de ses armes... Heureusement que non, sinon je lui aurait déjà coupé sa tête pour un affront de la sorte. Puis il s'obstina sur le nom de la fin du monde pendant que je buvais une gorger de thé.

- Tant mieux, je suis heureux d'avoir de bon allié. En fait il ne reste que 45 armes de destructeur en dehors des Iles. Il n'y a pu aucune arme sur les îles a part les miennes. Pour ce qui est du connard, il n'as pas une arme... Je la détecterai si il y en aurait une a proximité.

Quand Abyssa revenu avec l'amulette, Igniis posa une question tout a fait normal a ce posé. A quoi servait cette amulette. C'était a Abyssa de vouloir lui dire ou non. Je la regarda d'un air interrogatif et elle déclina avec un sourire. Je retourna mon attention vers Igniis et déclina de la tête.

- Désolé, mais je ne peux rien dire. C'est une surprise qu'elle garde.

Abyssa se tourna vers Igniis et fit un petit sourire coupable et se retourna vers l'arme. Igniis trouva un peu dérangeant de se faire observer par ne arme vivant, alors celle-ci changea de cible et regarda le plafond avec un air un peu lasse. Il commençait a se faire tard et je ne pouvais pas renvoyer ses deux dragon la nuit a travers les îles. Je me leva en m’étirant et regarda les deux intendant.

- Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser partir pendant la nuit. les îles sont très dangereuse la nuit et il est facile de si perdre. Je vous offre mon hospitalité. Vous allez dormir dans les chambres du haut. Suivez moi.

Je montai au deuxième étages avec mes invités et leur assigna des chambres. La première sur la gauche serra celle d'Igniis et celle sur la droite serra celle de Jorth. Les chambres étaient vaste et bien aménager autant pour les bipieds que les quadrupèdes. Les lit étaient assé large pour deux dragons quadrupèdes dit être coucher sans être serré pour autant.

J'étais soulagé de savoir que ce dragon bleu clair ne possédait aucune arme aussi dangereuse que celle de Jyvro. Puis, Abyssa et Jyvro ne voulaient pas me dire l'utilité de cette amulette, car c'était une "surprise" que la reine rose voulait garder. Elle m'adressa un sourire dont je ne pouvais pas m'empêcher de lui rendre. Puis, quand je posa ma question, l'arme arrêta soudainement de me fixer. Cela était assez étrange, pour moi, qui n'était nullement habitué à une arme vivante comme celle-ci. Jyvro se leva et s'étira avant de nous dire :

- Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser partir pendant la nuit. les îles sont très dangereuse la nuit et il est facile de si perdre. Je vous offre mon hospitalité. Vous allez dormir dans les chambres du haut. Suivez moi.

- C'est avec un honneur que nous acceptons votre hospitalité, Jyvro, dit Jorth avec un ton solennel, en m'enlevant en même temps les mots de la bouche car j'allais dire les même.

Nous le suivîmes jusqu'au second étage et il nous assigna nos chambre. Celle de gauche était la mienne pour cette nuit, et celle à droite était celle de mon chef pour cette nuit. Ces chambres étaient spacieuses et bien aménagées et les lits étaient assez grand. Cela changeais du petit lit que j'avais chez moi... Je me retourna vers mon hôte et lui dit avant de rentrer :

- Et bien, je supose que nous nous voyons demains. Et ton hospitalité nous honnore. Je vous dis donc bonne nuit.

- Je vous dit les même compliments. Bonne nuit. Et ce fut encore un honneur de signer un traiter de paix durable avec vous, Jyvro...

Sur ce, nous rejoinîmes chacun notre chambre. Mais deux question trotaient dans ma tête... Celles que j'avais posées tout à l'heure n'avait pas vraiment obtenu de réponse... Quel type de surprise serait-ce ? Et pourquoi cette épée me regardait aussi bizzarement ? Je m'étendais sur le lit... La journée avait été assez bien remplie...