à Six pattes, nous marcherons (PV Jyvro) [Terminer]

Jorth me remercia pour mon hospitalité a la place d'Igniis. Les deux dragons me salua chacun a leur tour. Igniis me remercia surtout pour mon hospitalité et me dit bonne nuit. Selon moi, il ne dormira pas beaucoup héhé... Bon et puis Jorth nous dit bonne nuit et apprécia que nous aillons fait un pacte de paix durable. Moi et Abyssa retournâmes vers notre chambre qui était plus loin dans le passage.

Cela faisait à peut-près 5 minutes que tous les dragons étaient entré dans les chambres. Une grande dragonne quadrupède avec une teinte rosé ouvra la porte de la chambre a Igniis tranquillement. Elle le referma derrière elle et s'approcha avec délicatesse. Elle s'assoit devant le lit et chantonne le nom d'Igniis doucement pour ne pas réveiller les autres. Elle resta au chevet attendant qu'il se réveille. Sa chevelure rosé descendait le long de son cou. L'amulette pendait autour de son cou, plaquer contre sa poitrine légèrement plus pâle que le reste de son corps. Ses grande ailes d'un blanc brillant sous la nuit était ramener contre son grand corps svelte. Ses yeux d'un bleu vert magnifique fixa le dragon rouge avec tendresse.

- Igniis... Igniis... Réveille toi fière dragon. Je veux que tu me vois de tes yeux...

Elle caressa l'épaule de Igniis pour qu'il se réveille tranquillement. Elle ne voulait pas le brusquer pour le réveiller de mauvaise humeur.

Je commença à m'endormir profondément, quand j'entendis mon nom se faire chantonner par une douce voix. Je croyais que c'était un rêve, tout d'abbord, quand je sentis une caresse sur mon épaule et j'entendis :

- Igniis... Igniis... Réveille toi, fièr dragon. Je veux que tu me vois de tes yeux...

J'ouvrit doucement les yeux. Ma vision était floue, au début, et elle s'éclaircissait petit à petit pour me faire voir correctement une dragonne rose quadrupède. Ses magnifiques ailes blances étaient replié contre elle et, ce qui me fit la reconnaître, elle portait l'amulette de Dryfégore autour de son cou.

- A... Abyssa ? Est-ce donc bien vous ?

Je me leva et disais tout bas :

- Voilà donc à quoi servait l'amulette... Voilà donc son pouvoir.

Je le fit face et la regarda dans ses magnifiques yeux bleus verts. Elle s'était transformé en quadrupède et était venu me voir dans cette forme. Cela me donna un indice de ce qu'elle voulait. Je lui dit avec une voix qui trahissait mes émotions pour elle :

- Vous... Vous êtes magnifiques, chère reine Abyssa... Et ce que vous avez fait... Je...

Je soupira avant de dire :

- Vous vous êtes transformées en quadrupède pour venir me voir dans cette forme juste après. Je vois quelle était votre surprise. Et je dois vous dire que vous êtes vraiment magnifique dans cette forme... Je suppose que vous êtes venue me voir pour une raison... Mais j'aimerais vous demander quelque chose, tout d'abbord... Vous m'avez noyés de louanges, cette journée... Et je dois vous dire que tout cela, avec votre sourire, me rendait nerveux... Et on aurait dit que vous avez essayé de me charmé... Et bien, cela a marché et donc... J'aimerais vous demander... Que diriez-vous si nous faisions plus emple connaissance ?

Si je pouvais rougir, je vous jure que je l'aurais fait... Et j'aurais été encore plus rouge que l'étaient mes écailles.

Le dragon rouge ouvra ses yeux devant la dragon rosé qui était a son chevet. Il ne prit que quelque seconde pour voir claire et reconnaître la dragonne rose qui était simplement Abyssa sous forme quadrupède. Elle sourit tendrement a Igniis quand il prononça son nom. Elle était démasquer. Ce n'était pas comme si elle voulait garder son identité de toute façon. Elle hocha la tête avec le même sourire. Elle regarda Igniis se lever et il dit tous bas pour ne pas réveiller les autres qu'il avait compris a quoi servait l'amulette.

- C'est exacte cher Igniis. Cette amulette permet au porteur de devenir quadrupède ou bipied à tout moment. C'est un artefact fabuleux.

Le dragon écarlate regardait Abyssa dans les yeux. Elle contempla les yeux du mâle avec une quiétude digne de la sagesse la plus ancienne. Il parla d'une voix émotionnel et honnête. Elle afficha un sourire gaie qui pourrait arrêter des guerres.

- Je suis tout a fait flatter de votre compliment mon cher Igniis, mais appeler moi simplement par mon nom. Le titre de reine n'est que de la politique.

Igniis soupira un bon coup avant de s'exprimé. Il complimenta la reine une seconde fois, puis supposa qu'elle était venu le voir pour une raison précise, ce qui était le cas. Il dit ensuit comment il était nerveux face au louange qu'elle lui avait donner pendant la journée. Tout les dragons avait bien remarquer sa nervosité face a la reine. Pour finir, il demanda a la reine si elle voulait bien faire plus ample connaissance avec lui. C'est justement ce que Abyssa était venu quérir. Une discussion avec le guerrier rouge qui avait attiré son regard simplement par sa stature et son humour. Abyssa prit une des patte de Igniis par le dessous de celle-ci et le regarda.

- Je suis justement venu vous connaitre plus... Je sais qu'il se fait tard, mais nous pourrions parler sur le balcon de la chambre sans déranger les autres. qu'en dites-vous? Nous avons surement des point en commun l'un l'autre.

Abyssa tira Igniis pour qu'il l'accompagne vers le balcon. Ils approcha de la porte vitré et elle laissa au mâle d'ouvrir la porte.

Elle me pris ma patte et me dit en me regardant :

- Je suis justement venu vous connaitre plus... Je sais qu'il se fait tard, mais nous pourrions parler sur le balcon de la chambre sans déranger les autres. qu'en dites-vous ? Nous avons surement des point en commun l'un l'autre.

- Et bien, je le pense au...

Je n'eu pas le temps de finir ma phrase, qu'elle me tira jusqu'au balcon en attendant que je lui ouvre la baies vitrée. Ce que je fit. Je la laissa d'abbord passer, puis je la suivit. Il faisait une certaine fraicheur, dehors, et le silence était complet. On pouvait voir les lumières du château d'ici et les rues pricipales de la citée étaient éclairée par des lampadaire.

- Magnifique vue...dis-je.

Je ne savait pas quoi dire... Puis, j'inspira un bon coup, me tourna vers Abyssa pour la regarder dans ses magnifiques yeux et lui dit :

- Et bien... Qu'est-ce que je pourrais dire... Disons que je ne peux m'empêcher d'aller au secour de ceux qui ont besoin d'aide et, comme je l'ai dit tout à l'heure, j'essaye de faire mon possible pour contrecarer les desseins des personnes maléfiques... Même si cela m'apporte parfois de gros ennuis... C'est grâce à ça que j'ai adopté Notad, ce petit dragon jaune, qui était enfermé chez le Nécromancien de Malefor, et dont la famille était maintenant inexistante pour lui... Ses parents ayant été tué par ce salaud sadique devant les yeux de ce gosse ! Je lui ai redonné un peu d'espoir et une famille... Je suis comme ça... Mais bon, j'aurais été le pire des monstres de le laisser tout seul, à trois ans, crever de faim, de froid ou de n'importe quoi dans l'ancienne antre de Cynder et ne pas lui donner une chance de vivre... Surtout que j'ai été celui qui lui montra le plus de gentillesse dans cette antre... J'avais du sang sur les pattes, ce qui me tiraillait déjà de longues tristesses... Si j'aurais le sien, en l'abandonnant, je pense que je ne l'aurais pas supporté...

Je soupira un bon coup avant de continuer :

- Mon... Je dois garder mon passé secret, car il peut mettre ma vie en danger... Mais, malheureusement, même si j'essaye d'oublier ce passé tragique, il me rattrape toujours... Causant toujours évènement tragiques sur évènement tragiques sur mes anciens amis... Je crois que j'en ai trop dit sur mon passé... Celui-ci peut me condamner si il était découvert... Je suis désolé... C'est aussi de là d'où viennent toutes ces cicatrices... Chaune étant souvent chargé d'un souvenir triste, que je me rappelle à chaque fois que je les observes attentivement...

Dans mon ton, il y avait de la tristesse. Et je pense que mes yeux faisaient aussi ressortir ce sentiment. Je m'efforça de garder le sourire, que j'avais visiblement perdu, pour questionner Abyssa sur un ton honnête :

- Et vous ? Peut-être que nous avons des points en communs, mais j'aimerais savoir un peu de ton histoire...

Elle passa quand Igniis lui ouvrit la porte en gentleman. Celui-ci exprima que la vue était magnifique avant de regarder Abyssa dans les yeux pour entamé la discussion. Il expliqua qu'il avait quérit un jeune dragonnet sous son aile pendant une expédition contre le nécromancien de Malefor. Ce guerrier aguerrit était incapable de laisser une pauvre âme abandonner cher ses monstres sans cœur ni âme. Elle se colla un peu sur Igniis pour le rassurer.

- Tu as très bien fait Igniis. Le sang que tu a versé était malsain et corrompu par la haine et la rage. Tu ne dois pas te sentir triste a enlever des mauvaises âme sans cœur...

Quand Igniis évoqua son passer qu'il ne pouvait pas prononcé pour sa sécurité et la sécurité de ses amis, elle était intrigué, mais en même temps Abyssa ne voulait pas mettre en danger Igniis, Notad ou un de ses amis... Chacun avait un passer et elle se devait de comprendre qu'il ne veule pas en parler. Son passer a elle par contre n'était pas a cacher. Elle attendit en écoutant attentivement qu'il est fini sont récit et il lui demanda quel était son histoire à elle. Elle se décolla un peu et dressa sa tête haute d'instinct.

- Le titre de roi et reine ne sont en fait que des noms. Nous sommes élis par le peuple jusqu'à ce qu'il soit mécontent de notre présence. J'occupe se rôle depuis dix ans. Avant cela j'étais une enfant choyer par son père, un forgeron habile... Nous vivions, ou devrais-je dire survivions du maigre salaire que la forge nous rapportait. Quand je suis devenu mature a un age bien jeune, je m’entraîna en cachette avec Dréafyr le roi que Jyvro remplace. Il m'apprenait a manier la rapière. Cette arme était légère et rapide. Mon père eu connaissance de mes entrainement et était contre l'idée de me voir sur une terrain de combat. Il ne pu m'empècher de faire ce que je voulait, j'étais mature d'esprit... Du moins ce que je croyais. Malheureusement, un jour funeste que tous le monde se rappelle, j'ai lever les arme contre une troupe de démon. Mes guerriers et moi avons combattu contre la troupe. La victoire amère d'avoir perdu tous les dragon qui était sous ma bannière ma démoralisé, mais ce qui ma plus blesser, c'est qu'une autre troup avait enfoncer les porte de ma ville natale. Je mis avait précipité, le sang encore sur mon armure. Quand j'arriva , il avait détruit la forge... et... empaler mon pauvre père sur une pique...

Des larmes coulait sur ses joues de dragonnes qui était perturbé par la trace translucide du passage des larme. Néanmoins, elle continua son récit.

- Prit d'une rage qui n'égalait que la mort elle même, j'avais sauté dans le groupe sans prêter attention au risque que je courrais. ma première victime mourut ma rapière dans son oeil a travers la tête. J'avais pris son arme, une hache d'arme en fer noir et en quelques minutes, j'avais décapité les 14 opposants qui avait osé toucher à ma famille... Il ne me restais plus rien, je n'avais plus de foyer, plus de famille. C'est à ce moment que Dréafyr m’hébergea cher lui. Il m'aida a m'instruire sur la politique et le commerce entre cité. Une autre catastrophe survint lors de ma première année de mandat. Le roi démon était venu pour détruire la ville. Nous n'avions rien de préparé pour combattre ce monstre qui faisait la taille de votre destructeur... Puis vint des alliées que nous avions toujours rejeter pour leur nature étrange... Les destructeurs ont donné tous leur vie pour sauvé la ville... Jyvro a vaincu le roi démon grâce au pouvoir de ses défunts pères...342 destructeurs sont mort cette journée sombre. Maintenant que l'oncle de Jyvro est mort de sa patte, il ne reste que deux destructeurs vivants dans ce monde. Après 10 années de lassitude et de politique, je vous rencontre vous. Un fière dragon au passer intriguant, mais compréhensible dans sa cachette et au cœur immense. Après l'incident de mon père, j'avais changer de nom réorienté avec l'aide du roi et je n'ai plus jamais toucher a une arme.

Elle baissa un peu sa tête après son récit fort en émotion. Elle essuya ses larme des ses joues écailleuses. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas raconté sa vie a un autre dragon...

Quand elle me décrit le mort de son père, sa voix était tremblante de tristesse et des larmes coulèrent sur ses joues. Je me colla à elle, comme elle l'avait fait pour essayer de me rassurer quand je lui dit que je n'aurais pas supporté d'avoir le sang de Notad en plus sur mes pattes, pour la rassurer elle aussi. Elle continua son récit pour baisser la tête quand elle fini de tout raconter et essuya ses larmes. Son récit était très triste.

- Je suis désolé pour vous... Votre passé est triste...

Je la regarda dans les yeux et je lui redis, pour essayer de la consoler :

- Magnifique vue.

Je soupira, baissa un peu la tête et je continua :

- Vous m'avez entièrement dit votre triste passé... Ce serait ingrat que vous ne sachez pas mon passé. Je ne pense pas pouvoir dire qu'il est aussi triste que le votre, mais il me laisse encore des séquelles aujourd'hui. Je... Je m'appelais Kasaï, autrefois... Ma mère était morte dés ma naissance, et mon père fut mort à la guerre... C'est horrible de savoir que quelqu'un de sa famille est morte, et surtout quand on sait que l'on ne peut le venger... Il ne restait donc que ma grand-mère comme famille, n'ayant aucune nouvelle de mon cousin Glaackiem... Lorsque j'avais 16 ans, je fus envoyé de force sur les champs de bataille connaître, peut-être, le même sort funèste que mon défunt père. Je monta très rapidement en grade jusqu'à devenir Capitaine de Guerre du vingt-deuxième régiment, là où étaient réunis mon amour de jeunesse, et mon meilleur ami. J'était devenu une des cibles à abbatre sur le terrain, et celui à protéger au péril de sa vie par les alliés... Un jour, lors d'une bataille contre les forces de Gaul, je perdit Lyra, mon amour de jeunesse, empallé par trois singes devant mes yeux. Je fus emplie d'une colère noire et je tua sauvagement ces meurtriers... J'était presque devenu l'une de ces personnes barbares... Le lendemain, Gaul était venu sur le champs de bataille. Durant un combat singulier entre lui et moi, je fut celui qui le rendit borgne et lui donna ses multiples cicatrices sur le visage au prix de cette cicatrice sur le torse...

J'émit un rire ironique et triste et montra ma grande cicatrice.

- Puis, vint le jour qui changea ma destiné... Les forces ennemies était en force et nombres supérieurs que mon régiment qui était épuisé... Je demanda à mes supérieurs de leur laissé ne serait-ce qu'un jour de repos... Ne serait-ce que pour retarder l'inévitable... Mais ils refusèrent... Ces salauds refusèrent et me laissèrent envoyer à la mort de jeunes dragons innocents... C'est pour cela que je dis avoir du sang sur les pattes... Je ne devait faire preuve d'aucun sentiment lorsque je devais faire cela... Mais, avant la bataille, mon ami, Gandeyr, me dit que mes supérieurs, pour leur avoir demandé cela, allaient "s'occuper personnellement de moi pour donner exemple"... Je compris qu'ils voulaient me tuer. Lors de la bataille, je fis un terrible choix, mais celui-ci me permétta de vivre... Je devais choisir entre mourir au combat, gagner la bataille et mourir juste après pour "donner l'exemple" ou... Déserter et abandonner le reste de ma famille et mes seuls amis... C'est ce qe je fis. Mais, malheureuse, je fus capturé par des pirates dragons... Je tua leur capitaine en combat singulier et je devint alors leur capitaine... Kasaï, capitaine pirate... Mais, les forces de Warfang me retrouvèrent et envoyèrent mon cousin pour me tuer. Mon bateau fut touché par un boulet dans les tonneaux de poudre et une explosion fit couler le navire. Mon équipage était décimé, et je décida de ne pas couler avec le navire et m'envola ailleur. Lorsque j'attérit sur terre, je vis que mon cousin me suivait et je m'attendais à un combat, mais heureusement pour moi, il n'y en avait pas eu. Il me laissa tranquille et me dit qu'il me ferait passer pour mort avant de m'étreindre, comme l'aurait fait un frère. Ce con m'a fait verser ma larme et je lui en doit bien une... Je ne saurais jamais comment le remercier... Après dix ans d'errance et de recherche de la rédemption, je revint à Warfang. Je n'amais pas ses dirigeants, tous des pourris avares sans coeurs, mais c'était ma ville natale... Et je ne pouvait pas la laisser comme telle... Je décida donc de changer mon nom en Igniis... Et je m'engagea chez les gardes, puisque je n'était bon qu'à cela et qu'il fallait bien vivre... Enfin, survivre. Grâce à ma force, comme à la guerre, je monta rapidement en grade et je suis vite devenu le bras droit de Jorth, le capitaine des gardes, et l'un des seul qui n'ai pas un coeur aussi pourri que les forces maléfiques...

Je sentis des larmes couler sur mes joues. Puis je dis :

- Voici mon passé... Désolé de vous apprendre que votre fière dragon au grand coeur n'est autre qu'un lâche déserteur ayant du sang innocent sur les pattes et un ancien capitaine pirate... Je ne sais même plus si je dois me ranger au côté de ces monstres qu'ont été Malefor ou ce Nécromancien de Malefor... Ou me ranger parmis de grands guerriers comme Gaul, qui était un grand guerrier qui méritait des louanges, et Jorth, qui ne sait pas mon passé lui aussi...

J'efforça un sourire pour ce que j'allais dire :

- C'est quand même ironique, quand on y pense, que ce que nous avons en commun, pour le moment, c'est un triste passé, ne trouvez-vous pas.

J'essuya tant bien que mal mes larmes. Ce passé me rend toujours triste, quand je le raconte... Je soupira, la regarda dans ses magnifiques yeux et lui dit avec un sourire :

- Allons... Nous devrions rentrer, au chaud, à l'intérieur... Il commence à faire froid, et il va faire encore plus froid vu l'heure qu'il est...

Abyssa était ému du récit du dragon rouge nommé réellement Kasaï. Il avait tellement souffert... Il avait été condamné pour avoir simplement contredit des ordre et a dû fuir sa patrie. Il avait été enrôlé de force et il a combattu toute sa vie pour se faire jeter de la sorte. C'était horrible. Il revint a Warfang des années plus tard et alla faire ce qu'il faisait de mieux... se battre pour la garde de Warfang. Même son grand ami Jorth ne connaissait pas sa véritable identité. Mais Abyssa n'accepta pas que Igniis... enfin Kasaï se baisse lui même. Elle le colla et placa une patte sur son museau pour le regarder dans les yeux.

- Tu a fais le meilleur choix qui était pour faire perduré ta ligné. Tu n'est pas un lâche. tu a aider un jeune dragon a survivre quand tu en as pas les moyens. Chaque personne a un passé et celui-ci aide a forgé ce que l'on es aujourd'hui. Tu n'es pas un monstre! J'ai versé beaucoup de sang aussi. J'ai décimé des familles de dragons, de démons et ça ne fait pas de moi un monstre. Tu a fait tous ce que tu pouvais... Oui c'est ironique que nous aillons un passé triste, mais nous sommes aussi des guerriers et de fier combattant. Alors arrête de te rabaisser Kasaï, si tu me permet de t'appeler ainsi.

Elle aida Kasaï alias Igniis à sécher ses larmes et il demanda de rentré au chaud. elle rigola car le dragon avait un peu froid. Ils rentrèrent dans la chambre spacieuse et réconfortante. Elle se colla un peu à lui pour sentir la chaleur du mâle et le réconforté. Elle s'assit en suit sur le lit avant qu'il ne fasse quoi que ce soit.

- Kasaï... tu n'es pas un monstre comme Malefor. Tu as fais des choix difficile et tu dois penser au futur et a ce que ses événements t'on permis d'accomplir. Les imprévue dans une vie sont fait pour être surmontés.

Elle lui sourit tendrement comme si son passé était déjà pardonné et tata de sa patte une place a coté d'elle sur le lit pour l’incité a venir la rejoindre. Elle ne parla pas fort pour pas que quelqu'un entend le nom de Kasaï. Elle ne voulait pas le mettre en danger.

- Là seul chose que je suis sur, c'est que tu es un fière dragon qui regret son passé, mais celui-ci t'as permis de devenir ce que tu es. Une âme pure et remplit de bonté.

Abyssa me réconforta après que je lui ai parlé de mon passé. Elle ria d'un rire doux quand je lui dit que j'avais un peu froid, mais nous rentrâmes quand même. Elle se colla à moi quand nous rentrâme. Elle alla juste après s'assoir sur le lit et me dit à voix basse :

- Kasaï... tu n'es pas un monstre comme Malefor. Tu as fais des choix difficile et tu dois penser au futur et a ce que ses événements t'on permis d'accomplir. Les imprévue dans une vie sont fait pour être surmontés.

- Tu as raison...

Elle me sourit tendrement et m'incita de la rejoindre à côté d'elle sur le lit, puis me dit :

- Là seul chose que je suis sur, c'est que tu es un fière dragon qui regret son passé, mais celui-ci t'as permis de devenir ce que tu es. Une âme pure et remplit de bonté.

J'alla m'assoir juste à côté d'elle, me collant à elle comme elle l'avait fait, la regarda, lui fit un tendre sourire et lui dit :

- Et moi, ce dont je suis sûr, c'est tu es une fière et juste reine remplie aussi de bonté et de beauté... Tu sais trouver le côté pur des âmes et tu les aides à essayer de leur pardonner leur sombre côté de leur concience... Je... Je n'arrives pas à trouver mes mots. Désolé...

Je croyais rougir, puis, pour essayer d'oublier cette tristesse, je changea de sujet :

- Mais bon... Parlons de quelque chose de plus gai, de plus joyeux... Comment réagira ce "Connard" quand il verra notre petit message, à ton avi ?

J'émit un léger rire.

- Je pense que sa réaction n'aura pas de prix et il va nous détester. D'autant plus que nous lui avions écrit cela sur sa missive sur la guerre. Haaaa... Il va fortement nous détester. Mais bon, je pense qu'il l'a mérité pour avoir glissé ces papier dans le traité de paix. Et, roi ou pas, il n'a pas à chercher autant d'ennuis à des personnes pouvant l'écraser.

Abyssa frotta son rebord de tête contre le cou u mâle rouge quand celui-ci la complimenta. Elle émit un petit ronronnement a son attention et le regarda.

- Ce n'est pas grave. Nous avons toute la nuit et le matin devant nous...

Elle trouva le rire de du dragon léger. Sans malice ou vengeance. C'étais une qualité rare cher les dragon. Surtout ceux qui on un passer comme le sien.

- Mmmh... Si je me souviens bien, la dernière fois qu'il était prit sur le fait d'avoir tenter un coup dans le genre, il avait prit toute une racler moral et légèrement physique de Jyvro. Il avait tenté de cacher ses méfaits, mais Jyvro est remplie de surprise pour ce qui est de trouvé les coupable. Cette fois, je crois que Jyvro va lui arracher la tête et il ne pourra que chialer sur vos nom. Si il tente quelque chose contre vous, il sait qu'il entrera en guerre avec toute les autres cités. Ça tête sera fabuleusement frustré et marrante a voir ça je peux le garantir.

Abyssa se coucha sur le dos. Le lit était absolument confortable et spacieux. Elle regarda le dragon rouge avec un regard sensuelle et amoureux. Elle flatta son épaule avec sa patte gauche. Une cicatrice sur le dessous de la mâchoire de Abyssa se fit paraître. Elle était large mais peu visible. Surement une vieille cicatrice de son temps guerrière. Son cœur battait fortement dans tous son corps. Elle n'avait jamais ressentis cette sensation sans être en plein combat. Sa queue battai l'air de façon enjoué et régulière.

Elle ne dit rien. Elle voulait simplement rester dans un monde à part avec ce dragon. Un endroit seulement a eux. Une caverne, un château, une maison, elle se foutait de l'endroit. Elle voulait simplement qu'il répond affirmatif a son langage corporelle.

Elle dit me dit que le "Connard" avait déjà tenté ce genre de magouille avant et qu'il a pris une bonne raclé. Elle dit ensuite que sa tête serait très marrante.

- Je suis tout à fait d'accord avec t...

Je ne fini pas ma phrase carelle se coucha sur le dos, sur le lit. Puis, elle me regarda avec un regard amoureuxet sensuel et sembla flatter mon épaule de sa patte gauche. En dessous de sa machoire, une large cicatrice peu visible apparu devant mes yeux. C'était le genre de cicatrice qui enjolivait la personne et lui rajoutait un aspect de personnalité... Enfin, sa queue battait l'air de façon enjoué et régulière. En quelques mots, elle m'attendais. Je lui adressa un sourire et je lui dit :

- Je ne sais pas quelle magie vous avez utilisé mais vous m'avez complètement charmé.

Je me mit au dessus d'elle et je continua :

- Je le redis encore une fois, mais magnifique vue. Et je suis sûr que l'âme est aussi belle que tu l'es... Et cette vue, ainsi que cette âme, qui sont tout emplie d'une sublime magie extrêmement puissante... Je les aimes en une seule personne... Toi !

Là, sans attendre sa réponse, je ferma les yeux et lui donna un baiser amoureux et sensuel, sensuel et amoureux, dans l'ordre que vous voulez, mais mon baiser était surtout emplie d'un amour brulant. Ce baiser, ce qui est paradoxal, fit brûler en moi un énorme feu de joie et m'incinérait de l'intérieur. Et, ce feu là, j'essayais de le lui retranscrire. Nous étions tout les deux, seuls, dans notre monde... Le temps semblait s'être arrêté dans ce magnifique moment... Et je pouvais lui réserver d'autres surprises que ce doux et furieux baiser...

Abyssa reçu le baiser chaleureux du dragon rouge Kasaï. Il avait répondu a son attente qui fut bref. A ce que l'on dit "Ne jamais faire attendre une femelle". Kasaï alias Igniis l'avait compris. Ils s’embrassèrent pendant un temps qu'il parut infini. Elle frotta ses écailles a celui du dragon écarlate avec qui elle partageai un baiser passionné...

Je me réveillai pendant la nuit. C'était absolument bizarre que je me réveille à une heure aussi tardive. Je me faufilai a l'extérieur du lit sans que Associa n'en soit consciente. Je marcha a pas silencieux pour me retrouver dans la salle de bain. Je bu de l'eau froid pour remplir un peu mon ventre pour qu,il arrête de se plaindre. Je repassai près de chaque chambre pour m'assurer de leur sécurité. Quand je passai près de celle atribué a Igniis, j'entendis quelques respirations... mais de deux dragons! Je souris a grande dents. J'en étais sur! Je repartis aussi silencieusement vers ma chambre. Il ne fallait pas interrompre la recherche de l'inconnu de l'autre. J'arrivai avec un grand sourire comique étampé sur mon visage et je me recouchai dans mon lit avec une tel discrétion que Associa ne bougea pas.

Le lendemain matin,
Abyssa se réveilla les bras de Igniis au tour d'elle et décida de ne pas bougé. Le réconfort que la chaleur du mâle lui donnait était inimaginable. Abyssa sentait l'odeur d'Igniis sur elle et Igniis sentait l'odeur d'abyssa. Elle resta enlacer à son compagnon rouge. Elle était avec une attitude béa et ne se soucia plus du monde extérieur. Elle aurait voulu que cette nuit ne s'arrête jamais.

J'étais déjà lever, dans la cuisine à faire un bon déjeuner pour la maisonnée. Le gras fondant du bacon me faisait déjà salivé... J'ai un faible pour les viandes griller je l'avoue. Des oeufs d'autruche grillait dans une autre plaque d'acier graisser au beurre. Le trait de lave qui coulait constamment grâce a un ingénieux système faisait cuire lentement les viande et substitue pour laisser l'odeur s'échapper tranquillement et chatouiller l'odorat de ses invités.

La nuit fut toride et merveilleuse... Abyssa et moi étions littéralement fusionné pour ne faire qu'un et faire battre notre coeur à plein temps. Nous avions envie que ce moment ne se finisse jamais. Nous nous étions assoupis dans les bras de l'autre dans une éternelle étreinte amoureuse qui nous apportait de la chaleur mutuellement. Nous étions déjà dans un rêve réel qui surpassait parfois l'imaginaire, pour finir tout cela dans un rêve imaginaire...

Je me réveilla car les premiers rayons du soleil attaquaient ma tête à travers la fenêtre et je vis Abyssa encore endormie. Nous étions dans la même position que lorsque nous nous étions endormis et nous nous apportion mutuellement notre chaleur corporelle comme la nuit dernière. Les rayons du soleil derrière son dos l'illuminait comme si j'étais au paradis. Elle se réveilla doucement et, magnifiquement, elle ouvra les yeux. Même si j'avais un très mauvais sens d'orientation, ce n'est pas celui-ci qui m'aida à me perdre dans son regard. Je lui sourit et lui dit doucement :

- Bonjour, reine de la beauté...

Nous restions enlacés amoureusement pendant un long moment... Chacun de nous deux sentait l'odeur de l'autre sur lui... Nous étions encore dans notre monde. Puis, un bruit me sortit momentanément de mon monde. Un bruit grésillant, montrant que l'on faisait cuir quelque chose. Puis, une odeur vint chatouiller mes naseaux. Une odeur d'oeuf et de bacon grillé. J'embrassa alors amoureusement Abyssa et lui dit après :

- Nous devrions peut-être aller déjeuner... Je pense que nous en aurions besoin après la nuit que nous venons de passer ensemble. Même si, je l'avous, j'aimerais que ce moment actuel ne finisse jamais...

C'était une merveilleuse nuit, et ce matin faisait commencer joyeusement la journée. Mais, il y avait un problème... Je l'aimais vraiment, mais nous habitions chacun dans une ville, même un Royaume différent. Elle était reine, et moi j'était juste le bras droit du capitaine des gardes. Elle habite un chateau luxurieux et elle n'a qu'à secouer une cloche pour que son déjeuné soit servit, alors que moi j'habite une petite maison et je suis obligé de préparer ma nourriture, voir même de chasser quand ma situation me l'oblige. Et puis, je dois aussi m'occuper de mon fils adoptif... Il ne sait pas encore voler... Il y avait tant de problèmes qu'il fallait régler, si je voulait rejoindre Abyssa dans un éternel amour...

Abyssa vit les yeux de Kasaï s'ouvrir et ses pupilles se rétrécir à cause du soleil derrière elle. Il garda son étreint contre elle et se perdit dans son regard comme si il faisait face a un ange. Il la complimenta en même temps de la salué de bon matin.

- Bon matin a toi mon fier guerrier.

Abyssa de bon matin n'entendait pas les bruit de cuisson, mais elle sentais la viande et les œufs cuire sur les plaques de métal. Son compagnon rouge à qui elle était collé l'embrassa avec amour. Elle répondit à son geste affectueux d'un ronronnement. Il lui parla d'aller déjeuné et Abyssa reserra l'étreinte en se collant plus sur lui.

- Quelques minutes en plus... Ils attendront quelques minutes.

Elle se décolla après quelques minutes et se leva du lit en s'étirant. Elle se transforma en Bipied pour se rhabillé. Elle était nu pendant un instant et pouf, l'autre instant elle était en robe. Elle était contente d'avoir rencontré ce dragon et de partager son amour, mais elle ne voulait pas le perdre... Ils habitaient si loin l'un de l'autre. Elle pourrait abandonné son poste pour le rejoindre... mais qui tiendrai sa ville? Elle avait une mine déçue que tout ça s'arrête aujourd'hui... Les deux dragons sortir de la chambre et tomba nez à nez avec Jorth. Abyssa fut tellement surprise qu'elle rougie comme une tomate.

Moi j'étais encore en train de faire la nourriture quand une Associa sauvage me sauta sur le dos. Je tomba face contre terre avec celle que j'aimais qui m'embrasse sur la joue et me dit bon matin... Je me releva en frottant mon museau maintenant douloureux et la réprimanda avec un sourire qui trahie ma comédie de colère. Je ne l'étais aucunement. J’appréciai ce genre d'attaque sournoise pour jouer. J'entendis quelqu'un qui frappa a la vitre. c'était une sentinelle. Il me reporta que le "Connard" avait posté des troupe pour attendre les deux intendants. Je devrai faire quelque chose a propos de ca, mais pour l'instant rien dire et déjeuné sera la meilleur chose a faire.

Nous restâmes encore quelques minutes dans notre monde, enlacés amoureusement et enivré par la chaleure et l'odeur de l'autre. Puis, elle se leva et s'étira. Elle se retransforma en sa forme originelle et elle était complètement nue. Elle avait de magnifiques formes... Elle s'habilla d'une robe à la vitesse de l'éclair. Je me leva et nous sortimes de la chambre. Nous sommes alors tombés nez à nez avec Jorth, qui paraissait m'attendre. Il nous regarda tour à tour d'un regard surpris... D'abord Abyssa qui rougissait, et moi, qui ne le pouvait pas car j'était déjà rouge de base.

- Je... Vous... Vous avez... dit-il en continuant de nous regarder d'un air surpris.

Je hocha la tête positivement. Il avait compris.

- Ho ! fit-il brefement et soudainement sur un ton surpris. Je vois... Enfin bref, Igniis, je t'attendais car nous allons déjeuner. Nous retournerons ensuite au chateau pour remercier de l'hospitalité et souhaiter des bonnes journées et tout le tralala...

- Je vois.

- Mais tout d'abbord, allons déjeuner. Vous voulez bien ?

- D'accord. Mais... Je peux te parler de quelque chose, avant, s'il te plaît...

- Très bien, mais dépêches-toi.

- Est-ce que tu pourra avertir Jyvro que nous venons dans pas longtemps, s'il te plaît Abyssa... J'aimerais lui parler avant qu'on y aille...

- D'accord.

Elle descendit. Puis, je me tourna vers Jorth et lui dit :

- J'aimerais demander ton aide... J'aime vraiment Abyssa, et, comme tu l'as compris... Elle et moi avions, cette nuit...

- Oui, je vois.

- Nous nous aimons vraiment... Mais il y a un problème... J'aimerais vivre avec elle... Mais elle est une reine et moi je n'ai pas les moyens de lui faire des cadeaux digne d'elle et de son rang...

- Tu veux une augmentation ?

- Non. Ensuite, je dois m'occuper de mon fils adoptif, il ne sait pas encore voler... Et, pour habiter avec elle, je ne vois qu'une seule solution.

Il soupira, puis il me dit :

- Je pense savoir... Mais dis-la moi quand même.

- Je voudrais habiter dans ce Royaume... Et pour cela, je devrais quitter mon poste de capitaine de gardes à Warfang...

- C'est bien ce que je pensais... Bon, écoute... Je n'ai pas envie de perdre un élément comme toi, tu t'es montré très utile... Et tu n'as servit que dix ans ici... Mais je sens que l'amour est grand entre toi et cett Abyssa.

Il émit un petit rire puis continua :

- Chanceux, vas ! Donc, je suis prêt à me séparer de toi.

- Mais tu oublis quelque chose... Je demanderais à Jyvro si des dragons quadrupèdes pourraient être acceptés d'un moyen comme un autre dans la garde du Royaume et dans le Royaume en lui-même. Après tout, j'aurais, je pense, les moyens de m'acheter une petite maison... Et je pourrais profiter de certains espaces pour apprendre à Notad à voler...

- Allons bon... Je ne peux pas décider si tu dois ou pas rester à Warfang... Tu es un dragon, pas un esclave... Surtout pour le métier dangereux que tu fais, tu peux à tout moment démissioner...

- Merci pour cela...

- Mais, tant qu'on est là... Je voulais te dire quelque chose, puisque tu vas peut-être partir...

- Qu'est-ce donc ?

- Je sais tout... Je connait l'entièreté de ton passé. J'ai lu tes mémoires, un jour où tu les avais laissé trainer sur ta table. Tu étais parti pour faire un contrat et tu avais tout laissé. Chez toi, il n'y avait personne... Notad et sa babysitter étant allés faire un tour dehors. Je voulais te voir pour te parler d'un boulot urgent pour le lendemain, je suis entré et j'ai donc vu tes mémoires sur la table. Juste le titre m'a évoqué et j'ai lu. Je connais ton passé... Et sache que je l'ai caché, au nom de notre amitié. Et je l'ai caché car je sais que t'es pas un mauvais gars... Tu ne mérite pas la mort pour cela... C'est même tes anciens supérieurs qui la méritaient, vu ce qu'ils voulaient faire et ce qu'ils t'ont obligés à faire. Et tu n'es pas un monstre, comme tu l'a écris, Igniis, ou devrais-je plutôt dire Kasaï. Non, tu vaux bien mieux que cela.

Je fus émus par ce qu'il me révéla... Les mots ne sortèrent pas, à part un simple mot, mais remplie de joie et d'émotion :

- Merci...

- Ce n'est rien... Allons, descendons et allons déjeuner, tu veux bien ?

- Ouai.

Nous descendîmes et nous vîmes tout le monde à table, nous attendant. Nous dîmes bonjour à tous le ponde avant d'aller nous assoir. Je m'asseya à côté d'Abyssa. Je vis Jyvro, qui avait quelque chose dans la tête. Puis, discrètement, avant de manger quelque chose, je lui demanda :

- Est-ce que les dragons quadrupèdes pourraient être acceptés dans la garde de ce Royaume et dans le Royaume en lui-même ?

Je fus un peu hésitant, en lui demandant cela... Serais-je prêt pour un autre changement de vie ?

Abyssa descendit les marches a la demande d'Igniis pour aller faire me faire patienté. Elle sentait l'odeur du mâle rouge. Elle m’expliqua qu'il parlait avec Jorth. C'était peu être la seul chance que j'aurai de plus parlé seul à seul. Je l’emmena dans la cuisine pour lui parler du connard qui attendais devant la ville. Elle dit qu'elle s'en occupera seul. Elle savait bien que la seul façon pour elle de gagné était un duel contre son plus fort guerrier. Elle m'expliqua qu'elle tenait a faire le voyage avec Igniis et être un émissaire de SkyBadland au sein de Warfang. Elle léguait ses pouvoirs à un de ses député si il demander conseil au près de moi avant d'agir. Je n'en revenais pas. Elle qui pensait à tout, elle trouva toutes les solutions pour être avec lui. Je lui fit une révérence en signe de respect et lui dit que je ferai tous mon possible pour gagné un maximum de temps pour lui laisser le temps d'être prête. Elle s'assit en face d'Associa qui ricana de son bord. Abyssa lui envoya un regard menacent ce qui fit taire quelque seconde Associa. Igniis descendit en compagnie de Jorth et il s'assis au coté de sa bien aimer, si je peux les appeler ainsi. Le rouge au multiple cicatrice me posa une question avant qu'il entâmes son déjeuner. Je réfléchis quelques secondes et lui répondit avec une voix décevante:

- Le dernier dragon avoir frôler les citées a été Malefor qui est venu parler a mon oncles... Depuis que le peuple sait ce qu'il a fait, il ne serait pas alaise ou il serait furieux de voir logé un dragon quadrupède dans leur citée... Je suis désolé si ils vous ont regarder comme des monstres de foires. Les bipieds sont très rancuniers. Il faudrait attendre que la paix et le commerce font de bonne relation de quelque années pour ça. Par contre, le contraire est nettement faisable. Vous me direz si je cuisine bien. Ça fait longtemps que je ne cuisine plus des plats. Je voyage beaucoup trop pour commencer a faire des plats.

J'avais fait cuire des pains pour qu'il soit légèrement croustillant et je me fit un sandwich avec les œufs, le fromage, le bacon et le pain. Je croqua dans ce mixte matinal comme si je n'avais pas mangé depuis deux semaines. Je dégagea un léger grognement de satisfaction en mangeant enfin un vrai repas de mes mains. Je courrai par tous dans la citée et je n'avais jamais le temps de me faire a manger. C'était une délivrance digne des plus grand combats de l'histoire. Le goût du fromage accordait avec l’œuf pour combattre le gout envahissant du bacon. Les saveurs se combattaient dans une lutte acharner, d'un coup ils fusent prises dans un embuscade ennemi et elles ont tous péris. Je venait d'avaler ma première boucher.

- Les rois et reines sont tous retournées a leurs villes respective, alors il ne restera simplement a faire quelque remerciement à quelques élus et nous pourrons arranger votre voyage pour Warfang. Il y aura un représentant de SkyBadland qui viendra avec vous, pour s'assuré de votre sécurité et de la paix durable avec votre chef.

Je fus un peu déçu lorsqu'il me dit que cela se passerait très mal et qu'on me verrait comme un monstre... Si j'étais avec Abyssa ici, je ne voulait pas lui faire subir certains surnoms donnés par un peuple comme "Le femme du monstre" ou "L'amant du Monstre"... Et le contraire... Abyssa est une reine... Elle a des richesses immenses, alors que je suis pauvre à côté d'elle... Si elle voyait ma petite maison... Puis il nous demanda de lui dire si ce qu'il avait préparé était bon. Je gouta alors, en même temps que Jorth ce qu'il nous avait préparé. Ce fut délicieux. Et ça remplissait la ventre après la nuit toride que j'eu avec Abyssa. Je vis Jyvro prendre une mine soulagé. Je finit d'avaler, puis je dis :

- C'est délicieux.

- C'est délicieux.

Nous avions dit cela en même temps. Puis, Jyvro nous dit que nous pourrions remercier quelques "élus" pour ensuite arranger le voyage de retour. D'un point, je fus attristé par cela... Je devais quitter Abyssa... Mais, d'un autre point, j'étais content, car j'allais retrouver mon chez moi, Notad, à qui j'aurais une nouvelle histoire à raconter, sauf pour un seul passage, bien sûr, et les autres gardes... C'était un sentiment assez partagé en deux. Et c'était plutôt le tristesse qui remportait le combat, à ce moment-là. Je repris une bouchée de ce qu'il avait préparé... Bizzarement, je trouvait cela moins délicieux, maintenant que le sentiment de tristesse commençais à m'envahir. Puis, il nous dit qu'il y aurait un représentant de Sky Badland qui viendrait avec nous pour le voyage de retour pour s'assurer de la paix avec le chef de Warfang. J'avala et je demanda :

- Quel sera ce représentant ?

Puis, je me prépara pour ce que j'allais dire :

- Je... Je vous ai posé tout à l'heure la question sur la vision sur les dragons quadrupèdes ici... Et je pense que vous vous demandiez aussi pourquoi je vous ai posé cela. Je voulais dire que...

Je pris une inspiration, je me tourna vers Abyssa, et continua :

- J'aurais été prêt à quitter Warfang pour venir ici, dans la garde. Voyez-vous... Nous avions fait plus ample connaissance avec Abyssa et... Nous nous aimons beaucoup, même si cela ne fait guère longtemps que nous nous sommes rencontrés... Et j'aurais été prêt à quitter ma ville natale pour rejoindre Abyssa... Pour au moins lui offrire un peu de ma présence, car je n'aurais pas assez de richesse pour quelqu'un comme elle... Après tout, je suis juste le bras droit du capitaine des gardes de Warfang avec une toute petite maison... Et elle est une reine avec un luxurieu château... C'était pour cela que je vous demandais cela... Et c'est aussi pour cela que je voulais parler seul à seul avec Jorth... Mais, après ce que vous avez dit, la vision qu'ils ont sur nous... Si je suis avec Abyssa, je ne veux pas que le peuple la surnome "l'Amant du Monstre" ou des conneries dans ce genre... Je suis désolé, Abyssa... J'aurais cherché des solutions...

Je dis cela avec un ton désolé et déçu.

- Malheureusement, je crains que cela n'aura pas duré lontemps...

Je soupira et je pris une troisième bouchée. Cette fois, il n'y avait aucun gout... La tristesse me subergeais complètement. Mais je n'avais pas les larmes aux yeux. Je me contentais de garder leur goût amère à l'intérieur de moi...

Les deux intendants me dire que le déjeuner était a leur gout tout a l'unisson. Je leur sourit avec satisfaction qu'ils aiment ce que j'avais préparé. Puis Igniis me demanda qui serai l'intendant. Je ne crois pas que dire son nom était nécessaire. Je devrait simplement dire quel était sa principale "qualité".

- L'intendant est un dragon qui a prouvé sa bravoure et sa maîtrise du combat pendant plusieurs années antérieurs.

Puis il commença un discours remplis de tristesse. Le dragon rouge exposa son incapacité à donner a Abyssa des cadeaux. Il déplora son grade dans Warfang. Il se comparait a la vie que Abyssa vivait dans un simple château qui n'était pas à elle. C'était la raison de sa question sur le droit des quadrupède a intégré notre société. Il fit les plus tristes excuses sincère que j'ai vu de ma vie. Ça me poignardait le cœur de le voir ainsi. Je me sentais vraiment salaud de cacher la vérité et de le faire tant souffrir... Abyssa le regarda les yeux humide, mais aucune larme. Elle était totalement toucher par son compagnon qu'elle ouvrit la bouche mais aucun mot ne sortie. Elle se colla subitement à lui et lui chuchota à l'oreille.

- Des solutions se cherche a deux. Tu n'as pu trouver, mais moi je crois que oui. Ne perd pas confiance. De plus, je me fou complètement de ce château, des bien matérielles ou quelconque richesse matérielle. La seule chose qui compte pour moi, c'est l’âme et l'esprit de la personne que j'aime...

Elle ne pouvait rien dire d'autre. Elle se replaça droit sur sa chaise et avala son dernier morceau de bacon. Elle se leva donna un baiser amoureux à Igniis puis lui dit:

- Ne perd pas espoir. Garde une place pour moi dans ton cœur. Je dois aller me préparer pour le travaille. Je vais trouver un moyen pour que nous soyons ensemble!

Elle partie en flèche vers la sortie et disparue dans la foule et les commerce en direction opposé du château. Elle était dans sa petite demeure... devant une vitrine qu'elle n'aurait jamais penser rouvrir. Elle l'ouvra avec vitesse et agrippa le gant de griffe métallique fait pour combattre. Des souvenir revint et une seconde après elle l'enfila dans sa main droite. les griffe de métal était fait pour combattre et bloquer des grosse attaque. Le reste que l'armure était comme les autre. C'était une armure moyen avec un bonne flexibilité. Elle avait enfiler son armure comme si cela était une habitude. Cinq minutes suffit pour qu'elle soit en armure. Elle n'était aucunement reconnaissable. Son armure lui couvrait le corps au complet. Elle marcha vers les portes, sa rapière sur ses hanche dans son fourreau et attend le groupe.

Je fini mon sandwich et me leva et alla vers Igniis. Je mit la main sur son épaule et sourit pour le réconforté:

- Elle a surement quelque chose en tête... Elle va trouver une solution pour que vous soyez ensemble. Tu la reverra assez tôt croit moi.

Après mon discour, Abyssa paru émue. Elle se colla à moi et me dis qu'elle avait peut-être une solution... Puis, elle me dit à tel point elle m'amait. Elle se remit droite sur sa chaise, fini son bacon puis, après un baiser amoureux, notre relation n'était pas vraiment un secret, elle me dit :

- Ne perd pas espoir. Garde une place pour moi dans ton cœur. Je dois aller me préparer pour le travaille. Je vais trouver un moyen pour que nous soyons ensemble !

Cela me remonta un peu le moral. Puis, elle sortit très vite.

-Elle me paraît pressé par quelque chose, dis-je pensivement.

Nous finissions de manger tranquillement. Puis, après que Jyvro ai fini son sandwich, il se leva, s'approcha de moi, mit sa main sur mon épaule et me dit avec un sourire :

- Elle a surement quelque chose en tête... Elle va trouver une solution pour que vous soyez ensemble. Tu la reverra assez tôt croit moi.

J'efforça un sourire. Puis, je lui dit :

- As-tu une idée de ce qu'elle aurait en tête ? Sinon... Est-ce que le Connard sera là. J'adorerais voir sa réaction face à cela. Car si elle est pareille à celle de Malefor lorsque je lui ai tenu tête et essayé de l'aider en lui proposant une stratégie, ce sera un régal de voir sa tête.

Je pris alors la dernière bouchée de mon déjeuné.

Igniis ne savait pas a quel point Abyssa avait penser a tout. Il se doutait bien qu'elle avait quelque chose en tête. D'ailleurs il me l'exprima pour demander mon avis et il voulait absolument voir la tête du "Connard". Igniis avala la dernière part de son assiette. Je me dirigea avers la porte avec Associa:

- laisser tous ca ici je m'occuperai de ranger après votre départ. Pour ce qui est de Abyssa, je n'en ai aucune idée. J'ai beau la connaitre depuis des années, je ne suis jamais sur de ce qu'elle a en tête. Le connard attend justement devant la porte de la ville avec des dragons armées. Ne vous en faite pas. La généralité de ses preuve de force se fini par un duel a mort pour arrêter les tension. C'est l'intendant que j’enverrai avec vous qui combattra son guerrier le plus fort.

Nous partîmes tous en direction du château. Il firent tous quelque révérence aux autres dragons qui restais quelques jours de plus et nous allions aux portes de la villes. Ses portes était tout aussi imposante vu de l'intérieur. Les portes était plus embellit de l’intérieur que de l'extérieur. Surement a cause des attaque ou des assauts passer contre celle-ci. Un dragon en armure nous attendait. rien du dragon n'était perceptible. On aurait dit une armure ambulante. L'armure s'inclina et passa la porte qui était un peux ouverte. Je passa avant les intendants et alla a la rencontre du "Connard".

- Ca ne m'étonne pas de toi. Tu veux réglé ceci avec mes remparts ou avec un duel? J'ai déjà mon guerrier prêt à combattre le tien a mort.

Le "Connard" ne dit pas un mot et il fit avancer un Démon noir aux ailes arracher et a l'armure aux multiples piques. Il ne portait que le plastron et les épaulettes. Les deux combattants se firent face et le dragon déploya ses griffes métallique extrêmement grosse en tenant sa rapière de la main gauche. Le démon fit apparaître un trop grosse épée a deux mains. Celui-ci la tenait comme si c'était un cure dents. Il la brandi vers le haut et l’abattit sur l'armure. L'armure qui paraissait sans agilité bondit comme si le dragon a l’intérieur était nu au combat. Il se retrouva sur la gauche du démon et il déploya ses ailes aux drapés blanc qui brillait au soleil. Il ouvrit le dos du démon en lacérant avec les griffes métallique et bondit en arrière pour esquiver le coup horizontale du démon. Le dos lacéré du démon le faisait souffrir avec une quantité de sang abondante. Il tomba sur un genou le dos courbé. L'armure s'arrêta sur une position, mais toujours en garde. Une voie féminine, mais ferme et métallique sortie de l'armure.

- Abandonne-tu? Ou tu veux réellement mourir dans d'atroce souffrance?

Le démon essaya de relever son épée, mais son dos lui empêchait de se redresser. Il retenta puis décida de lui sauter dessus sans son épée. Quel erreur... La dragonne bondit légèrement sur la gauche et planta sa rapière dans le coté de la gorge et lui ouvrit l'avant en faisant un pivots vers la droite. Le guerrier tomba au sol inerte. Le "Connard" beugla des insultes contre le corps et les intendant. Elle était dans sa langue d'origine. Une langue tous à fait INCOMPRÉHENSIBLE. Il parti avec ses troupe vers sa ville et la guerrière enleva son casque. C'était Abyssa! Elle avança vers Igniis:

- Je t'avais bien dit que je trouverai un moyen. Un intendant dois être sois un guerrier, soit une personne politique. Je suis les deux. Je peux habité ou bon me semble pour renforcer les lien entre nos deux "races".

- Laisser tous ca ici je m'occuperai de ranger après votre départ. Pour ce qui est de Abyssa, je n'en ai aucune idée. J'ai beau la connaitre depuis des années, je ne suis jamais sur de ce qu'elle a en tête. Le connard attend justement devant la porte de la ville avec des dragons armées. Ne vous en faite pas. La généralité de ses preuve de force se fini par un duel a mort pour arrêter les tension. C'est l'intendant que j’enverrai avec vous qui combattra son guerrier le plus fort.

Je me posa une question... Comment a-t-il pu informer un intendant aussi vite et comment en trouver un qui ai le courage et la force pour un duel à mort dans ces plus brefs délais... à part si cet intendant est celui de Jyvro... Ou bien... Non, cela ne pouvait pas être l'une des trois personnes avec qui nous avons signés le traité de paix. Ce sont tous des rois et des reines, pas des intendants... Nous partîmes tous au château et nous remerciâmes ces "élus" comme il se devait pour la paix durable. Mais il n'y eu aucune trace d'Abyssa. Puis, après cela, nous nous dirigeâmes vers les portes de la ville. Elles étaient plus belles à l'intérieur de la ville, qu'à l'extérieur. Là, un dragon bipède en armure complète nous attendait. Il s'inclina devant nous, nous faisant alors savoir que ce serait notre intendant qui nous accompagnerait, puis passa les portes, qui étaient à demi-ouvertes. Là, nous vîmes ce "Connard" et sa troupe. Jyvro s'avança vers lui et lui parla. Puis, une créature noire bipède aux ailes arrachées et habillé d'une armure, le plastron et les épaulettes exactement, de piques. L'intendant pris sa rapière pendant que la créature fit apparaitre une épée à deux mains. Et le combat commença. Nous ne pouvions rien faire à part regarder. Un bon combat me manquait. Puis, notre intendant, ou devrais-je dire notre intendante, parla. Elle avait une voix ferme et métallique... Mais qui m'était famillière...

- Abandonne-tu? Ou tu veux réellement mourir dans d'atroce souffrance ?

J'avais des doutes sur sa personnes qui s'agrandissaient... Se pouvait-il que ce soit elle ? La créature était au sol l'intendante levait sa rapière contre elle. Mes griffes raclaient le sol. Je voulait intervenir dans le combat, mais je ne pouvais pas. La créature sauta sur l'intendante, qui esquiva et acheva d'un coup de rapière dans la gorge. Elle tomba alors au sol, morte. Le "Connard" hurla des jurons incompréhensibles en direction du cadavre en dans notre direction. Et, à cela, Jorth et moi lui adressiâmes un grand sourire comme pour lui dire ironiquement : "Nous aussi, on vous aimes." Puis, après cela, il parti avec sa troupe. Je fus soudainement plus détendu, maintenant que le combat était terminé. L'intendante enleva son casque et nous fit découvrir son visage. J'en était sûr ! C'était elle ! Abyssa était notre intendante. Elle s'avança vers moi et elle me dit :

- Je t'avais bien dit que je trouverai un moyen. Un intendant dois être sois un guerrier, soit une personne politique. Je suis les deux. Je peux habité ou bon me semble pour renforcer les lien entre nos deux "races".

Je fus ému par deux choses. La première était qu'elle risqua sa vie dans un combat à mort pour nous accompagner juste ensuite. Puis, la seconde chose, ce qu'elle dit... "Je peux habiter où bon me semble..." J'avais compris ce qu'elle allait faire. Je lui dit d'une voix qui ne cachait en rien mon émotion :

- Tu... Tu... Tu abandonne ton poste de reine pour venir à Warfang ? Tu fais vraiment cela ? Tu abandonnes ton poste de reine, richesse et confort pour Warfang... Pour venir habiter avec moi... Tu...

Je n'arrivais pas à parler. Je pus juste articuler quelque mots :

- Je t'aime...

Puis, je l'embrassa amoureusement, pour lui faire comprendre mon sentiment pour elle. Déjà que celui-ci était très fort, son geste le renforça encore plus, et je ne croyais pas cela possible. Après ce baiser, je lui dit avec un sourire et un simple rire imaginatif :

- Je pense que tu aimeras mon fils adoptif. Et je pense qu'il t'aimera aussi.

J'étais, à ce moment-là, l'un des dragons les plus heureux du monde...

Associa avait été embrasser par son amour éternel et elle se colla a lui. Pour ma part, je siffla avec mes doigt pour rire un peux. Abyssa était sure et certaine d'aimer son fils adoptif. Elle avait déjà envie de le rencontré ce petit bonhomme. Elle se transforma en quadrupède et son armure suivit sa transformation. Elle ne cachait pas tout, car un dragon quadrupède aurait plus de difficulté a bougé, mais elle la protégea d'une bonne façon. Je fus étonné que l'armure ce soit changé avec elle. Je ne me rappelais pas qu'elle pouvait faire ça. Abyssa se colla la tête sur Igniis. Ils partirent avec Jorth vers Warfang. Avant qu'elle ne parte, Abyssa avait apporter quelque sac accrocher a son armure... Ses sacs faisaient un tintement continue. Elle avait apporté des économies pour aider Kasaï dans ses projet et sa vie. Je ne m'en rendit compte seulement quand j'obtenue un coquette facture d'emprunt d'agent a mon nom... Abyssa. Tu ne changera jamais. C'étais un cadeau que je lui devais depuis que Igniis avait foulé les terres des îles. Je repaya avec les généreux intérêt de la banque et c'est comme ceci qu'une tablette historique de Sky Badland fut marquer. Une ère nouvelle et revigorante venait de naître.

C'est à six pattes que nous marcherons vers une paix durable et une alliance pour repousser l'envahisseur!